Le Reyniès Olympique Club colle à l’actualité cinématographique et les récompenses qui vont avec en ce début d’année. Le groupe tarn-et-garonnais a en effet procédé à une remise de diplômes pour les joueurs et les entraîneurs, reprenant les événements les plus marquants de l’année 2018. Moteur, silence, action !…
Dans la catégorie « rugby amateur », Reyniès, a décroché pas moins de huit récompenses. Il faut dire que les membres de l’équipe étaient les grands favoris pour décrocher le diplôme tant espéré, qu’ils s’offrent eux-mêmes.
Parmi les grands gagnants, Gaby, l’intendant du club, qui a reçu le prix du « Meilleur traceur de lignes du 82 ». « Il n’arrive pas à tracer droit » nous a confié une source interne « invoquant toujours un problème mécanique ».
Un des entraîneurs, Julien, a quant à lui, été primé du « GPS d’Or ». Lors du déplacement à Montastruc la Conseillère (au nord de Toulouse), il est allé à Montastruc, oui, mais le Montastruc des Hautes Pyrénées. Soit à l’opposé du lieu prévu.
Les autres nominés :
– Rémy (entraîneur) alias Tactic man, pour ses combinaisons pas toujours assimilées
– Fredo (3ème ligne) surnommé l’ingénieur, avec ses analyses très pointues, mais surtout lors des 3ème mi temps
– Ludo dit la teigne, prix du plus gros mangeur, un diplôme incontestable.
– Julien, ouvreur, prix du meilleur acteur, normal. « Un vrai footballeur », il tombe très facilement.
– Mathieu le troisième ligne centre, prix du plus beau mannequin. Il a raté un match pour… un défilé de mode.
– Bilou le talonneur, prix du meilleur 4ème rideau (où il se trouve très souvent)
– Alexis, ailier, prix des plus grosses cuisses (il fait 1m55 pour 50 kg)
– John, l’autre ailier, surnomm » *marathon man, enfin presque*. Il s’est préparé 2 mois pour 1 marathon, mais a rendu les armes au bout de quelques kms ( il s’était couché un peu tard la veille, toujours selon la légende)
– Corinne la cuisinière, prix du Bocuse d’or, notamment pour son Chili qui donne du gaz aux joueurs.
– Amélie, dirigeante, prix de la « pisseuse d’or ». « Il faut faire des arrêts réguliers pendant les trajets en bus », nous a discrètement confié une source très proche de la concernée.
Bref, vous l’aurez compris, la soirée a été bonne. Qui plus est en présence d’un président de cérémonie particulier, puisque Michel Ruamps, président du Comité Tarn-et-Garonne, était présent pour cette remise de diplôme assez particulière. Et, à défaut d’un César ou d’un Oscar, tout le monde est reparti avec le sentiment du devoir accompli pour 2018. Vivement la cérémonie 2019…