Racontes-nous ton arrivée devant la Mairie ?
On se dit que tout va bien, que je vais faire un truc normal, avec une robe à 3 000 euros sur moi, un maquillage professionnel, des caméras partout, et me marier avec un homme que je n’ai jamais vu. Normal quoi ! (rires). Non, sérieusement, j’étais angoissée bien sûr, à se dire « ça y est, j’y suis ! ». Là aussi, il y a un mélange de sensations, entre la peur et l’impatience
Et peux-tu nous dire ce qu’il s’est passé lors de ce fameux premier regard ?
Ah mais il faut regarder l’émission (rires) ! Ceux qui l’auront vu comprendront. Quand je suis rentrée dans la Mairie, tout ce que je peux dire, c’est que mes yeux ont parlé à ma place je crois.
Clément nous confiait lors de son interview, qu’en t’attendant, les deux familles ont très vite sympathisé, rugby oblige. Tu confirmes ?
Oh que oui, on les entendait rire de loin. Le courant est très bien passé, et très vite, je confirme. Comme une ambiance de troisième mi-temps presque. Je pense que l’émission aurait pu s’appeler « mariés au premier Ricard ! » (rires).
Le fait de découvrir que Clément est issu du rugby, c’était un soulagement pour toi ou pas ?
C’est surtout un énorme point commun avant d’être un soulagement. On sait que l’on va pouvoir parler de plein de choses. Surtout que lui est supporter de Montpellier, le pauvre (rires), et moi de Toulon ! Dans un prochain épisode, vous verrez, on regarde un match ensemble entre nos deux équipes préférées, vous devriez bien rire je pense.
Faire cette émission, c’est obligatoirement accepter de sortir de l’anonymat. C’est un paramètre auquel on pense en priorité avant de se lancer ?
Pas vraiment, car on a le temps de s’y préparer. Mais j’en avais pleinement conscience oui. Ceci dit, j’ai bien vu l’impact que peut avoir cette émission. Me concernant, quand on se voit pour la première fois à la télé, ça fait bizarre. En plus, comme beaucoup de gens je crois, j’ai du mal avec mon image, je le dis d’ailleurs dans le deuxième épisode. Mais je me soigne (rires).
Pour tous les célibataires lectrices et lecteurs de RugbyAmateur.fr, pourrais-tu leur recommander de se lancer dans cette émission ?
Franchement, oui. C’est une expérience hors du commun quand même, qui chamboule toute votre vie. Il faut être armée émotionnellement, et avoir un entourage qui vous soutient aussi. Car pour le coup, on sort de sa zone de confort, c’est le moins que l’on puisse dire ! Et puis vu qu’il est difficile de faire des rencontres, tu commandes un mari et quelques mois plus tard, on te le livre. C’est bien ce système de click and collect pour trouver l’amour non ? (rires)
Une conclusion ?
Essai transformé !
Racontes-nous ton arrivée devant la Mairie ?
On se dit que tout va bien, que je vais faire un truc normal, avec une robe à 3 000 euros sur moi, un maquillage professionnel, des caméras partout, et me marier avec un homme que je n’ai jamais vu. Normal quoi ! (rires). Non, sérieusement, j’étais angoissée bien sûr, à se dire « ça y est, j’y suis ! ». Là aussi, il y a un mélange de sensations, entre la peur et l’impatience
Et peux-tu nous dire ce qu’il s’est passé lors de ce fameux premier regard ?
Ah mais il faut regarder l’émission (rires) ! Ceux qui l’auront vu comprendront. Quand je suis rentrée dans la Mairie, tout ce que je peux dire, c’est que mes yeux ont parlé à ma place je crois.
Clément nous confiait lors de son interview, qu’en t’attendant, les deux familles ont très vite sympathisé, rugby oblige. Tu confirmes ?
Oh que oui, on les entendait rire de loin. Le courant est très bien passé, et très vite, je confirme. Comme une ambiance de troisième mi-temps presque. Je pense que l’émission aurait pu s’appeler « mariés au premier Ricard ! » (rires).
Le fait de découvrir que Clément est issu du rugby, c’était un soulagement pour toi ou pas ?
C’est surtout un énorme point commun avant d’être un soulagement. On sait que l’on va pouvoir parler de plein de choses. Surtout que lui est supporter de Montpellier, le pauvre (rires), et moi de Toulon ! Dans un prochain épisode, vous verrez, on regarde un match ensemble entre nos deux équipes préférées, vous devriez bien rire je pense.
Faire cette émission, c’est obligatoirement accepter de sortir de l’anonymat. C’est un paramètre auquel on pense en priorité avant de se lancer ?
Pas vraiment, car on a le temps de s’y préparer. Mais j’en avais pleinement conscience oui. Ceci dit, j’ai bien vu l’impact que peut avoir cette émission. Me concernant, quand on se voit pour la première fois à la télé, ça fait bizarre. En plus, comme beaucoup de gens je crois, j’ai du mal avec mon image, je le dis d’ailleurs dans le deuxième épisode. Mais je me soigne (rires).
Pour tous les célibataires lectrices et lecteurs de RugbyAmateur.fr, pourrais-tu leur recommander de se lancer dans cette émission ?
Franchement, oui. C’est une expérience hors du commun quand même, qui chamboule toute votre vie. Il faut être armée émotionnellement, et avoir un entourage qui vous soutient aussi. Car pour le coup, on sort de sa zone de confort, c’est le moins que l’on puisse dire ! Et puis vu qu’il est difficile de faire des rencontres, tu commandes un mari et quelques mois plus tard, on te le livre. C’est bien ce système de click and collect pour trouver l’amour non ? (rires)
Une conclusion ?
Essai transformé !