L’amicale des joueurs l’Etoile sportive Eysinaise (33) avait vu grand cette année, avec un voyage en Pologne, à Cracovie. Il faut dire que les pays de l’Est, comme l’Espagne, sont des destinations privilégiées de nos chers rugbymen amateurs. 39 noms étaient cochés sur la dernière feuille de match de la saison, à l’aéroport de Bordeaux, le vendredi 23 juin à 8h30. Mais une fois de plus, tout ne s’est pas exactement passé comme prévu…
Fort de l’expérience passée de Tom (resté à quai en 2019 à cause d’une carte d’identité périmée) l’amicale insistait bien sur l’importance de tenir ses papiers d’identité bien au chaud. En bon gestionnaires, certains décidaient donc de démarrer le weekend, dès le jeudi soir, avec une première nuit blanche avant d’enchaîner le vol du lendemain matin.
Néanmoins, comme chaque année, rien ne va se passer comme prévu, puisque 2 soldats tombent avant même d’embarquer. Le premier, Martin, bloqué à Lyon, ne pouvait rejoindre la capitale girondine pour son vol. Quant au deuxième, JB, il devra rendre les armes en salle d’embarquement après s’être rendu compte qu’il avait oublié… sa carte identité.
Pour les non étourdis, les hostilités démarrent dans l’avion et se poursuivront tout le week-end avec en tête de proue, l’emblématique et désormais ex-coach des arrières « Zézette », plus affuté que jamais. Le vendredi soir a resserré fortement les liens entre joueurs, puisque certains n’hésiteront pas à se faire tatouer le mot « Brat », ce qui, comme chacun le sait, signifie « frère » en polonais. Espérons juste que ces joueurs n’auront pas à aller dans un pays anglophone prochainement, le même mot signifiant « morveux » ou « sale gosse » en anglais.
Le samedi après-midi, l’amicale avait laissé le choix aux joueurs entre une sortie au musée des arts contemporains de Cracovie, le MOCAK, ou bien une partie de tir à la Kalachnikov à la très sérieuse Cracow Shooting Academy. Nous vous laissons deviner quelle est l’activité qui a recueillie le plus de suffrages. La légende raconte que le moniteur de tir, aurait pris le même menu nocturne que les joueurs la veille. Mais cela ne nous regarde pas. Surtout quand celui-ci explique les consignes de sécurité. L’autre légende dit que certaines épaules, solides au plaquage pourtant, auraient souffert lors de tirs au fusil à pompe.
Les étoiles rouges & noires aimant passer d’un stand de tir à un autre, c’est tout naturellement qu’ils se sont dirigés à la Bodega del Ron pour y passer une grande partie de la nuit. Nous n’avons plus d’informations à partir de cette soirée.
Si ce n’est concernant un joueur. Car nous le savons tous, il est toujours difficile de se repérer dans une nouvelle ville, surtout après quelques verres, même avec modération. Fort heureusement pour Damien, qui a réussi à se perdre malgré ses chaines de sécurité, les jeux européens se tenaient à Cracovie ce même week-end, et il a pu être ramené sain et sauf à l’auberge par la délégation française de Taekwondo. Après une dernière courte nuit, passée sur le confortable carrelage de l’hostel pour certains, il était temps de rentrer à la maison et de clôturer ce superbe week-end par un vol retour où les paupières étaient au moins aussi lourdes que certaines victoires cette saison pour les Etoilistes.
L’amicale des joueurs l’Etoile sportive Eysinaise (33) avait vu grand cette année, avec un voyage en Pologne, à Cracovie. Il faut dire que les pays de l’Est, comme l’Espagne, sont des destinations privilégiées de nos chers rugbymen amateurs. 39 noms étaient cochés sur la dernière feuille de match de la saison, à l’aéroport de Bordeaux, le vendredi 23 juin à 8h30. Mais une fois de plus, tout ne s’est pas exactement passé comme prévu…
Fort de l’expérience passée de Tom (resté à quai en 2019 à cause d’une carte d’identité périmée) l’amicale insistait bien sur l’importance de tenir ses papiers d’identité bien au chaud. En bon gestionnaires, certains décidaient donc de démarrer le weekend, dès le jeudi soir, avec une première nuit blanche avant d’enchaîner le vol du lendemain matin.
Néanmoins, comme chaque année, rien ne va se passer comme prévu, puisque 2 soldats tombent avant même d’embarquer. Le premier, Martin, bloqué à Lyon, ne pouvait rejoindre la capitale girondine pour son vol. Quant au deuxième, JB, il devra rendre les armes en salle d’embarquement après s’être rendu compte qu’il avait oublié… sa carte identité.
Pour les non étourdis, les hostilités démarrent dans l’avion et se poursuivront tout le week-end avec en tête de proue, l’emblématique et désormais ex-coach des arrières « Zézette », plus affuté que jamais. Le vendredi soir a resserré fortement les liens entre joueurs, puisque certains n’hésiteront pas à se faire tatouer le mot « Brat », ce qui, comme chacun le sait, signifie « frère » en polonais. Espérons juste que ces joueurs n’auront pas à aller dans un pays anglophone prochainement, le même mot signifiant « morveux » ou « sale gosse » en anglais.
Le samedi après-midi, l’amicale avait laissé le choix aux joueurs entre une sortie au musée des arts contemporains de Cracovie, le MOCAK, ou bien une partie de tir à la Kalachnikov à la très sérieuse Cracow Shooting Academy. Nous vous laissons deviner quelle est l’activité qui a recueillie le plus de suffrages. La légende raconte que le moniteur de tir, aurait pris le même menu nocturne que les joueurs la veille. Mais cela ne nous regarde pas. Surtout quand celui-ci explique les consignes de sécurité. L’autre légende dit que certaines épaules, solides au plaquage pourtant, auraient souffert lors de tirs au fusil à pompe.
Les étoiles rouges & noires aimant passer d’un stand de tir à un autre, c’est tout naturellement qu’ils se sont dirigés à la Bodega del Ron pour y passer une grande partie de la nuit. Nous n’avons plus d’informations à partir de cette soirée.
Si ce n’est concernant un joueur. Car nous le savons tous, il est toujours difficile de se repérer dans une nouvelle ville, surtout après quelques verres, même avec modération. Fort heureusement pour Damien, qui a réussi à se perdre malgré ses chaines de sécurité, les jeux européens se tenaient à Cracovie ce même week-end, et il a pu être ramené sain et sauf à l’auberge par la délégation française de Taekwondo. Après une dernière courte nuit, passée sur le confortable carrelage de l’hostel pour certains, il était temps de rentrer à la maison et de clôturer ce superbe week-end par un vol retour où les paupières étaient au moins aussi lourdes que certaines victoires cette saison pour les Etoilistes.