La météo est capricieuse depuis quelques jours. Le froid, la pluie et même la neige sont de saison, mais prennent bon nombre d’équipes au dépourvu. Celle de Belveze Razes sait s’adapter en toutes circonstances semble-t-il…
En effet, les treizistes audois, contraints de laisser leur terrain rendu impraticable à cause de la pluie, se sont rabattus sur le city stade du village. Mais ce dernier n’étant pas éclairé, ce sont les spots de chantier des maçons de l’équipe qui ont permis aux joueurs de se voir.
Pas simple malgré tout d’alterner entre le noir complet et l’aveuglement d’un projecteur dans les yeux. « On s’est régalés » nous indiquait Jonathan, un brin ironique « après un échauffement sur le city stade, on a fini dans le champ d’à côté pour travailler le placement ». Motivés les types, car le champ est recouvert d’une herbe haute de 30 cm ! « Nous avons pu travailler tant bien que mal, sans compter tous les ballons pris dans le nez. On ne les voyait pas toujours partir, ni arriver… ni les deux parfois ! » (rires). L’amour du rugby sans limites, et l’amour du risque pour Jonathan et ses compères…
La météo est capricieuse depuis quelques jours. Le froid, la pluie et même la neige sont de saison, mais prennent bon nombre d’équipes au dépourvu. Celle de Belveze Razes sait s’adapter en toutes circonstances semble-t-il…
En effet, les treizistes audois, contraints de laisser leur terrain rendu impraticable à cause de la pluie, se sont rabattus sur le city stade du village. Mais ce dernier n’étant pas éclairé, ce sont les spots de chantier des maçons de l’équipe qui ont permis aux joueurs de se voir.
Pas simple malgré tout d’alterner entre le noir complet et l’aveuglement d’un projecteur dans les yeux. « On s’est régalés » nous indiquait Jonathan, un brin ironique « après un échauffement sur le city stade, on a fini dans le champ d’à côté pour travailler le placement ». Motivés les types, car le champ est recouvert d’une herbe haute de 30 cm ! « Nous avons pu travailler tant bien que mal, sans compter tous les ballons pris dans le nez. On ne les voyait pas toujours partir, ni arriver… ni les deux parfois ! » (rires). L’amour du rugby sans limites, et l’amour du risque pour Jonathan et ses compères…
La météo est capricieuse depuis quelques jours. Le froid, la pluie et même la neige sont de saison, mais prennent bon nombre d’équipes au dépourvu. Celle de Belveze Razes sait s’adapter en toutes circonstances semble-t-il…
En effet, les treizistes audois, contraints de laisser leur terrain rendu impraticable à cause de la pluie, se sont rabattus sur le city stade du village. Mais ce dernier n’étant pas éclairé, ce sont les spots de chantier des maçons de l’équipe qui ont permis aux joueurs de se voir.
Pas simple malgré tout d’alterner entre le noir complet et l’aveuglement d’un projecteur dans les yeux. « On s’est régalés » nous indiquait Jonathan, un brin ironique « après un échauffement sur le city stade, on a fini dans le champ d’à côté pour travailler le placement ». Motivés les types, car le champ est recouvert d’une herbe haute de 30 cm ! « Nous avons pu travailler tant bien que mal, sans compter tous les ballons pris dans le nez. On ne les voyait pas toujours partir, ni arriver… ni les deux parfois ! » (rires). L’amour du rugby sans limites, et l’amour du risque pour Jonathan et ses compères…
La météo est capricieuse depuis quelques jours. Le froid, la pluie et même la neige sont de saison, mais prennent bon nombre d’équipes au dépourvu. Celle de Belveze Razes sait s’adapter en toutes circonstances semble-t-il…
En effet, les treizistes audois, contraints de laisser leur terrain rendu impraticable à cause de la pluie, se sont rabattus sur le city stade du village. Mais ce dernier n’étant pas éclairé, ce sont les spots de chantier des maçons de l’équipe qui ont permis aux joueurs de se voir.
Pas simple malgré tout d’alterner entre le noir complet et l’aveuglement d’un projecteur dans les yeux. « On s’est régalés » nous indiquait Jonathan, un brin ironique « après un échauffement sur le city stade, on a fini dans le champ d’à côté pour travailler le placement ». Motivés les types, car le champ est recouvert d’une herbe haute de 30 cm ! « Nous avons pu travailler tant bien que mal, sans compter tous les ballons pris dans le nez. On ne les voyait pas toujours partir, ni arriver… ni les deux parfois ! » (rires). L’amour du rugby sans limites, et l’amour du risque pour Jonathan et ses compères…