Voici le nouvel épisode du (très demandé) XV de rêve. Pour rappel, nous rendons hommage ici aux anciens, retraités ou pas, pour parler de leur carrière, se replonger dans les vieux souvenirs, avec un brin de nostalgie, d’émotion, mais surtout beaucoup de bonne humeur. Nous avons sollicité cette fois Christophe Palmato.
Palmi pour les intimes, a porté les couleurs du Stade Toulousain, du FCTT, de la Salvetat et de Cazères bien sûr. A 43 ans, il a raccroché les crampons une bonne fois pour toutes. Le néo entraîneur s’est donc replongé dans certains souvenirs, plus ou moins récents, et a eu beaucoup de mal à extraire un XV de rêve, « tellement le choix était compliqué ».
Après beaucoup d’efforts, voici son équipe type, remplaçants, manager, coachs et soigneurs, inclus, qu’il a souhaité honorer. Un joli moment, rempli de très belles anecdotes…
Première ligne
N°1 : Pierre Cancé (La Salvetat) : « Pierrot », un pilier comme on aime : vaillant, solide et filou.
La petite histoire : A réussi l’exploit de passer par la porte vitrée du club house un dimanche soir endiablé en voulant éviter… le protège poteau qui le matraquait lors d’une bataille épique ! Bilan : des bleus et des points de suture ! Mais aussi, le club house cassé ; ça a toussé le lendemain…
N°2 : Patrick Piedras (Cazères) : La famille. Un talonneur qui n’a jamais rechigné à la tâche sur un terrain, toujours volontaire et engagé.
La petite histoire : Au départ, j’avais signé à Cazères pour faire ensemble sa dernière saison comme nous nous l’étions promis. Au final, nous n’avons fait que peu de matchs côte à côte parce que lorsque j’étais en première, il était en B et les fois où il montait, c’est moi qui me retrouvais en B. Mais je suis fier du peu de feuilles que nous avons partagé ensemble.
N°3 : Lionel Serf (Cazères) : « Papi », seul Pilier que j’ai connu capable de jouer partout, même derrière ou à la charnière ! Il venait du foot, courrait plus vite que certains trois-quarts.
La petite histoire : un jour l’arbitre vient voir Joël Couzinié avant le match lui signalant qu’il y avait une erreur sur la feuille, l’arrière étant marqué « GTD » et que donc, il devait sûrement jouer en première ligne et qu’il s’était trompé. Réponse stoïque du coach : « non, non, c’est bien ça ! ». Grand moment de solitude de l’arbitre et nous tous, avec le sourire en coin.
Mais surtout, comment oublier ce démarrage sur un petit coup de pied par-dessus que j’avais fait contre Le Fousseret, me laissant sur place avec l’ailier d’en face pour aller aplatir 60 m plus loin, le long de la ligne de touche avec son 1 dans le dos ? Merci, bonsoir ! Enfin, il a réussi l’exploit, et ce n’est pas rien, de jouer avec ses deux fils, chapeau !
Deuxième ligne
N°4 : Laurent Rivière (Cazères) : « Maboule », Toujours le premier dans l’engagement et l’abnégation, jamais ingrat au combat. Quand il montait dans les tours, ça fumait et les cartons pleuvaient. Il a une belle collection à son actif .
La petite histoire : Un vestiaire avant un derby contre Daumazan, et une première mi-temps qui avait vu 3 rouges distribués, dont un pour lui. Véritable paratonnerre aussi, quand c’était dur, que ça grêlait, c’est toujours lui qui chargeait ! Disons qu’il sécurisait tous les autres.
N°5 : Xavier None (Cazères) : Valait mieux l’avoir avec que contre ! Un gars qui rassurait quand tu sortais des vestiaires, qui aimait le jeu dur et batailler. Tout un personnage. Lorsqu’il est passé coach de la B, le meilleur moment arrivait lorsqu’il montait en température dans le vestiaire pour mobiliser la troupe. Gaffe alors à celui qui avait le malheur de sourire… le p’tit Pouyol a souvent eu quelques sueurs froides !
