Très grande saison 2016-17 pour notre rubrique qui ne cesse de gagner du terrain partout en France. En voici les raisons et le best of…
Un carton jaune reçu une minute après sa rentrée sur le pré, un ailier repris de vitesse par un…pilier, un quatre contre un vendangé, un « cul » improbable, un coach étourdi qui remplace un avant par un trois quart, une petite gifle passée inaperçue…mais sous les yeux de l’arbitre, un coup de pied de mammouth et une touche trouvée de…3 mètres 42, un en avant dans l’en but, le sien ou celui de l’adversaire d’ailleurs, un coup de pied par dessus la défense qui finit en coup de pied…rasant, le fameux coup de pied à suivre… pas suivi, une réception propre sous une chandelle énorme, sous pression, en criant « marque ! », mais aux 40m, une touche rapidement jouée, interceptée, suivie d’un essai de 70m, un plongeon désespéré pour sauver une touche…en tribune, deux joueurs de la même équipe qui se blessent entre eux, alors que l’action ne présente aucun danger, un autre qui tire la chasse pendant le discours du coach en criant « Y a plus de papier ? », ou bien celui qui tente de contrer une…pénalité. Parfois, un seul et même joueur cumule plusieurs dossiers (retard au réveil musculaire, oubli de crampons, passe interceptée, chistera dans le vide…). Il y en a même un qui a oublié son sac, n’est ce pas Micka Authesserre ? Sans oublier les langues qui fourchent « Ce stage de collision nous a fait le plus grand bien ! », « je boirais bien un kilo de bières ». Voilà, à la volée, les raisons des nominations pour les cagolins de l’année, qui ont hérité des déguisements, perruques, accoutrements improbables, d’animaux, et même de voitures.
Pour notre plus grand plaisir, nous partageons avec quelques unes des plus belles poses de la saison 2016-2017, sans hiérarchie, ni distinction, car un cagolin…reste un cagolin.