Née à Montpellier d’un père cambodgien et d’une mère française, Laurie Phai Pang Castes a commencé le sport très tôt. Dont le rugby. Trente ans plus tard, elle continue à jouer avec ses copines de Puy l’Evêque dans le Lot, tout en alternant avec du trail et de la course…
Cette très grande sportive (ex pongiste de haut niveau également, championne de France), passée par l’INSEP de Montpellier (l’institut National du Sport de l’Expertise et de la Performance), est capable de courir très vite et très longtemps, ce qui en fait une redoutable adversaire sur un terrain de rugby. Et une étonnante marathonienne, vous l’avez compris. L’ailière ou arrière a un tel niveau, qu’elle va même disputer les qualifications pour les Jeux Olympiques de Tokyo ce weekend, sous les couleurs du Cambodge. Ses coéquipières, par notre intermédiaire, tenaient à lui faire part de tous leurs encouragements, couplés aux nôtres bien sûr : « On est très fières d’elle, nous sommes ses première fans, et espérons pour elle, la meilleure course possible ».
Le défi est de taille, le Camboge n’avait que sept représentants aux dernier JO de Rio.
Née à Montpellier d’un père cambodgien et d’une mère française, Laurie Phai Pang Castes a commencé le sport très tôt. Dont le rugby. Trente ans plus tard, elle continue à jouer avec ses copines de Puy l’Evêque dans le Lot, tout en alternant avec du trail et de la course…
Cette très grande sportive (ex pongiste de haut niveau également, championne de France), passée par l’INSEP de Montpellier (l’institut National du Sport de l’Expertise et de la Performance), est capable de courir très vite et très longtemps, ce qui en fait une redoutable adversaire sur un terrain de rugby. Et une étonnante marathonienne, vous l’avez compris. L’ailière ou arrière a un tel niveau, qu’elle va même disputer les qualifications pour les Jeux Olympiques de Tokyo ce weekend, sous les couleurs du Cambodge. Ses coéquipières, par notre intermédiaire, tenaient à lui faire part de tous leurs encouragements, couplés aux nôtres bien sûr : « On est très fières d’elle, nous sommes ses première fans, et espérons pour elle, la meilleure course possible ».
Le défi est de taille, le Camboge n’avait que sept représentants aux dernier JO de Rio.
Née à Montpellier d’un père cambodgien et d’une mère française, Laurie Phai Pang Castes a commencé le sport très tôt. Dont le rugby. Trente ans plus tard, elle continue à jouer avec ses copines de Puy l’Evêque dans le Lot, tout en alternant avec du trail et de la course…
Cette très grande sportive (ex pongiste de haut niveau également, championne de France), passée par l’INSEP de Montpellier (l’institut National du Sport de l’Expertise et de la Performance), est capable de courir très vite et très longtemps, ce qui en fait une redoutable adversaire sur un terrain de rugby. Et une étonnante marathonienne, vous l’avez compris. L’ailière ou arrière a un tel niveau, qu’elle va même disputer les qualifications pour les Jeux Olympiques de Tokyo ce weekend, sous les couleurs du Cambodge. Ses coéquipières, par notre intermédiaire, tenaient à lui faire part de tous leurs encouragements, couplés aux nôtres bien sûr : « On est très fières d’elle, nous sommes ses première fans, et espérons pour elle, la meilleure course possible ».
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Née à Montpellier d’un père cambodgien et d’une mère française, Laurie Phai Pang Castes a commencé le sport très tôt. Dont le rugby. Trente ans plus tard, elle continue à jouer avec ses copines de Puy l’Evêque dans le Lot, tout en alternant avec du trail et de la course…
Cette très grande sportive (ex pongiste de haut niveau également, championne de France), passée par l’INSEP de Montpellier (l’institut National du Sport de l’Expertise et de la Performance), est capable de courir très vite et très longtemps, ce qui en fait une redoutable adversaire sur un terrain de rugby. Et une étonnante marathonienne, vous l’avez compris. L’ailière ou arrière a un tel niveau, qu’elle va même disputer les qualifications pour les Jeux Olympiques de Tokyo ce weekend, sous les couleurs du Cambodge. Ses coéquipières, par notre intermédiaire, tenaient à lui faire part de tous leurs encouragements, couplés aux nôtres bien sûr : « On est très fières d’elle, nous sommes ses première fans, et espérons pour elle, la meilleure course possible ».
Le défi est de taille, le Camboge n’avait que sept représentants aux dernier JO de Rio.