La petite histoire : Coach de la B, il s’était mis sur la feuille de match un dimanche à Rieumes pour dépanner au cas où, et faire le nombre. Mais sur une mêlée pour l’adversaire, dans un match viril mais correct, il n’a pas pu résister. Il entre en jeu, se place, dégaine, ça relève… et le pauvre Bouille, au talon ce jour-là, allongé au sol lumière éteinte. Ce qui a calmé les ardeurs pour le coup. Puis Xav, tout gêné, d’aller s’excuser ensuite, « pardon Bouille !». Il avait eu le bras trop court…
3ème ligne
N°6 : Marc Didier (FCTT – La Salvetat) : L’indien. Un gars au grand cœur, sur et en dehors du terrain. Le joueur avec qui tu te sentais bien, vaillant et qui ne trichait pas, que ce soit durant les deux premières comme dans la troisième.
La petite histoire : Une bringue lorsqu’il jouait à Labastide-Beauvoir et que nous y avions été les affronter avec La Salvetat, j’étais resté là-bas le dimanche soir. J’ai eu beaucoup, mais alors beaucoup de mal à repartir ensuite, sacrée soirée !
N° 7 : Georges Llorens (Cazères) : Lui non plus, il ne faisait pas rire. Ceux qui ont croisé sa route s’en souviennent encore. Je l’ai vu en faire reculer plus d’un dans un regroupement et éteindre quelques lumières parmi de vrais durs. Valait mieux pas, non plus, qu’il chope un type en sortie de mêlée, ses placages piquaient. Et je ne parle pas de toutes ses joutes verbales, dont lui seul avait le secret que ce soit sur ou en dehors du terrain. Un guerrier !
La petite histoire : Il y en a tellement. Mais finir sa carrière par un carton rouge pris contre Auterive pour son dernier match de rugby fut un final en apothéose, vu le palmarès. Aujourd’hui, il maintient la forme en ayant rien perdu de sa verve au bord de la talanquère, un régal.
N°8 : Lilian Belzunces (FCTT) : « Lilou », une machine à jouer avec qui j’ai débuté au centre, mais qui a fini troisième ligne, poste plus naturel pour lui. Il court, il plaque, il se file ! Le gars qu’on n’aimait pas voir torse nu dans le vestiaire vu ses abdos d’athlète qu’il n’a toujours pas perdu !
La petite histoire : Quand il remettait le pivot et se frottait les mains, c’était parti pour des troisièmes mi-temps endiablées sur le dance floor du Tex ou du Rex. Mais quand ce fut le temps d’aller enflammer les Festejades à Gruissan, trois jaunes ont eu raison de lui…
Charnière
N°9 : Christophe Seguela (Cazères) : « Kinou », Un métronome, passionné, véritable stratège de ce jeu. Il savait tout faire et bien, un leader naturel sur le terrain.
La petite histoire : Lorsque tu jouais à ses côtés, tout était beaucoup plus simple. Il avait cette faculté qu’ont les bons joueurs, à rendre le jeu plus facile pour les autres. A ses côtés, ce sont aussi mes premiers pas en tant qu’entraîneur, l’an dernier, avec les Juniors.
N°10 : Gérard Brun (La Salvetat) : El Mago ! Comme il a dit un jour à Pierre Marty qui nous coachait alors, et qui le sortait du terrain suite à un joli raté : « tu ne reconnaîtras jamais mon talent ! ». L’inventeur de la « Paul, une Tourtel » à Pont Long, capable de rentrer sur la pelouse dans un derby contre l’Isle-Jourdain avec un short Léopard sur les cuisses, il aura été de tous les bons coups.
Très doué ballon en main, il était capable du geste le plus surprenant qui existe. Mais lorsqu’il te disait « laisse gamin » avant un lancement de jeu, tu pouvais être certain que tu allais te faire découper.
