Lionel Reus est un « ancien » pilier gauche de l’AS Passage, devenu soigneur. Le gaillard a montré qu’il était en forme et qu’il avait du mental après avoir parcouru le chemin de St Jacques de Compostelle… pour la 6ème fois. Un sacré pèlerin…
A chacun sa quête, qu’elle soit culturelle, religieuse et/ou spirituelle, que vous soyez amoureux de l’Histoire, de la nature, ou même de la gastronomie espagnole. Longue est la route qui mène à St Jacques de Compostelle, quel qu’ne soit le point de départ. Car pour arriver au pied de la cathédrale en Galice, il faudra marcher, marcher, et encore marcher. Lionel Reus en sait quelque chose : « Tout est parti d’une promesse faite à mon père. Je fais cette marche depuis 6 ans, sur mon temps de vacances. J’en profite pour allumer des cierges et penser à quelques anciens partis trop tôt… et bénir le nouveau maillot du club. »
Partir du Puy en Velay et faire le chemin qui mène à Compostelle durant une partie de ses congés, c’est déjà un bel exploit. Une semaine de marche qui met à rude épreuve le physique et le mental. 6 à 12 étapes nécessitant de l’endurance et de la régularité pour des étapes bien définies : Le Puy en Velay/Rocamadour ; Moissac/Aire sur Adour ; Aire sur Adour/Ronceveau ; Irun/Bilbao ; Bilbao/Santander et enfin Astorga/Santiago. « Le plus dur ce sont les jours de pluie. Si tu as un mental en plastique, c’est mort ! On s’aperçoit au fur et à mesure du chemin parcouru, que le corps est une formidable machine. Même à 120kg (rires), j’ai marché à mon rythme. »
La récupération est essentielle, un bon sommeil aussi, Lionel a alterné le confort pour chaque nuit : « Je dormais dans les gîtes, les albergues, les abbayes, les monastères. En fonction de la ville et du budget. » Qu’importe la nuit et le réveil, il fallait repartir et profiter aussi des paysages et de la nature qui vous entourent : « Sans être chauvin, mis à part la formidable et impressionnante arrivée sur la place de la cathédrale de Santiago, ce qui domine dans mes souvenirs, ce sont les paysages du Gers et du Béarn qui m’ont rappelé comment la France est belle. »
Un périple lors du weekend de l’Ascension qui permet aussi de croiser du monde : « On peut faire des rencontres sympas oui, avec beaucoup de coréens surtout (rires) ». Mission accomplie encore cette année pour Lionel, qui a rasé sa moustache et sa barbe pour l’occasion, comme un homme neuf. Comme un homme reparti d’Espagne avec le certificat final du Camino, qui atteste de son pèlerinage complet. Qu’en sera-t-il l’année prochaine ? La suite au prochain pèlerinage…
Lionel Reus est un « ancien » pilier gauche de l’AS Passage, devenu soigneur. Le gaillard a montré qu’il était en forme et qu’il avait du mental après avoir parcouru le chemin de St Jacques de Compostelle… pour la 6ème fois. Un sacré pèlerin…
A chacun sa quête, qu’elle soit culturelle, religieuse et/ou spirituelle, que vous soyez amoureux de l’Histoire, de la nature, ou même de la gastronomie espagnole. Longue est la route qui mène à St Jacques de Compostelle, quel qu’ne soit le point de départ. Car pour arriver au pied de la cathédrale en Galice, il faudra marcher, marcher, et encore marcher. Lionel Reus en sait quelque chose : « Tout est parti d’une promesse faite à mon père. Je fais cette marche depuis 6 ans, sur mon temps de vacances. J’en profite pour allumer des cierges et penser à quelques anciens partis trop tôt… et bénir le nouveau maillot du club. »
Partir du Puy en Velay et faire le chemin qui mène à Compostelle durant une partie de ses congés, c’est déjà un bel exploit. Une semaine de marche qui met à rude épreuve le physique et le mental. 6 à 12 étapes nécessitant de l’endurance et de la régularité pour des étapes bien définies : Le Puy en Velay/Rocamadour ; Moissac/Aire sur Adour ; Aire sur Adour/Ronceveau ; Irun/Bilbao ; Bilbao/Santander et enfin Astorga/Santiago. « Le plus dur ce sont les jours de pluie. Si tu as un mental en plastique, c’est mort ! On s’aperçoit au fur et à mesure du chemin parcouru, que le corps est une formidable machine. Même à 120kg (rires), j’ai marché à mon rythme. »
La récupération est essentielle, un bon sommeil aussi, Lionel a alterné le confort pour chaque nuit : « Je dormais dans les gîtes, les albergues, les abbayes, les monastères. En fonction de la ville et du budget. » Qu’importe la nuit et le réveil, il fallait repartir et profiter aussi des paysages et de la nature qui vous entourent : « Sans être chauvin, mis à part la formidable et impressionnante arrivée sur la place de la cathédrale de Santiago, ce qui domine dans mes souvenirs, ce sont les paysages du Gers et du Béarn qui m’ont rappelé comment la France est belle. »
Un périple lors du weekend de l’Ascension qui permet aussi de croiser du monde : « On peut faire des rencontres sympas oui, avec beaucoup de coréens surtout (rires) ». Mission accomplie encore cette année pour Lionel, qui a rasé sa moustache et sa barbe pour l’occasion, comme un homme neuf. Comme un homme reparti d’Espagne avec le certificat final du Camino, qui atteste de son pèlerinage complet. Qu’en sera-t-il l’année prochaine ? La suite au prochain pèlerinage…