Après la Lettonie en 2018, après Prague en 2019, et surtout après deux ans de disette pour cause de covid, les Gaziers du TEC, adeptes du barathon en début de saison, étaient particulièrement impatients de pouvoir renouer avec la belle tradition du voyage de fin d’année…
Prometteur, ce voyage l’a été dès le départ : une heure après le décollage, « Choca » surprenait son monde par un petit malaise. Les mauvaises langues diront rapidement que c’était pour monopoliser l’attention des charmantes hôtesses. Ces dernières seront au petit soin avec le gaillard en lui apportant du jus de pomme et des gâteaux.
Aussitôt arrivés dans la capitale bulgare, les Técistes cherchent un bar typiquement local Les locaux comprenaient très vite que les touristes ovales n’étaient pas venus pour acheter du terrain. Une première journée très festive donc, entrecoupée de Paquito, trop peut-être pour « Sirop » qui était à deux doigts de se battre avec son véritable sosie dans une boîte de nuit. Tout est rentré dans l’ordre quand il s’est aperçu qu’il faisait face à… un miroir.
Les plus courageux le lendemain sont partis faire une rando dans les montagnes bulgares histoire de respirer le bon air frais et d’admirer le paysage vu d’en haut. Ils étaient récompensés par la découverte d’une cascade, où chacun a pu se rafraîchir. Il fallait bien cette balnéo-cryothérapie de fortune pour se remettre en jambes, car un match était prévu contre l’équipe locale de Sofia. Le rythme, peu soutenu selon la presse bulgare, obligeait malgré tout les visiteurs à procéder à de nombreuses rotations.
A l’image d’Anthony, le Québécois, auteur d’un cad’deb d’école pour se faufiler dans les fougères à côté du terrain, à cause d’une envie aussi pressante que coulante. Hervé, le « pass-partout » de l’équipe, n’a pas tenu la distance lui aussi, auteur d’un yaourt bulgare en plein match. Après trois jours à festoyer, les adversaires, compatissants, ont proposé de les suivre dans un pub de la capitale bulgare pour regarder la finale de la Coupe d’Europe, et boire à l’amitié franco-bulgare.
Un nouveau voyage mémorable qui n’aurait pas été complet si 9 des 20 participants n’avaient pas raté leur avion à Francfort. Pas inquiets pou autant, ils ont su s’adapter à la situation en louant deux voitures pour rentrer directement à Toulouse, après 1 100km, et 11 heures de route. Soit une arrivée le lundi matin à 7h. Le temps d’une petite douche et d’aller travailler à… 8h. Du vrai bon boulot encore pour les Tecistes.
Après la Lettonie en 2018, après Prague en 2019, et surtout après deux ans de disette pour cause de covid, les Gaziers du TEC, adeptes du barathon en début de saison, étaient particulièrement impatients de pouvoir renouer avec la belle tradition du voyage de fin d’année…
Prometteur, ce voyage l’a été dès le départ : une heure après le décollage, « Choca » surprenait son monde par un petit malaise. Les mauvaises langues diront rapidement que c’était pour monopoliser l’attention des charmantes hôtesses. Ces dernières seront au petit soin avec le gaillard en lui apportant du jus de pomme et des gâteaux.
Aussitôt arrivés dans la capitale bulgare, les Técistes cherchent un bar typiquement local Les locaux comprenaient très vite que les touristes ovales n’étaient pas venus pour acheter du terrain. Une première journée très festive donc, entrecoupée de Paquito, trop peut-être pour « Sirop » qui était à deux doigts de se battre avec son véritable sosie dans une boîte de nuit. Tout est rentré dans l’ordre quand il s’est aperçu qu’il faisait face à… un miroir.
Les plus courageux le lendemain sont partis faire une rando dans les montagnes bulgares histoire de respirer le bon air frais et d’admirer le paysage vu d’en haut. Ils étaient récompensés par la découverte d’une cascade, où chacun a pu se rafraîchir. Il fallait bien cette balnéo-cryothérapie de fortune pour se remettre en jambes, car un match était prévu contre l’équipe locale de Sofia. Le rythme, peu soutenu selon la presse bulgare, obligeait malgré tout les visiteurs à procéder à de nombreuses rotations.
A l’image d’Anthony, le Québécois, auteur d’un cad’deb d’école pour se faufiler dans les fougères à côté du terrain, à cause d’une envie aussi pressante que coulante. Hervé, le « pass-partout » de l’équipe, n’a pas tenu la distance lui aussi, auteur d’un yaourt bulgare en plein match. Après trois jours à festoyer, les adversaires, compatissants, ont proposé de les suivre dans un pub de la capitale bulgare pour regarder la finale de la Coupe d’Europe, et boire à l’amitié franco-bulgare.
Un nouveau voyage mémorable qui n’aurait pas été complet si 9 des 20 participants n’avaient pas raté leur avion à Francfort. Pas inquiets pou autant, ils ont su s’adapter à la situation en louant deux voitures pour rentrer directement à Toulouse, après 1 100km, et 11 heures de route. Soit une arrivée le lundi matin à 7h. Le temps d’une petite douche et d’aller travailler à… 8h. Du vrai bon boulot encore pour les Tecistes.