La petite histoire : Il y en a tellement, qu’un livre ne serait pas suffisant. Je lui dois les meilleures troisième mi-temps que j’ai pu faire mais aussi, un nombre incroyable de grands moments rugbystiques. Un copain hors pair qui nous aura surpris jusqu’à l’annonce même de son mariage.
Kinou- Gégé, la charnière la plus improbable qui soit, ça n’aurait jamais pu coller entre eux, rigueur, méthode, stratégie d’un côté, french flair, imprévu de l’autre. Genre Fabien Galthié et Quade Cooper réunis. Mais j’adore l’idée !
La ligne de 3/4
N°11 : Cyril Rey (Cazères) : Un joueur dur au mal, fiable et qui plaquait fort. Quand tu jouais à ses côtés, peu de chances d’être surpris en défense. Balle en main, fallait aller le chercher. La petite histoire : S’il avait pu manger quelqu’un sur le terrain, je pense qu’il l’aurait fait.
N°12 : Bertrand Pagès (Cazères) : « Chouchou ». Un sacré bon joueur de rugby et bon camarade. Virevoltant, insaisissable, il nous a souvent fait gagner des matchs sur une prise d’intervalle dont il a le secret. La combi derrière ? Passe le ballon à Beber !
La petite histoire : Un litige nous oppose depuis plusieurs saisons et une sombre pénalité retournée en face de nos poteaux parce que je l’avais un peu trop ouverte sur le moment Comme Capitaine, il me réclame trois points. Comme victime, Je demande la clémence. Et comme j’ai arrêté de jouer, tout se complique. Le sujet n’est toujours pas tranché.
N°13 : Kevin Séguès (La Salvetat) : « Kewin » Celui avec qui j’aurais le plus souvent joué au centre. Bonne alchimie et pas mal d’automatismes. Il a eu le mérite de me supporter tous ces dimanches, mais je le soupçonne d’avoir mis des boules quiès pour tenir le coup.
La petite histoire : la pénalité de la gagne contre Mazères en demi-finale des Pyrénées, 50m face aux poteaux. Et le ballon qui tape le haut de la barre et qui ressort. On perd ensuite en prolongation. Mazères est champion le dimanche suivant…
N°14 : Nicolas Balmes (FCTT) : L’élégance et la classe réunies. Un charmeur qui plaisait aux dames mais pas aux adversaires quand il avait le ballon en main.
La petite histoire : Il y a des gens, comme ça, que tu croises dans la vie et dont les événements futurs de la tienne découlent de cette rencontre. Des gens qui marquent ton destin. Nico en fait partie.
N°15 : Julien Serf (Cazères) : Il relance, il aime jouer et a le sens du jeu. Ne s’est jamais économisé ; même blessé, il a toujours tout fait pour rester ou être sur le terrain.
La petite histoire : Un dimanche en partance pour l’Andorre, il s’est pointé ivre au bus. Ecarté aussitôt de la première, il n’était même plus sûr de jouer en B. Après avoir déclaré avec insistance, pendant le trajet, tout son amour à son père qui coachait la réserve, il a fini par jouer, pour inscrire un essai sur un exploit personnel sur son premier ballon touché. De quoi faire oublier la cuite de la veille, la victoire au bout.
Remplaçants :
N°16 : Henri Montelon (Cazères) : « Riton » Un joueur propre, solide, qui se file et toujours efficace. Le seul mec que je connais qui a une chance inouï au jeu. Dès qu’il va au Casino, il gagne, il fait un PMU, il gagne. Il bourre, il s’en sort toujours bien. Il y a des gars, comme ça, qui sont nés sous une bonne étoile. Quelqu’un aussi pour qui j’ai beaucoup d’estime à plus d’un titre.
N°17 : Lionel Culine (FCTT) : Un meneur d’hommes qui avançait et faisait avancer.
