C’est une nouvelle entente validée depuis hier soir. Villeneuve du Paréage, à force de vivre des hauts et des très bas comme cette saison, avait besoin de stabilité. St Jean du Falga avait besoin de retrouver un second souffle. Les deux clubs situés au nord et au sud du grand voisin appaméen, distants que d’une dizaine de kilomètres entendent bien pérenniser le rugby autour d’eux…
Saint-Jean du Falga avait touché du bois pyrénéen en 2017 sur la pelouse d’Ernest Wallon (voir le résumé de la finale en vidéo). Villeneuve du Paréage en avait fait de même deux ans plus tard (voir article). Cette année, le premier a terminé à la 7ème place de 1ère série, quant au VP XV, il a tout simplement déclaré forfait général en promotion honneur. Les deux clubs ariégeois, comme tant d’autres, ont traversé la période covid avec difficulté, mais après mûre réflexion, se montrent aussi raisonnables qu’ambitieux. Raisonnables, car l’avenir de certains clubs qui restent isolés semble s’assombrir, alors que l’apport de plus de quantité et de qualité garantit un meilleur futur. Ambitieux, car ces deux clubs historiques seront certainement les premiers à bénéficier de la montée en puissance de Pamiers. Les jeunes et/ou les moins jeunes désireux de continuer à jouer avec moins de contraintes auront une alternative à côté de chez eux.
D’autres formations de ce même département avaient déjà paraphé leur contrat de mariage avec un voisin pour sauver le rugby dans leur secteur. Entre des forfaits épisodiques, durables, et des mises en sommeil, cette entente ressemble fort à une tendance qui se généralise depuis plusieurs saisons déjà. D’autres clubs s’en inspireront peut-être, par choix et/ou par obligation…
C’est une nouvelle entente validée depuis hier soir. Villeneuve du Paréage, à force de vivre des hauts et des très bas comme cette saison, avait besoin de stabilité. St Jean du Falga avait besoin de retrouver un second souffle. Les deux clubs situés au nord et au sud du grand voisin appaméen, distants que d’une dizaine de kilomètres entendent bien pérenniser le rugby autour d’eux…
Saint-Jean du Falga avait touché du bois pyrénéen en 2017 sur la pelouse d’Ernest Wallon (voir le résumé de la finale en vidéo). Villeneuve du Paréage en avait fait de même deux ans plus tard (voir article). Cette année, le premier a terminé à la 7ème place de 1ère série, quant au VP XV, il a tout simplement déclaré forfait général en promotion honneur. Les deux clubs ariégeois, comme tant d’autres, ont traversé la période covid avec difficulté, mais après mûre réflexion, se montrent aussi raisonnables qu’ambitieux. Raisonnables, car l’avenir de certains clubs qui restent isolés semble s’assombrir, alors que l’apport de plus de quantité et de qualité garantit un meilleur futur. Ambitieux, car ces deux clubs historiques seront certainement les premiers à bénéficier de la montée en puissance de Pamiers. Les jeunes et/ou les moins jeunes désireux de continuer à jouer avec moins de contraintes auront une alternative à côté de chez eux.
D’autres formations de ce même département avaient déjà paraphé leur contrat de mariage avec un voisin pour sauver le rugby dans leur secteur. Entre des forfaits épisodiques, durables, et des mises en sommeil, cette entente ressemble fort à une tendance qui se généralise depuis plusieurs saisons déjà. D’autres clubs s’en inspireront peut-être, par choix et/ou par obligation…
C’est une nouvelle entente validée depuis hier soir. Villeneuve du Paréage, à force de vivre des hauts et des très bas comme cette saison, avait besoin de stabilité. St Jean du Falga avait besoin de retrouver un second souffle. Les deux clubs situés au nord et au sud du grand voisin appaméen, distants que d’une dizaine de kilomètres entendent bien pérenniser le rugby autour d’eux…
Saint-Jean du Falga avait touché du bois pyrénéen en 2017 sur la pelouse d’Ernest Wallon (voir le résumé de la finale en vidéo). Villeneuve du Paréage en avait fait de même deux ans plus tard (voir article). Cette année, le premier a terminé à la 7ème place de 1ère série, quant au VP XV, il a tout simplement déclaré forfait général en promotion honneur. Les deux clubs ariégeois, comme tant d’autres, ont traversé la période covid avec difficulté, mais après mûre réflexion, se montrent aussi raisonnables qu’ambitieux. Raisonnables, car l’avenir de certains clubs qui restent isolés semble s’assombrir, alors que l’apport de plus de quantité et de qualité garantit un meilleur futur. Ambitieux, car ces deux clubs historiques seront certainement les premiers à bénéficier de la montée en puissance de Pamiers. Les jeunes et/ou les moins jeunes désireux de continuer à jouer avec moins de contraintes auront une alternative à côté de chez eux.
D’autres formations de ce même département avaient déjà paraphé leur contrat de mariage avec un voisin pour sauver le rugby dans leur secteur. Entre des forfaits épisodiques, durables, et des mises en sommeil, cette entente ressemble fort à une tendance qui se généralise depuis plusieurs saisons déjà. D’autres clubs s’en inspireront peut-être, par choix et/ou par obligation…
C’est une nouvelle entente validée depuis hier soir. Villeneuve du Paréage, à force de vivre des hauts et des très bas comme cette saison, avait besoin de stabilité. St Jean du Falga avait besoin de retrouver un second souffle. Les deux clubs situés au nord et au sud du grand voisin appaméen, distants que d’une dizaine de kilomètres entendent bien pérenniser le rugby autour d’eux…
Saint-Jean du Falga avait touché du bois pyrénéen en 2017 sur la pelouse d’Ernest Wallon (voir le résumé de la finale en vidéo). Villeneuve du Paréage en avait fait de même deux ans plus tard (voir article). Cette année, le premier a terminé à la 7ème place de 1ère série, quant au VP XV, il a tout simplement déclaré forfait général en promotion honneur. Les deux clubs ariégeois, comme tant d’autres, ont traversé la période covid avec difficulté, mais après mûre réflexion, se montrent aussi raisonnables qu’ambitieux. Raisonnables, car l’avenir de certains clubs qui restent isolés semble s’assombrir, alors que l’apport de plus de quantité et de qualité garantit un meilleur futur. Ambitieux, car ces deux clubs historiques seront certainement les premiers à bénéficier de la montée en puissance de Pamiers. Les jeunes et/ou les moins jeunes désireux de continuer à jouer avec moins de contraintes auront une alternative à côté de chez eux.
D’autres formations de ce même département avaient déjà paraphé leur contrat de mariage avec un voisin pour sauver le rugby dans leur secteur. Entre des forfaits épisodiques, durables, et des mises en sommeil, cette entente ressemble fort à une tendance qui se généralise depuis plusieurs saisons déjà. D’autres clubs s’en inspireront peut-être, par choix et/ou par obligation…