A Eauze, on ose tout. Pas de cagolin élu à la majorité, mais une roue de l’infortune, avec un gage par numéro. A ce jeu de hasard, Julien, le solide polyvalent de service, qui peut évoluer tant au talon qu’en troisième ligne, n’a pas été verni. Il a hérité du gage n°6, soit « se faire poser un percing » ! Après quelques bières échangées au coin du comptoir d’après match, Julien s’est fait chauffer par ses coéquipiers, certains qu’il ne le ferait pas, et encore moins au téton…
Mais Julien, militaire de métier, n’est pas du genre à rebrousser chemin face à un prétendu obstacle. La légende raconte qu’au moment de la pose du percing, son cri de douleur a tout de même été entendu dans tout le Gers. Mais comme sa photo le prouve, il « Gers » cette pose avec le sourire désormais. Pourvu que ses futurs adversaires ne lisent pas RugbyAmateur !