Le mec de l’ombre que t’entendait jamais mais qui faisait le boulot et t’embarquer le faire avec lui. Aux dernières nouvelles, on l’aurait aperçu arpentant les greens toulousains…
N°18 : Fabrice Lagrave (La Salvetat) : « Pinpon », comment ne pas citer l’artiste dans cette équipe ? Rarement pris par la patrouille et pourtant souvent à la faute. Côté terrain, un vrai poison pour ses adversaires dans les tâches obscures et parfois même pour ses coéquipiers. Côté cour, il fut un excellent camarade des troisièmes mi-temps épiques salvetaines dont Gégé Brun avait fait son champion, le roi du jingle ! Comme disait Condo, « oui Pinpon, on sait que tu sais !!! »
Le seul à m’avoir écouté dans le vestiaire un sombre jour de défaite contre Nogaro en 16e de finale du championnat de France à Tournay, c’était « vaincre ou mourir », lui est mort… évacué à l’hosto et revenu plus tard, revêtu de toute la panoplie papier que l’on met au patient, équipé de la tête au pied. Sans oublier bien sûr, son célèbre discours donné aux abords du stade de Tarascon, affirmant brièvement mais solennellement à ses auditeurs médusés : « ici, les gars, on joue à la montagne ! ».
N°19 : Philippe Martin (FCTT – La Salvetat) : Un vrai « dingue » comme il disait avec son nez de l’ancien boxeur qu’il était. Souvent à la limite de la faute quand il jouait, il était toujours au four et au moulin sans jamais se plaindre. Si tu l’entendais hurler « Philibert » avant d’entrer en mêlée, tu savais que ça allait tomber. Je n’ai jamais compris pourquoi « Philibert ». Lui seul le sait peut-être ?
N°20 : Vincent Soulisse (Cazères) : Un bon vivant. Bon joueur de ballon, technique et de grandes capacités.
La petite histoire : Il s’est retrouvé un jour contre Auterive avec le numéro 9 dans le dos. Quand l’arbitre a appelé les demi-de-mêlée et premières lignes dans le vestiaire pour leur donner les recommandations, ce fut du plus bel effet avec un 9 plus gaillard que les piliers et talons !
Enfin, mes meilleurs voyages rugbystiques sont grâce à lui. Un véritable Tour opérator quand il s’y colle. Lloret, Magaluff, Malaga, que d’énormes moments !
N°21 : Franck Pérez (La Salvetat) : Quand il jouait, après deux ou trois raisonnements lancés à la volée, tu savais qu’il était là. Il ne s’est jamais laissé impressionner.
La petite histoire : L’enfant du RCSP. Il a grandi avec le club jusqu’à avoir ses premiers cheveux blancs lorsqu’il passa coach de la B. Il aurait pu les avoir à Millas, un dimanche où nous étions au centre tous les deux et avions vus sortir deux golgoths des vestiaires, flanqués du 12 et du 13 dans le dos. Heureusement qu’ils n’étaient pas aussi impressionnants sur le terrain !
N°22 : John Piedras (Cazères) : La famille, aussi. Il débute l’apprentissage du niveau seniors. Volontaire, il doit s’affirmer maintenant. La route est encore longue mais il revient de loin. J’aurais fait la dernière saison à son père, il aura fait la mienne. La boucle est bouclée. Notre premier vestiaire ensemble restera un grand moment pour moi.
N° 23 bis (Trois-quarts) : Patrice Belzunces (FCTT) : « Piche ». Le plus grand commentateur d’actions en direct et râleur que j’ai vu. Si tu avais manqué quelque chose, tu le savais aussitôt et c’était valable aussi quand ça te concernait. Un Joueur solide qui a fini deuxième ligne, l’âge avançant.
Celui qui m’a fait découvrir Gruissan, de la première Seven Cup aux Festejades, de sa famille aux Anguialoux, où je vais régulièrement désormais. Un grand ami, qui croit toujours tomber les copains à l’apéro mais qu’il faudra toujours ramener en premier en suivant bien la ligne blanche.
