Parti en Thaïlande pour 3 semaines (du 24 septembre au 14 octobre dernier), rejoindre son meilleur ami qui était là-bas pour un stage à l’étranger, Simon Piazza n’en a pas oublié les copains du rugby pendant son périple. Celui qui a commencé à toucher le ballon ovale du côté de Marmande, est arrivé ensuite à Toulouse pour les études, puis au FCTT avec les Belascain. Pour sa première année séniors, il a décidé de rejoindre l’autre club du centre ville toulousain, le TEC. Il y a même soulevé le bouclier Midi-Pyrénéen l’an dernier, avec la réserve. A travers son regard de pilier, nous vous offrons une parenthèse inattendue…
Une première semaine à Bangkok solo parce que son ami travaillait et Simon a vite compris qu’il était dans un autre monde : « Il y a des scooters qui arrivent de partout, des voitures surchargées de bagages, et la ville est vraiment très grande. Après quelques visites tu te rends compte que la religion a vraiment une grande place dans la vie des thaïlandais. À chaque coin de rue tu trouves des temples. Parmi ceux qu’ils m’ont le plus impressionnés ce sont le Wat Arun et le grand Palais. »
La deuxième semaine, les deux compères se sont retrouvés et ont pris la direction du nord, à Chiang raï. « On a passé une journée avec des éléphants, dans une association qui lutte contre leur maltraitance, ainsi que les balades sur leurs dos (https://m.facebook.com/1606931299531764 facebook de l’association).
Ils se sont ensuite offert un road trip en scooter où le but était tout simplement de se perdre pour vraiment découvrir la culture locale. « On ne s’est pas perdu, mais tu te rends vite compte de la chance qu’on a de vivre en France, ne serait-ce que pour l’eau potable, l’hygiène, les soins etc.. Mais tu apprends aussi de leurs générosité.
La troisième semaine a été consacré à la visite des temples dans le centre de la Thaïlande pour finir sur les îles. Un programme de rêve ponctué de quelques galères quand même. « Les détours « involontaires » des taxis pour corser l’addition, un violent orage alors que j’étais sur un petit bateau, casser un banc en bambou quand je me suis assis dessus, casser un scooter après une glissade incontrôlée, crever un pneu, prendre un bateau et s’apercevoir que ce n’est pas le bon, faire deux heures de rando pour trouver une plage paradisiaque, payer l’entrée, et se rendre compte que ce n’était pas la bonne entrée et que la plage était fermée ce jour là, … la liste est longue (rires) ».
Mais cette aventure s’est déroulée avec le sourire permanent du gaillard, et vous l’aurez noté, avec le maillot du TEC sur les épaules. Au pays du Teck, quoi de plus normal…