Après dix années d’implication sans faille au sein de l’école d’arbitrage de Tournefeuille (31), Vincent Courtin est toujours aussi motivé pour diriger des rencontres de rugby amateur. Mais alors qu’il est atteint par la limite d’âge, l’arbitre aimerait pourtant continuer à siffler la pluie et le beau temps sur les terrains de rugby amateur…
Le 12 mai dernier, M. l’arbitre nous confiait ses impressions sur cette finale de réserve Honneur Occitanie (voir le résumé du match) : « Terminer sur une finale, c’est vraiment le top, merci encore à la Ligue et à Eric Doria de m’avoir fait confiance. Ce fut un très grand moment de convivialité et d’amitié au côté de Michel Alarcon, Assia Taj Errida (marraine de l’école d’arbitrage) et Hugues Samora. Prendre la décision d’accorder une pénalité décidant du sort du match dans les arrêts de jeu fut facile à prendre, tant la faute commise était claire, nette et évidente. C’est le rôle principal pour un arbitre de prendre une décision rapidement, et mes assesseurs ont tous abondé dans ce sens. D’ailleurs personne dans le camp tarnais ne l’a discutée ou remise en cause. »
Un grand moment assurément pour ce passionné de rugby, qui néanmoins garde un goût amer de cette fin de saison 2021-2022. Atteint par la limite d’âge pour diriger une rencontre amateur, on lui coupe en effet le sifflet définitivement. Mais l’intéressé, toujours fringant, ne se sent pas prêt à raccrocher les crampons : « J’ai désormais 56 ans oui, mais je suis en pleine forme physique, toujours aussi passionné par l’arbitrage, même au poste de juge de touche. Je suis prêt à poursuivre l’aventure une saison supplémentaire et je souhaiterais qu’une dérogation puisse m’être accordée. Comme il manque toujours du monde dans l’arbitrage, je lance donc un appel solennel aux instances fédérales pour accéder à ma demande. »
L’appel a le mérite d’être clair. A compter d’aujourd’hui, Vincent Courtin va surveiller son portable en espérant qu’il sonne son retour, et non pas le glas de ses espoirs…
Après dix années d’implication sans faille au sein de l’école d’arbitrage de Tournefeuille (31), Vincent Courtin est toujours aussi motivé pour diriger des rencontres de rugby amateur. Mais alors qu’il est atteint par la limite d’âge, l’arbitre aimerait pourtant continuer à siffler la pluie et le beau temps sur les terrains de rugby amateur…
Le 12 mai dernier, M. l’arbitre nous confiait ses impressions sur cette finale de réserve Honneur Occitanie (voir le résumé du match) : « Terminer sur une finale, c’est vraiment le top, merci encore à la Ligue et à Eric Doria de m’avoir fait confiance. Ce fut un très grand moment de convivialité et d’amitié au côté de Michel Alarcon, Assia Taj Errida (marraine de l’école d’arbitrage) et Hugues Samora. Prendre la décision d’accorder une pénalité décidant du sort du match dans les arrêts de jeu fut facile à prendre, tant la faute commise était claire, nette et évidente. C’est le rôle principal pour un arbitre de prendre une décision rapidement, et mes assesseurs ont tous abondé dans ce sens. D’ailleurs personne dans le camp tarnais ne l’a discutée ou remise en cause. »
Un grand moment assurément pour ce passionné de rugby, qui néanmoins garde un goût amer de cette fin de saison 2021-2022. Atteint par la limite d’âge pour diriger une rencontre amateur, on lui coupe en effet le sifflet définitivement. Mais l’intéressé, toujours fringant, ne se sent pas prêt à raccrocher les crampons : « J’ai désormais 56 ans oui, mais je suis en pleine forme physique, toujours aussi passionné par l’arbitrage, même au poste de juge de touche. Je suis prêt à poursuivre l’aventure une saison supplémentaire et je souhaiterais qu’une dérogation puisse m’être accordée. Comme il manque toujours du monde dans l’arbitrage, je lance donc un appel solennel aux instances fédérales pour accéder à ma demande. »
L’appel a le mérite d’être clair. A compter d’aujourd’hui, Vincent Courtin va surveiller son portable en espérant qu’il sonne son retour, et non pas le glas de ses espoirs…
