Dupont la joie – La blessure d’Antoine Dupont a provoqué une éclipse nocturne sur la victoire « historique » des Bleus contre la fédérale 1 de Namibie. A sa sortie du terrain, le regard du numéro neuf du XV de France en disait suffisamment long, son visage aussi désormais. On le sait gaillard notre Toto, mais il aura beau serrer les dents contre la douleur, il ne pourra serrer la mâchoire tant qu’elle ne sera pas consolider…
C’est la faute à pas de chance pour les uns, car c’est le jeu. C’est la faute à Galthié pour les autres, incultes, comme si Dupont n’avait pas pu se blesser en première mi-temps, avant de délivrer ses merveilles de passes au pied. La faute aussi à ce Johan Deysel, pour quelques débiles, puisque devenu Vin Diesel en l’espace d’une action, et la victime d’un torrent d’insultes sur les réseaux sociaux. Allister, son sélectionneur a dû Coetzee après le match, pour prendre sa défense, et assurer que son capitaine était un joueur loyal. Un ami bien aussi on vous dit !
Reste que le sort s’acharne sur nos Bleus. Si la fracture au visage était confirmée, il faudrait un miracle pour revoir notre Toto national participer à la grand messe du rugby mondial. Un miracle ? Messe ? Mais c’est du pain béni, profitons-en, le Pape est dans la cité Phocéenne justement aujourd’hui.
Que le staff aille sur place pour implorer les dieux du rugby et leur saint patron. God, save the king please, et pas uniquement parce que Charles est lui aussi sur le sol français. Demandez aussi où se trouve le chat all black qui rôde autour des Bleus, résidant à Mal…maison. Un signe ?
En tout cas, le miracle est permanent pour… les médias, les vrais, comme les autres, devenus soudainement urgentistes hier soir, et experts de tout, pour donner leur avis… médical. Et bien sûr prescrire des articles à foison sur la blessure de Dupont. Dupont la joie donc, pour ces mains qui se frottent, ravies de tant de péripéties, et de polémiques en tous genres.
Laporte, Chalureau, Dujardin, et maintenant l’icône de notre rugby français, pensez-donc, ça tombe du ciel. Allez, pas de blague Toto, reviens-nous vite, on a mal dormi cette nuit nous aussi…
Dupont la joie – La blessure d’Antoine Dupont a provoqué une éclipse nocturne sur la victoire « historique » des Bleus contre la fédérale 1 de Namibie. A sa sortie du terrain, le regard du numéro neuf du XV de France en disait suffisamment long, son visage aussi désormais. On le sait gaillard notre Toto, mais il aura beau serrer les dents contre la douleur, il ne pourra serrer la mâchoire tant qu’elle ne sera pas consolider…
C’est la faute à pas de chance pour les uns, car c’est le jeu. C’est la faute à Galthié pour les autres, incultes, comme si Dupont n’avait pas pu se blesser en première mi-temps, avant de délivrer ses merveilles de passes au pied. La faute aussi à ce Johan Deysel, pour quelques débiles, puisque devenu Vin Diesel en l’espace d’une action, et la victime d’un torrent d’insultes sur les réseaux sociaux. Allister, son sélectionneur a dû Coetzee après le match, pour prendre sa défense, et assurer que son capitaine était un joueur loyal. Un ami bien aussi on vous dit !
Reste que le sort s’acharne sur nos Bleus. Si la fracture au visage était confirmée, il faudrait un miracle pour revoir notre Toto national participer à la grand messe du rugby mondial. Un miracle ? Messe ? Mais c’est du pain béni, profitons-en, le Pape est dans la cité Phocéenne justement aujourd’hui.
Que le staff aille sur place pour implorer les dieux du rugby et leur saint patron. God, save the king please, et pas uniquement parce que Charles est lui aussi sur le sol français. Demandez aussi où se trouve le chat all black qui rôde autour des Bleus, résidant à Mal…maison. Un signe ?
En tout cas, le miracle est permanent pour… les médias, les vrais, comme les autres, devenus soudainement urgentistes hier soir, et experts de tout, pour donner leur avis… médical. Et bien sûr prescrire des articles à foison sur la blessure de Dupont. Dupont la joie donc, pour ces mains qui se frottent, ravies de tant de péripéties, et de polémiques en tous genres.
Laporte, Chalureau, Dujardin, et maintenant l’icône de notre rugby français, pensez-donc, ça tombe du ciel. Allez, pas de blague Toto, reviens-nous vite, on a mal dormi cette nuit nous aussi…