1972-2022… Cinquante années d’une histoire riche de joies, de déceptions et d’une multitude d’anecdotes. Voilà ce qui a animé la journée du 28 mai organisée par l’US Verfeil Rugby pour célébrer son demi-siècle d’existence… (Par Marco Matabiau/ Photos Fernand Esteves)
A midi pétantes les hostilités étaient lancées. Et bien lancées ! Dans les tuyaux depuis quelque temps déjà, la préparation des 50 ans de l’US Verfeil Rugby avait été confiée au trio composé de Ronny Caillis, Jérémy Mattéra et Rémi Costes (dit « Bouli »). Et le moins que l’on puisse dire, c’est que la triplette n’a pas fait les choses à moitié. Bien aidés par l’ensemble des bénévoles du club, ils ont parfaitement géré l’organisation de cet événement.
Constatez par vous-mêmes : bracelets de diverses couleurs (suivant la formule choisie par les convives), foulards rouges, éco-cups, jeux gonflables pour les petits (et les grands finalement), écran géant, buffet somptueux, tireuses à boisson houblonnée, le tout animé par les Baladins, une banda du plus bel effet. De nombreux anciens du club avaient bien entendu tenu à participer à la fête, qu’il s’agisse d’entraîneurs (Robert Bosc, l’ex-professeur de mathématiques, José Bergès et Eric Mercadier) ou de joueurs de diverses générations (Pascal Tristani, Christophe Calas, Serge Mazas et son fils Cyril, l’éternel Gérard Ségur, Jean-Fabien Saurel, « Kiki » Merle ou encore Didier Herrerias pour n’en citer que quelques-uns).
Pour ce qui est de la journée, on retiendra notamment le discours empli d’émotion du président historique Hubert Véronèse, qui aura remercié les présents, et eu une pensée émue pour celles et ceux partis trop tôt. Ceux-là mêmes qui ont fait l’USV, à commencer par son ami Maurice Cogo et « Pepino » Véronèse, l’un des instigateurs du premier match des Rouge et Vert, contre les voisins de Caraman. Après un autre discours, celui du maire Patrick Plique, les quelque 250 invités se sont restaurés et hydratés avant d’enchainer, pour s’assurer la meilleure digestion possible, avec du ventriglisse, un peu de pétanque et le visionnage de la finale européenne entre le Leinster et le Stade Rochelais. Tout ça jusqu’à l’apéritif et… au repas du soir. Avant de terminer en beauté par la soirée dansante. A en juger par les réactions des présents, vivement les 60 ans du club au figuier…
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1972-2022… Cinquante années d’une histoire riche de joies, de déceptions et d’une multitude d’anecdotes. Voilà ce qui a animé la journée du 28 mai organisée par l’US Verfeil Rugby pour célébrer son demi-siècle d’existence… (Par Marco Matabiau/ Photos Fernand Esteves)
A midi pétantes les hostilités étaient lancées. Et bien lancées ! Dans les tuyaux depuis quelque temps déjà, la préparation des 50 ans de l’US Verfeil Rugby avait été confiée au trio composé de Ronny Caillis, Jérémy Mattéra et Rémi Costes (dit « Bouli »). Et le moins que l’on puisse dire, c’est que la triplette n’a pas fait les choses à moitié. Bien aidés par l’ensemble des bénévoles du club, ils ont parfaitement géré l’organisation de cet événement.
Constatez par vous-mêmes : bracelets de diverses couleurs (suivant la formule choisie par les convives), foulards rouges, éco-cups, jeux gonflables pour les petits (et les grands finalement), écran géant, buffet somptueux, tireuses à boisson houblonnée, le tout animé par les Baladins, une banda du plus bel effet. De nombreux anciens du club avaient bien entendu tenu à participer à la fête, qu’il s’agisse d’entraîneurs (Robert Bosc, l’ex-professeur de mathématiques, José Bergès et Eric Mercadier) ou de joueurs de diverses générations (Pascal Tristani, Christophe Calas, Serge Mazas et son fils Cyril, l’éternel Gérard Ségur, Jean-Fabien Saurel, « Kiki » Merle ou encore Didier Herrerias pour n’en citer que quelques-uns).
Pour ce qui est de la journée, on retiendra notamment le discours empli d’émotion du président historique Hubert Véronèse, qui aura remercié les présents, et eu une pensée émue pour celles et ceux partis trop tôt. Ceux-là mêmes qui ont fait l’USV, à commencer par son ami Maurice Cogo et « Pepino » Véronèse, l’un des instigateurs du premier match des Rouge et Vert, contre les voisins de Caraman. Après un autre discours, celui du maire Patrick Plique, les quelque 250 invités se sont restaurés et hydratés avant d’enchainer, pour s’assurer la meilleure digestion possible, avec du ventriglisse, un peu de pétanque et le visionnage de la finale européenne entre le Leinster et le Stade Rochelais. Tout ça jusqu’à l’apéritif et… au repas du soir. Avant de terminer en beauté par la soirée dansante. A en juger par les réactions des présents, vivement les 60 ans du club au figuier…
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