N° 23 bis (avants) : Emmanuel Le Neindre (Cazères) : « Manu », l’idole du public castillonais. Il prenait un malin plaisir à emmerder les autres sur le terrain, ce qui marchait souvent. Ensuite, il assumait. J’en ai vécu des aventures avec lui. Compagnon de chambre et de virées nocturnes durant presque tous les voyages de fin d’année que j’ai fait avec l’USC.
J’en aurais des tonnes à raconter, comme le bain de pieds avec les petits poissons à Magaluff, nous y sommes restés plus de 45 mn alors que la séance ne devait durer que 15 mn, on ne pouvait pas partir. Sans oublier, Torre Molino et sa fameuse virée au drive du McDo en taxi.
Manager :
Alain Pagès (Cazères) : Une façon bien à lui de dédramatiser un vestiaire avant un match. On a longtemps cherché le point rouge sur le mur. Personnage atypique, investi et attachant, quelqu’un de droit, de juste, qui aime le rugby avec tout ce que cela signifie, dans le sérieux puis dans l’amusement.
Parolier de « disait une blonde » dans le bus, il nous en a conté des histoires telles que la Sorcière de la Tour du Crieu et bien d’autres. Sa maxime devenue célèbre après un dimanche à Brassac : « A table comme des lions, sur le terrain comme des moutons !!! »
Entraîneurs :
Gérard Portolan (Stade toulousain) et Michel Antichan (Cazères) : J’ai commencé et terminé avec deux grands personnages du rugby qui inspirent le respect et qui, lorsqu’ils te parlent, tu les écoutes ! J’ai beaucoup aimé l’humilité de Gérard Portolan qui avait connu une belle carrière au Stade avant de prendre en charge notre modeste équipe 3 et de se battre pour la faire vivre. Quant à « Michto », j’aurais surtout aimé le connaître plus tôt comme coach, mais c’est ainsi.
Franck Valério (Cazères) : Il connaît ce sport sur le bout des doigts. Excellent technicien et stratège, il a toujours œuvré pour nous faire progresser. Quelqu’un d’humain, de gentil, à l’écoute de ses joueurs. Un régal.
Patrick Condominas (La Salvetat) : Il ne nous aura pas appris les techniques de ce sport mais il a su créer une vraie équipe de rugby, un état d’esprit, une alchimie entre des joueurs qui n’avaient plus, alors, beaucoup de convictions. Sous ses ordres, après qu’il ait repris la B en main avec Francis Loze, nous allâmes jusqu’en demi-finale des Pyrénées, perdue contre St-Juéry en match aller-retour.
Nous l’aurions suivi jusqu’au bout du monde. Une sacrée belle aventure sportive et humaine, dont le meilleur restera l’annonce des 22 sur la feuille de match où il écorchait systématiquement presque tous les noms.
Soigneurs :
Patrick Mas (Cazères) : Depuis qu’il n’a plus mes épaules et mon dos à chauffer, il est au chômage technique ! Et il y en a passé des tubes de Musclor. Je ne doute pas que ça lui manque aujourd’hui.
Domi (La Salvetat) : Son « allez jaune jaune jaune jaune » résonnera encore longtemps aux abords du stade des Barraques. Rien qu’en l’entendant, t’avais chaud au coeur. Puis quand tu l’entends plus, t’y penses encore.
« Jojo » Bescot (Stade toulousain) : L’emblème du Stade. Il en a vu passer du monde et depuis fort longtemps. Il les a tous côtoyés, de Jean-Pierre Rives à Guy Noves, en passant par tonton Labatut aux joueurs d’aujourd’hui. Quand tu le voyais rentrer sur le terrain, en claudiquant avec son éponge à la main, t’avais déjà plus mal. Sans oublier son traditionnel clairon de « vieille p..e » lancé à la volée ; tout le monde y a eu droit au moins une fois et je dis bien tout le monde…
Ps: rectificatif sur Andorre un essais sur une action.domage que il y en ai eu qu’une 🙂 ..mais surtout. .quelle Marseille !! Notre macht international
magnifique article
bravo cousin
nadia