L’intersaison est toujours le théâtre de nombreuses mutations de joueurs, mais pas que… Il arrive aussi que cette période soit propice à la valse des présidents, comme cela a été le cas récemment pour le Rugby Club Palavas Les Genêts… (par Marco Matabiau).
Au terme de l’exercice 2017/ 2018, l’équipe fanion du RCP s’est maintenue de justesse en Fédérale 3 (dans une poule 11 des plus difficiles avec, pour ne citer qu’eux, Pézenas, Thuir, Rivesaltes, la Côte Vermeille et Gruissan, futur champion de France). Pourtant, dans la foulée, le président Michel Milovic, arrivé en juin 2017 à la demande du maire de la ville Christian Jeanjean et du Président d’Honneur Gilbert Roquefort, a passé la main. Celui qui est aussi président de la Fédération Monténégrine de Rugby (depuis 5 ans) avait repris le club au bord de la mise en sommeil. En l’espace de 10 mois, il aura néanmoins réussi, avec son équipe dirigeante, à remettre le club sur les bons rails, tant financièrement que sportivement.
Pour lui succéder, le 31 mai dernier, le RCP a fait le choix de Charlène Bénézech, une Palavasienne pur jus, belle-fille et épouse de deux hommes fortement liés au club (son beau-père André et de nombreux membres de la famille de son mari Sébastien ayant brillamment porté le maillot du RCP). Nul doute qu’elle mettra tout en œuvre afin que son club de cœur joue les premiers rôles en 2018/ 2019, à nouveau dans la poule 11, tout aussi relevée que la saison passée.
Afin de faire face aux rudes échéances qui se profilent, le club s’est évidemment activé sur le marché des transferts. Parmi les recrues, on compte notamment le demi de mêlée nimois Mathieu Pommery (26 ans) ainsi que le solide et expérimenté deuxième ligne Mamadou Koïta, passé entre autres par Béziers, Grenoble, Saint Etienne et Romans. Ils ne seront pas de trop pour se confronter aux vieilles connaissances telles que les équipes déjà citées plus haut, plus Vendres-Lespignan, Servian Boujan ou encore Elne et les Rives d’Orb. De quoi assurer de belles affluences (et de belles recettes) du côté du Stade des Jockeys.
Notons également l’arrivée de Robin Solana pour entraîner les trois quarts de l’équipe première. Victime d’une agression en fin de saison avec son équipe de Millau, l’arrière a mis sa carrière de joueur entre parenthèses pour se consacrer à celle d’entraîneur.
L’intersaison est toujours le théâtre de nombreuses mutations de joueurs, mais pas que… Il arrive aussi que cette période soit propice à la valse des présidents, comme cela a été le cas récemment pour le Rugby Club Palavas Les Genêts… (par Marco Matabiau).
Au terme de l’exercice 2017/ 2018, l’équipe fanion du RCP s’est maintenue de justesse en Fédérale 3 (dans une poule 11 des plus difficiles avec, pour ne citer qu’eux, Pézenas, Thuir, Rivesaltes, la Côte Vermeille et Gruissan, futur champion de France). Pourtant, dans la foulée, le président Michel Milovic, arrivé en juin 2017 à la demande du maire de la ville Christian Jeanjean et du Président d’Honneur Gilbert Roquefort, a passé la main. Celui qui est aussi président de la Fédération Monténégrine de Rugby (depuis 5 ans) avait repris le club au bord de la mise en sommeil. En l’espace de 10 mois, il aura néanmoins réussi, avec son équipe dirigeante, à remettre le club sur les bons rails, tant financièrement que sportivement.
Pour lui succéder, le 31 mai dernier, le RCP a fait le choix de Charlène Bénézech, une Palavasienne pur jus, belle-fille et épouse de deux hommes fortement liés au club (son beau-père André et de nombreux membres de la famille de son mari Sébastien ayant brillamment porté le maillot du RCP). Nul doute qu’elle mettra tout en œuvre afin que son club de cœur joue les premiers rôles en 2018/ 2019, à nouveau dans la poule 11, tout aussi relevée que la saison passée.
Afin de faire face aux rudes échéances qui se profilent, le club s’est évidemment activé sur le marché des transferts. Parmi les recrues, on compte notamment le demi de mêlée nimois Mathieu Pommery (26 ans) ainsi que le solide et expérimenté deuxième ligne Mamadou Koïta, passé entre autres par Béziers, Grenoble, Saint Etienne et Romans. Ils ne seront pas de trop pour se confronter aux vieilles connaissances telles que les équipes déjà citées plus haut, plus Vendres-Lespignan, Servian Boujan ou encore Elne et les Rives d’Orb. De quoi assurer de belles affluences (et de belles recettes) du côté du Stade des Jockeys.
Notons également l’arrivée de Robin Solana pour entraîner les trois quarts de l’équipe première. Victime d’une agression en fin de saison avec son équipe de Millau, l’arrière a mis sa carrière de joueur entre parenthèses pour se consacrer à celle d’entraîneur.
