C’est l’histoire d’un groupe d’anciens joueurs et copains parisiens qui, lors d’un after des 40 ans de l’un d’eux, ont lancé une idée farfelue : monter une équipe de rugby. Pas (que) pour justifier des apéros et des sorties qui en découlent, mais aussi pour se faire plaisir sur le terrain. Et à force d’y parvenir, le Paris XO (on vous explique en fin d’article le pourquoi de ce nom) a rempli le frigo et son armoire à trophées : un titre de champion de France de 4ème série, deux titres de vice-champion de France de 3ème, puis de 2ème série, et pas moins de cinq montées en cinq ans, pour jouer en Honneur l’an prochain donc. Composé de beaucoup de sudistes expatriés, le Paris XO n’en est pas moins attaché à la Capitale. Pour preuve, les combinaisons portent le nom des stations de métro, et à défaut d’avoir un club house, les nombreux bars parisiens font très bien l’affaire. Alors que l’effectif s’enrichit (et rajeunit), une décision importante, capitale même, a été prise il y a quelques semaines : « mais quand est-ce qu’on s’offre notre premier voyage de fin d’année » ?
A cette question existentielle, les joueurs ont répondu de la plus belle des manières. Un voyage à Lisbonne était calé très rapidement. Le weekend dernier a donc été une grande première, 3 jours et 2 nuits de haut vol. « Mais contrairement à la majeure partie de la saison, nous avons soigné l’entame cette fois » nous a confié Arthur, un des membres de l’équipe.
Le co-capitaine Pierre Tournecuillert, toujours à la pointe du combat, s’est encore une fois montré très actif, malgré plusieurs moments compliqués pendant la première journée et surtout la première soirée. Mais il s’est toujours relevé. Ses camarades de chambre ont décidé de récompenser sa résistance en l’affublant d’un masque de catcheur mexicain pour qu’il puisse dormir tranquillement.
D’autres ont eu aussi droit à des tatouages « de guerre » qu’ils ont pu arborer sans trop le savoir pendant le tournoi de touché organise le lendemain sur la plage de Lisbonne. On notera aussi le choix des débardeurs, slim, pas forcément adaptés au profil « dirigeant ». Et enfin, pour ne perdre personne pendant les soirées l’équipe a développé un système de surveillance des foules assez technique par l’ailier Antoine Fedi, similaire aux sauveteurs en mer perchés en hauteur pour surveiller les baigneurs dans l’eau.
Nul doute que ce premier voyage ne sera pas le dernier. L’équipe a ouvert une permanence pour recruter de nouveaux éléments. Selon nos informations, les sélections sont strictes, se jouant essentiellement sur la technique, la puissance et une grande capacité de résistance… en 3ème mi-temps !
Ah, au fait, vous vous demandez pourquoi le nom de Paris XO ? Tout simplement parce que les fondateurs de l’équipe sont des quadra à l’image des vieux Cognac ou Armagnac appelés XO (Extra Old) dès quarante ans d’âge. Pour la petite histoire, le Paris XO offre même à ses adversaires une bouteille de Cognac XO lors des phases finales. Sympa, non ?
Le fameux tatouage, non révélé
C’est l’histoire d’un groupe d’anciens joueurs et copains parisiens qui, lors d’un after des 40 ans de l’un d’eux, ont lancé une idée farfelue : monter une équipe de rugby. Pas (que) pour justifier des apéros et des sorties qui en découlent, mais aussi pour se faire plaisir sur le terrain. Et à force d’y parvenir, le Paris XO (on vous explique en fin d’article le pourquoi de ce nom) a rempli le frigo et son armoire à trophées : un titre de champion de France de 4ème série, deux titres de vice-champion de France de 3ème, puis de 2ème série, et pas moins de cinq montées en cinq ans, pour jouer en Honneur l’an prochain donc. Composé de beaucoup de sudistes expatriés, le Paris XO n’en est pas moins attaché à la Capitale. Pour preuve, les combinaisons portent le nom des stations de métro, et à défaut d’avoir un club house, les nombreux bars parisiens font très bien l’affaire. Alors que l’effectif s’enrichit (et rajeunit), une décision importante, capitale même, a été prise il y a quelques semaines : « mais quand est-ce qu’on s’offre notre premier voyage de fin d’année » ?
A cette question existentielle, les joueurs ont répondu de la plus belle des manières. Un voyage à Lisbonne était calé très rapidement. Le weekend dernier a donc été une grande première, 3 jours et 2 nuits de haut vol. « Mais contrairement à la majeure partie de la saison, nous avons soigné l’entame cette fois » nous a confié Arthur, un des membres de l’équipe.
Le co-capitaine Pierre Tournecuillert, toujours à la pointe du combat, s’est encore une fois montré très actif, malgré plusieurs moments compliqués pendant la première journée et surtout la première soirée. Mais il s’est toujours relevé. Ses camarades de chambre ont décidé de récompenser sa résistance en l’affublant d’un masque de catcheur mexicain pour qu’il puisse dormir tranquillement.
D’autres ont eu aussi droit à des tatouages « de guerre » qu’ils ont pu arborer sans trop le savoir pendant le tournoi de touché organise le lendemain sur la plage de Lisbonne. On notera aussi le choix des débardeurs, slim, pas forcément adaptés au profil « dirigeant ». Et enfin, pour ne perdre personne pendant les soirées l’équipe a développé un système de surveillance des foules assez technique par l’ailier Antoine Fedi, similaire aux sauveteurs en mer perchés en hauteur pour surveiller les baigneurs dans l’eau.
Nul doute que ce premier voyage ne sera pas le dernier. L’équipe a ouvert une permanence pour recruter de nouveaux éléments. Selon nos informations, les sélections sont strictes, se jouant essentiellement sur la technique, la puissance et une grande capacité de résistance… en 3ème mi-temps !
Ah, au fait, vous vous demandez pourquoi le nom de Paris XO ? Tout simplement parce que les fondateurs de l’équipe sont des quadra à l’image des vieux Cognac ou Armagnac appelés XO (Extra Old) dès quarante ans d’âge. Pour la petite histoire, le Paris XO offre même à ses adversaires une bouteille de Cognac XO lors des phases finales. Sympa, non ?
Le fameux tatouage, non révélé