Insolite : la roue de l’infortune à Eauze
Les équipes de rugby peuvent compter sur l’imagination fertile d’un ou plusieurs joueurs, prêts à tout pour bien accueillir les petits nouveaux, et à perpétuer certaines traditions…
Dans le nord ouest du Gers, se trouve Eauze, un village antique, présenté comme capitale de l’Armagnac, où vous l’aurez compris, il fait bon vivre. On y retrouve naturellement le club de rugby, l’Union Sportive Eauze, qui évolue en régionale 2 Occitanie. Le premier match officiel des Sang et Or s’est soldé par une défaite à Tournay. Pourtant en matière de « tournée générale », ils en connaissent un rayon.
Mais la bonne humeur reste de mise, et les défis permanents (remember Julien et son piercing positionné sur un endroit très sensible) avec notamment le retour de la roue élusate ! Une roue de l’infortune en quelque sorte pour les nouveaux arrivants au club. Et c’est donc Arthur, qui en a fait les frais dernièrement. Le petit nouveau de 18 ans venu de Nogaro a dû tourner la roue.
Et pour ce premier tour de roue, il n’a vraiment pas eu de chance car il est tombé sur la minuscule case du 1 (voir photo plus bas avec la liste des gages) : soit un tatouage, ou un piercing, ou la viande pour tout le monde au repas du vendredi. La légende raconte (ainsi qu’un certain Cédric, notre informateur qui souhaite rester anonyme) qu’étant végan et ayant peur des piqûres, le prince Arthur a choisi naturellement l’option tatouage, avec un taureau symbole de… Ricard.
Restait à définir l’endroit du corps. La fesse était en pôle position, mais un repas trop gras avant d’aller se faire tatouer a modifié les plans, de peur de quelques remontées et/ou flatulences malvenues incommodent le tatoueur. Ainsi le 3/4 polyvalent s’est rabattu sur la cheville gauche. Le résultat est très réussi, et nul doute que le prochain à tourner la roue fera en sorte de ne pas tomber sur le 1.
Et puis comme le disait un grand philosophe du ballon rond : « la roue tourne finit toujours par tourner ». Et puis en Armagnac, c’est bien connu, on « eauze » tout. Et peut-être même que cette tradition risque de se propager ailleurs en France…
Insolite : la roue de l’infortune à Eauze
Les équipes de rugby peuvent compter sur l’imagination fertile d’un ou plusieurs joueurs, prêts à tout pour bien accueillir les petits nouveaux, et à perpétuer certaines traditions…
Dans le nord ouest du Gers, se trouve Eauze, un village antique, présenté comme capitale de l’Armagnac, où vous l’aurez compris, il fait bon vivre. On y retrouve naturellement le club de rugby, l’Union Sportive Eauze, qui évolue en régionale 2 Occitanie. Le premier match officiel des Sang et Or s’est soldé par une défaite à Tournay. Pourtant en matière de « tournée générale », ils en connaissent un rayon.
Mais la bonne humeur reste de mise, et les défis permanents (remember Julien et son piercing positionné sur un endroit très sensible) avec notamment le retour de la roue élusate ! Une roue de l’infortune en quelque sorte pour les nouveaux arrivants au club. Et c’est donc Arthur, qui en a fait les frais dernièrement. Le petit nouveau de 18 ans venu de Nogaro a dû tourner la roue.
Et pour ce premier tour de roue, il n’a vraiment pas eu de chance car il est tombé sur la minuscule case du 1 (voir photo plus bas avec la liste des gages) : soit un tatouage, ou un piercing, ou la viande pour tout le monde au repas du vendredi. La légende raconte (ainsi qu’un certain Cédric, notre informateur qui souhaite rester anonyme) qu’étant végan et ayant peur des piqûres, le prince Arthur a choisi naturellement l’option tatouage, avec un taureau symbole de… Ricard.
Restait à définir l’endroit du corps. La fesse était en pôle position, mais un repas trop gras avant d’aller se faire tatouer a modifié les plans, de peur de quelques remontées et/ou flatulences malvenues incommodent le tatoueur. Ainsi le 3/4 polyvalent s’est rabattu sur la cheville gauche. Le résultat est très réussi, et nul doute que le prochain à tourner la roue fera en sorte de ne pas tomber sur le 1.
Et puis comme le disait un grand philosophe du ballon rond : « la roue tourne finit toujours par tourner ». Et puis en Armagnac, c’est bien connu, on « eauze » tout. Et peut-être même que cette tradition risque de se propager ailleurs en France…