Voyage de fin d’année : les Diables Rouges tombent le « Mask » au Mexique

Ils sont partie en mode top 14, à 23 bonhommes sur la feuille de match. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que chacun a tenu son rang pendant ce beau voyage au Mexique…

« On a attaqué fort, par une journée dédiée aux multiples cocktails que proposaient les différents bars de l’hôtel. On s’était mis en relation avec un guide français qui habite à Playa ( secret footsteps, petite pub au passage ). Il nous a régalés, car quitte à aller au Mexique il fallait bien que l’on visite un peu » nous a expliqué Nicolas Monté, un des meneurs de jeu de l’équipe.

Et voilà les diables rouges partis pour visiter les temples Maya de Tulum et de Coba, d’en découvrir les marches avant de se rafraîchir baigner dans des eaux d’une beauté incroyable.

« Quitte à être à Playa, un soir on s’est dit que l’on pourrait bien sortir à la fameuse boîte du Coco Bongo ( rendue célèbre par le film the Mask). Bizarrement les 23 ont répondu présent. Génial à faire une fois dans sa vie, t’es pas rentré dans la boîte, que tu as déjà bu 3 shooter. ll y a un spectacle du style Patrick Sébastien pendant que tous les gens boivent et font les couillons ». Le retour aurait été compliqué selon nos informations.

Le reste de la semaine, le spectacle, ce sont les joueurs du SCN qui l’ont assuré. Les gens sur place les prenaient en photos, en leur demandant de chanter Alouette. Un superbe voyage, avec un groupe uni comme jamais. Quatre d’entre eux ont tellement apprécié qu’ils ont laissé leur portable, en guise de remerciement, aux mexicains, un a carrément donné son porte monnaie au taxi, car il n’avait pas de quoi le payer.

Parmi les autres anecdotes les plus marquantes : une chambre a reçu 2 avertissements pour bruit trop important, et a frôlé l’expulsion hors de l’hôtel. Yoann Azemar et Clément Rousselon se sont vus refuser eux, l’entrée de l’hôtel car ils étaient…nus. La légende raconte qu’on leur a volé leur maillot sur le chemin du retour. Cette même légende voudrait qu’un certain Étienne P. a même fini une soirée en prison après une petite échauffourée dans la boîte de l’hôtel. Mais vous savez ce que c’est, il y a toujours une grosse différence entre la réalité et la légende.

Alors pour ce qui est de la réalité, on a laissé le dernier mot pour Nicolas Monté : « Je pense qu’au niveau des anecdotes et des souvenirs, on en a pour un bon bout de temps. On va en garder quelques unes pour nous quand même (rires) ».