L’interview décalée de…Rémi Zuppel

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 La machine s’est mise en route pour répondre à nos questions décalées. Mais le bonhomme qui se cache dessous respire le bon vivant, au sang rouge et vert, couleurs de son club de coeur, Saint-Sulpice-sur-Lèze. Toujours en première ligne dans le combat, il l’est aussi dans la vie de tous les jours. Rémi « Maximus » Zuppel nous offre une guirlande d’anecdotes qui vont forcément vous faire sourire, et plus encore. Merci Machine. (par Jonah Lomu)

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Le ryhtme dans la peau pour le Zup
Côté privé
Ton surnom ? le Zup ou Zemel
Cecile de France
Cecile de France plaît bien à Rémi

Avec quelle femme partirais-tu sur une île déserte ? Avec la mienne je peux le faire, sinon avec Cécile de France

On te confond avec qui ? Avec Raphaël Ibanez, surtout de profil
Fromage ou dessert ? Fromage, un bon calendos, bien coulant
Un alcool ? le rhum, avec coca citron, ça passe bien
Un plat ? de ma grand-mère, italienne, elle cuisine très bien.
Ta musique du moment ? Christine and the Queens, je danse presque pareil en plus, grâce à la souplesse de mon jeu de jambes

la-ligne-verte-81015Ta série (film) préférée ? La ligne verte. Culte.

L’endroit que tu aimerais faire connaître ? Le canada, j’y suis parti deux semaines, gros coup de coeur pour ce pays qui voit défiler vraiment les quatre saisons, superbe. : les paysages, la qualité de vie, l’accueil. a découvrir.
Ton passe-temps favori ? Gendarme réserviste !
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Allo chérie ?…Oups, pardon Madame.

Ta plus grosse honte ? récemment, je commandais via sms du matériel de plomberie pour la construction de ma maison. en même temps je textotais avec ma copine. je lui envoyais un message mignon, comme on peut le faire à sa copine, mais là, erreur de destinataire. C’est la vendeuse qui l’a reçu. Bon, elle a été cool, mais quelle honte !

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Ta première cuite ? A 12 ans, repas de famille. On tuait le cochon en famille à l’époque, qui fêtait ça. Avec les cousins, on buvait de la menthe à l’eau. Sauf qu’une fois, on a pris une bouteille, transparente, qu’on a pris pour de l’eau. Mais c’était de l’eau…de vie! On n’a rien senti au nez, mais même mélangée avec du sirop de menthre, ça brûe. J’ai même dit à l’époque « elle est forte cette menthe ! ». On a pris une bonne montée.

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Il faut bien que jeunesse se passe

Ta dernière grosse colère ? Avec Auterive cette saison, en play off où on ne gagne pas un match, notamment sur le dernier match où chacun se la jouait trop perso. Sinon je ne m’énerve pas trop.

Es-tu superstitieux ? Un peu. Des mêmes gestes, des habitudes, le même t-shirt avant le match.
Ta devise ? Force et Honneur

Côté terrain

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Stade de la Méditerranée, un souvenir indélébile

 

 

 

Le joueur avec qui tu rêverais de jouer ? Bakkies Botha, un bon papa en seconde pompe, tu peux voir venir avec un gars comme lui. Et puis, ça a l’air d’être un bon mec aussi. Maintenant, comme j’ai déjà joué avec John Webley (ancien capitaine de l’USSS), c’est du pareil au même

Celui que tu aimerais plaquer ? Un maigrichon de préférence, comme…Morgan Parra par exemple
Ton club préféré ? Toulon, pour le jeu, mais mon club de coeur reste Saint-Sul
Ton meilleur souvenir rugby ? la finale de fédérale 2 contre Vienne, au stade de la Méditerranée en 2012. Un grand souvenir.
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Olivier Argentin et Michel Rieux, deux entraîneurs qui comptent dans le parcours de Rémi