L’intersaison est toujours le théâtre de nombreuses mutations de joueurs, mais pas que… Il arrive aussi que cette période soit propice à la valse des présidents, comme cela a été le cas récemment pour le Rugby Club Palavas Les Genêts… (par Marco Matabiau).
Au terme de l’exercice 2017/ 2018, l’équipe fanion du RCP s’est maintenue de justesse en Fédérale 3 (dans une poule 11 des plus difficiles avec, pour ne citer qu’eux, Pézenas, Thuir, Rivesaltes, la Côte Vermeille et Gruissan, futur champion de France). Pourtant, dans la foulée, le président Michel Milovic, arrivé en juin 2017 à la demande du maire de la ville Christian Jeanjean et du Président d’Honneur Gilbert Roquefort, a passé la main. Celui qui est aussi président de la Fédération Monténégrine de Rugby (depuis 5 ans) avait repris le club au bord de la mise en sommeil. En l’espace de 10 mois, il aura néanmoins réussi, avec son équipe dirigeante, à remettre le club sur les bons rails, tant financièrement que sportivement.
Pour lui succéder, le 31 mai dernier, le RCP a fait le choix de Charlène Bénézech, une Palavasienne pur jus, belle-fille et épouse de deux hommes fortement liés au club (son beau-père André et de nombreux membres de la famille de son mari Sébastien ayant brillamment porté le maillot du RCP). Nul doute qu’elle mettra tout en œuvre afin que son club de cœur joue les premiers rôles en 2018/ 2019, à nouveau dans la poule 11, tout aussi relevée que la saison passée.
Afin de faire face aux rudes échéances qui se profilent, le club s’est évidemment activé sur le marché des transferts. Parmi les recrues, on compte notamment le demi de mêlée nimois Mathieu Pommery (26 ans) ainsi que le solide et expérimenté deuxième ligne Mamadou Koïta, passé entre autres par Béziers, Grenoble, Saint Etienne et Romans. Ils ne seront pas de trop pour se confronter aux vieilles connaissances telles que les équipes déjà citées plus haut, plus Vendres-Lespignan, Servian Boujan ou encore Elne et les Rives d’Orb. De quoi assurer de belles affluences (et de belles recettes) du côté du Stade des Jockeys.
Notons également l’arrivée de Robin Solana pour entraîner les trois quarts de l’équipe première. Victime d’une agression en fin de saison avec son équipe de Millau, l’arrière a mis sa carrière de joueur entre parenthèses pour se consacrer à celle d’entraîneur.
L’intersaison est toujours le théâtre de nombreuses mutations de joueurs, mais pas que… Il arrive aussi que cette période soit propice à la valse des présidents, comme cela a été le cas récemment pour le Rugby Club Palavas Les Genêts… (par Marco Matabiau).
Au terme de l’exercice 2017/ 2018, l’équipe fanion du RCP s’est maintenue de justesse en Fédérale 3 (dans une poule 11 des plus difficiles avec, pour ne citer qu’eux, Pézenas, Thuir, Rivesaltes, la Côte Vermeille et Gruissan, futur champion de France). Pourtant, dans la foulée, le président Michel Milovic, arrivé en juin 2017 à la demande du maire de la ville Christian Jeanjean et du Président d’Honneur Gilbert Roquefort, a passé la main. Celui qui est aussi président de la Fédération Monténégrine de Rugby (depuis 5 ans) avait repris le club au bord de la mise en sommeil. En l’espace de 10 mois, il aura néanmoins réussi, avec son équipe dirigeante, à remettre le club sur les bons rails, tant financièrement que sportivement.
Pour lui succéder, le 31 mai dernier, le RCP a fait le choix de Charlène Bénézech, une Palavasienne pur jus, belle-fille et épouse de deux hommes fortement liés au club (son beau-père André et de nombreux membres de la famille de son mari Sébastien ayant brillamment porté le maillot du RCP). Nul doute qu’elle mettra tout en œuvre afin que son club de cœur joue les premiers rôles en 2018/ 2019, à nouveau dans la poule 11, tout aussi relevée que la saison passée.
Afin de faire face aux rudes échéances qui se profilent, le club s’est évidemment activé sur le marché des transferts. Parmi les recrues, on compte notamment le demi de mêlée nimois Mathieu Pommery (26 ans) ainsi que le solide et expérimenté deuxième ligne Mamadou Koïta, passé entre autres par Béziers, Grenoble, Saint Etienne et Romans. Ils ne seront pas de trop pour se confronter aux vieilles connaissances telles que les équipes déjà citées plus haut, plus Vendres-Lespignan, Servian Boujan ou encore Elne et les Rives d’Orb. De quoi assurer de belles affluences (et de belles recettes) du côté du Stade des Jockeys.
Notons également l’arrivée de Robin Solana pour entraîner les trois quarts de l’équipe première. Victime d’une agression en fin de saison avec son équipe de Millau, l’arrière a mis sa carrière de joueur entre parenthèses pour se consacrer à celle d’entraîneur.