Ils font des cagades, espèrent que ça passera inaperçu, mais se font rattraper par la patrouille après le match. Ils se retrouvent en pleine lumière avec souvent un costume ou un objet qui les différencie de la 3ème mi-temps. Voici les cagolins du week-end dernier…
Difficile de reconnaître le cagolin de la Saudrune sur cette photo. Sachez simplement qu’il s’agit de Nicolas Dutilh. Visiblement, l’ailier haut-garonnais a rencontré des soucis de coordination à l’échauffement, provoquant un fou rire général propagé à toute l’équipe, juste avant de rentrer sur le terrain pour commencer le match du jour…
Benoit Matose est dans les cordes, mais ce n’est pas une expression, c’est vraiment son métier. Alors quand le numéro 9 s’élance pour tirer une pénalité face aux perches, à moins de 20m, et qu’il l’a rate, il se doit de porter le costume du cagolin à son travail. Avouez que ce n’est pas simple pour lui ! Mais Benoît garde le sourire.
On peut être capitaine de Verfeil et être étourdi. Non, il ne faut pas laisser ses crampons sécher sur un radiateur. En tout cas pas trop longtemps, sinon, ils fondent !
Dimitri Vestrepen est un numéro 8 respecté avec la réserve de Labarthe sur Lèze. Sauf quand il tombe le ballon dans l’en but avant de marquer un essai tout fait.
A mi chemin entre le maffré et le cagolin, Jeremy Giste ouvre une brèche entre les deux rubriques. Car si tout le monde connaît bien le gaz de Giste, on saura désormais qu’il lui est difficile de passer entre les gouttes… grâce à ses compères du Coq Léguevinois. Merci à eux donc, qui ont tout fait pour que cette photo n’apparaisse pas…ou presque.
Le cagolin s’exporte de plus en plus. Lors du match RC Orléans-Patey (rugby loisirs), Mickaël Gandarinho, s’est distingué par une percée légendaire sur toute la…largeur du terrain ! Résultat, l’arrière a été contraint de porter le costume du cagolin. Soutenu par ses collègues, il n’avait pourtant pas besoin d’une autre paire a priori…