Hervé Blanchard s’est signalé dimanche dernier, en posant un genou à terre. Non pas de fatigue, car l’ailier ariégeois est inoxydable du haut de ses 42 printemps, et a aidé son équipe de Castelnau Bastide 117 (c’est le nom de la nationale, pas sa vitesse de pointe) à l’emporter 22-18, contre un autre Castelnau, en Madiran. Mais bien pour faire sa demande comme un prince à sa princesse…
« J’avais la boule au ventre oui, je l’avoue, ce n’est pas simple de faire sa demande devant du monde, qui plus est, devant l’équipe. Tous n’étaient pas au courant, même si certains s’en doutaient car… j’avais payé l’apéro (rires) ! »
Et oui, Fofo, pour les intimes se confiait à nous avec le sourire. Il se remémorait son plus beau geste du weekend. Il a pris la main de sa dulcinée pour lui demander de devenir sa femme. Et Aline n’a pas hésité longtemps, pour dire un grand oui : « J’ai de la chance, pas parce qu’elle a dit oui, mais parce qu’elle m’a dit que je pouvais jouer encore deux ans. Elle adore le rugby elle aussi ! » souriait le futur marié.
Hervé, surnommé Fofo donc, ou même tractopelle, est le plus heureux des hommes. Celui qui n’aura connu que deux clubs, à la Barguillère pendant onze ans, puis à Castelnau Bastide pendant dix ans, nous confiait que le mariage était prévu pour l’été 2021, probablement sur le terrain de Labastide. Entraîneur des U14 de l’entente Foix-La Barguillère-Labastide-Tarascon, il ne pouvait en être autrement. En revanche, pour le choix du témoin, il a un peu surpris son monde, et notamment Damien (Szczepanski), troisième ou seconde ligne de l’équipe rouge et noire, qui visiblement, ne s’y attendait pas du tout : « On se connaît depuis quatre ans. Quand j’ai entendu mon nom comme témoin, j’avoue que j’ai été surpris. Mais c’est vrai que j‘ai une très bonne relation avec Fofo. C’est quelqu’un d’entier, honnête, droit, c’est important pour lui, donc je suis très honoré de cette marque de confiance qu’il m’accorde. Et puis, je gagne un weekend de fête pour l’enterrement de vie de garçon, et un autre pour le jour du mariage, je prends (rires) ». Fofo, lui, explique son choix de manière limpide : « Il n’était pas au courant, mais on s’aime bien, c’est un bon mec, et ça me suffit ».
Quant au deuxième témoin, ce n’est autre que l’entraîneur-joueur de l’équipe. Un choix stratégique donc, qui devrait permettre à l’ailier vétéran d’assurer sa place pour les deux ans à venir. Félicitations aux amoureux !
Hervé Blanchard s’est signalé dimanche dernier, en posant un genou à terre. Non pas de fatigue, car l’ailier ariégeois est inoxydable du haut de ses 42 printemps, et a aidé son équipe de Castelnau Bastide 117 (c’est le nom de la nationale, pas sa vitesse de pointe) à l’emporter 22-18, contre un autre Castelnau, en Madiran. Mais bien pour faire sa demande comme un prince à sa princesse…
« J’avais la boule au ventre oui, je l’avoue, ce n’est pas simple de faire sa demande devant du monde, qui plus est, devant l’équipe. Tous n’étaient pas au courant, même si certains s’en doutaient car… j’avais payé l’apéro (rires) ! »
Et oui, Fofo, pour les intimes se confiait à nous avec le sourire. Il se remémorait son plus beau geste du weekend. Il a pris la main de sa dulcinée pour lui demander de devenir sa femme. Et Aline n’a pas hésité longtemps, pour dire un grand oui : « J’ai de la chance, pas parce qu’elle a dit oui, mais parce qu’elle m’a dit que je pouvais jouer encore deux ans. Elle adore le rugby elle aussi ! » souriait le futur marié.
Hervé, surnommé Fofo donc, ou même tractopelle, est le plus heureux des hommes. Celui qui n’aura connu que deux clubs, à la Barguillère pendant onze ans, puis à Castelnau Bastide pendant dix ans, nous confiait que le mariage était prévu pour l’été 2021, probablement sur le terrain de Labastide. Entraîneur des U14 de l’entente Foix-La Barguillère-Labastide-Tarascon, il ne pouvait en être autrement. En revanche, pour le choix du témoin, il a un peu surpris son monde, et notamment Damien (Szczepanski), troisième ou seconde ligne de l’équipe rouge et noire, qui visiblement, ne s’y attendait pas du tout : « On se connaît depuis quatre ans. Quand j’ai entendu mon nom comme témoin, j’avoue que j’ai été surpris. Mais c’est vrai que j‘ai une très bonne relation avec Fofo. C’est quelqu’un d’entier, honnête, droit, c’est important pour lui, donc je suis très honoré de cette marque de confiance qu’il m’accorde. Et puis, je gagne un weekend de fête pour l’enterrement de vie de garçon, et un autre pour le jour du mariage, je prends (rires) ». Fofo, lui, explique son choix de manière limpide : « Il n’était pas au courant, mais on s’aime bien, c’est un bon mec, et ça me suffit ».
Quant au deuxième témoin, ce n’est autre que l’entraîneur-joueur de l’équipe. Un choix stratégique donc, qui devrait permettre à l’ailier vétéran d’assurer sa place pour les deux ans à venir. Félicitations aux amoureux !