Après dix années d’implication sans faille au sein de l’école d’arbitrage de Tournefeuille (31), Vincent Courtin est toujours aussi motivé pour diriger des rencontres de rugby amateur. Mais alors qu’il est atteint par la limite d’âge, l’arbitre aimerait pourtant continuer à siffler la pluie et le beau temps sur les terrains de rugby amateur…
Le 12 mai dernier, M. l’arbitre nous confiait ses impressions sur cette finale de réserve Honneur Occitanie (voir le résumé du match) : « Terminer sur une finale, c’est vraiment le top, merci encore à la Ligue et à Eric Doria de m’avoir fait confiance. Ce fut un très grand moment de convivialité et d’amitié au côté de Michel Alarcon, Assia Taj Errida (marraine de l’école d’arbitrage) et Hugues Samora. Prendre la décision d’accorder une pénalité décidant du sort du match dans les arrêts de jeu fut facile à prendre, tant la faute commise était claire, nette et évidente. C’est le rôle principal pour un arbitre de prendre une décision rapidement, et mes assesseurs ont tous abondé dans ce sens. D’ailleurs personne dans le camp tarnais ne l’a discutée ou remise en cause. »
Un grand moment assurément pour ce passionné de rugby, qui néanmoins garde un goût amer de cette fin de saison 2021-2022. Atteint par la limite d’âge pour diriger une rencontre amateur, on lui coupe en effet le sifflet définitivement. Mais l’intéressé, toujours fringant, ne se sent pas prêt à raccrocher les crampons : « J’ai désormais 56 ans oui, mais je suis en pleine forme physique, toujours aussi passionné par l’arbitrage, même au poste de juge de touche. Je suis prêt à poursuivre l’aventure une saison supplémentaire et je souhaiterais qu’une dérogation puisse m’être accordée. Comme il manque toujours du monde dans l’arbitrage, je lance donc un appel solennel aux instances fédérales pour accéder à ma demande. »
L’appel a le mérite d’être clair. A compter d’aujourd’hui, Vincent Courtin va surveiller son portable en espérant qu’il sonne son retour, et non pas le glas de ses espoirs…
Après dix années d’implication sans faille au sein de l’école d’arbitrage de Tournefeuille (31), Vincent Courtin est toujours aussi motivé pour diriger des rencontres de rugby amateur. Mais alors qu’il est atteint par la limite d’âge, l’arbitre aimerait pourtant continuer à siffler la pluie et le beau temps sur les terrains de rugby amateur…
Le 12 mai dernier, M. l’arbitre nous confiait ses impressions sur cette finale de réserve Honneur Occitanie (voir le résumé du match) : « Terminer sur une finale, c’est vraiment le top, merci encore à la Ligue et à Eric Doria de m’avoir fait confiance. Ce fut un très grand moment de convivialité et d’amitié au côté de Michel Alarcon, Assia Taj Errida (marraine de l’école d’arbitrage) et Hugues Samora. Prendre la décision d’accorder une pénalité décidant du sort du match dans les arrêts de jeu fut facile à prendre, tant la faute commise était claire, nette et évidente. C’est le rôle principal pour un arbitre de prendre une décision rapidement, et mes assesseurs ont tous abondé dans ce sens. D’ailleurs personne dans le camp tarnais ne l’a discutée ou remise en cause. »
Un grand moment assurément pour ce passionné de rugby, qui néanmoins garde un goût amer de cette fin de saison 2021-2022. Atteint par la limite d’âge pour diriger une rencontre amateur, on lui coupe en effet le sifflet définitivement. Mais l’intéressé, toujours fringant, ne se sent pas prêt à raccrocher les crampons : « J’ai désormais 56 ans oui, mais je suis en pleine forme physique, toujours aussi passionné par l’arbitrage, même au poste de juge de touche. Je suis prêt à poursuivre l’aventure une saison supplémentaire et je souhaiterais qu’une dérogation puisse m’être accordée. Comme il manque toujours du monde dans l’arbitrage, je lance donc un appel solennel aux instances fédérales pour accéder à ma demande. »
L’appel a le mérite d’être clair. A compter d’aujourd’hui, Vincent Courtin va surveiller son portable en espérant qu’il sonne son retour, et non pas le glas de ses espoirs…