Ton pire ? en juniors contre l’Isle-Jourdain, avec Saint-Sul, on se fait voler le match par l’arbitre. On perd à la toute fin du match sur une pénalité. ratée, qu’il refait taper parce qu’on avait, parâit-il, bougé. Là, elle passe et il siffle la fin. il a du bien mangé ensuite, du bon foie gras offert par la maison

Le coach (ou dirigeant) qui t’a marqué ? Olivier Argentin et Michel Rieux, ils m’ont fait grandir comme joueur et comme homme aussi. De bons gars. Et je n’oublie pas Yves Monchauzou pour la formation

Côté vestiaires

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Veille de match
Que fais-tu la veille d’un match important ? Repos à la maison, télé tard car je ne dors pas. Je vérifie trente fois mon sac le soir et… je recommence le matin
Le(s) comique(s) de l’équipe ? Julien Olier dit la ruche (3ème ligne USSS). Il est tellement musclé, qu’on pense que ses boules de muscle, ce sont des piqûres d’abeille. Il est capable de tout, même s’il ne comprend rien aux annonces en touche et tout ce qu’il sy’ rapporte. Mais si tu lui lances un défi, il le fait sans hésiter. Je l’ai vu se mettre à poil devant les supporters, lors d’un repas d’après match, sur la table. Un dingue !

Le plus fêtard ? Gael Jordano (demi de mêlée de l’USSS). Il est inarrêtable, lors d’une semaine de virée, il a dormi deux heures en tout. Il détrône tout le monde. Je le mets dans la catégorie « fêtard », mais il aurait pu être dans celle du plus comique aussi

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Teddy Pécharman, la classe à l’américaine

Le plus râleur ? Alors là, il y a compétition entre Benjamin Roquebert et Jean-Guillaume Naudi. Deux bons gros râleurs permanents, surtout après l’arbitre. Ils lèvent les bras au ciel. Et ils sont les premiers à te dire de ne pas parler à l’arbitre avant le match. Ils ont le même gêne en eux, c’est sûr

Le plus fashion ? Teddy Pécharman, le mannequin printemps -été de chez Désigual. Surtout quand il porte sa casquette. Il fait un peu gay parfois

Celui qui fait peur sous la douche ? Julien Tourtoulou !  Il a une malformation je pense. On se douchait à côté. dans le vestiaire d’à côte je veux dire. On craignait une morsure.
Une anecdote mémorable ? « Tutur » Lapujade, entraîneur des avants avant que Michel Rieu n’arrive. Au moment où il fallait se concentrer, il se lançait dans un speech, et il faisait toujours une boulette, du genre : « le huit de devant, c’est les 5 doigts de la main » ou « on vient de perdre trois fois d’affilée, mais il faut continuer sur cette lancée ». Il était à la fois étourdi, ou stressé peut être. du coup, nous, on était super attentif à son discours…pour guetter la nouvelle saucisse de la semaine.
La phrase préférée d’un coach ? Cette année, avec Jean-Louis Jordana, à Auterive. Il n’arrivait pas à dire « asphyxier ». Il disait « afissier », asphissier » ou autre, mais jamais comme il faut. Là aussi, on rigolait entre nous, mais intérieurement. C’est Jean-Louis Jordana quand même !
La question qu’on ne t’a pas posée ?  Est-ce que c’est l’année de mon jubilé ? Réponse : c’est fort possible.

Fiche d’identité

Né le : 14 octobre 1986 à Toulouse
Profession : Agent territorial à la mairie de Toulouse
Parcours en club : Ecole de rugby à Eaunes-Saint-Sulpice, minimes Saint-Sulpice-sur-Lèze, Cadets juniors (Eaunes-St Sulp-Rieumes), et en séniors Saint Sul de 18 ans à 27 ans. Enfin, Auerive cette année
Poste : Talon -première ligne
Poids :  93kg HT
Taille : 1.73m au mieux
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La machine est en marche
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La saison prochaine ? Vers l’aventure et au-delà !
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Les copains de l’épopée de 2012
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Sa bien aimée en voit de toutes les couleurs
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Rémi Toutouyoutou
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Opération commando
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