Il y en a un dans chaque club ou presque, un de ceux dont on dit, qu’il est là depuis toujours, ce bénévole au coeur d’or, aux anecdotes innombrables, et à la passion chevillée au corps comme personne…
A Decazeville, François Trujillo est de ceux-là, à 82 printemps, il est le magasinier de service, mais surtout et avant tout le papi de tout le monde, dans le club aveyronnais. Celui qui vient pousser la chansonnette avec ses petits, à la fin des matchs, et si possible après une victoire. Dimanche dernier, les réservistes ont gagné, alors François est allé à leur rencontre sur le pré, le sourire aux lèvres bien sûr, à peine masqué par sa belle moustache, pour partager un nouveau moment de vocalise et d’amitié.
Il a encouragé de toutes ses forces l’équipe première dans la foulée bien sûr, a touché la main de chaque joueur, mais cela n’a pas suffit, le SCD s’est incliné contre Pamiers. La situation sportive est compliquée certes, mais qu’importe, dimanche prochain, et tous les autres de la saison, François sera là, comme d’habitude, comme toujours. Et puis, de toute façon, que ferait-on sans son François ?
Il y en a un dans chaque club ou presque, un de ceux dont on dit, qu’il est là depuis toujours, ce bénévole au coeur d’or, aux anecdotes innombrables, et à la passion chevillée au corps comme personne…
A Decazeville, François Trujillo est de ceux-là, à 82 printemps, il est le magasinier de service, mais surtout et avant tout le papi de tout le monde, dans le club aveyronnais. Celui qui vient pousser la chansonnette avec ses petits, à la fin des matchs, et si possible après une victoire. Dimanche dernier, les réservistes ont gagné, alors François est allé à leur rencontre sur le pré, le sourire aux lèvres bien sûr, à peine masqué par sa belle moustache, pour partager un nouveau moment de vocalise et d’amitié.
Il a encouragé de toutes ses forces l’équipe première dans la foulée bien sûr, a touché la main de chaque joueur, mais cela n’a pas suffit, le SCD s’est incliné contre Pamiers. La situation sportive est compliquée certes, mais qu’importe, dimanche prochain, et tous les autres de la saison, François sera là, comme d’habitude, comme toujours. Et puis, de toute façon, que ferait-on sans son François ?