Partis dimanche à 8h00 pour rencontrer le VPC ANDORRA XV à…Matemale, les Saint-Orennais en ont eu pour leurs frais. 5 heures de bus à l’aller et pratiquement 4 heures au retour, avec un épisode « descente d’Ascou » semi-dramatique et un match aux conditions…étonnantes. Récit d’une journée qui restera dans les mémoires…
Après s’être renseigné sur la route à prendre auprès d’un dirigeant du transporteur, ce dernier indiquait de passer par Foix-Tarascon-Ax-Ascou Pailhères-Mijanes-Quérigut et donc…Matemale. Le voyage jusqu’à la station d’Ascou-Pailhères se déroulait fort bien jusqu’à la descente du versant oriental. Les virages sont devenus de plus en plus durs à négocier, l’inquiétude grandissait, jusqu’à ce que le bus finisse par planter l’avant gauche et que la roue avant droite ne touche plus terre. Après moultes discussions pour autant de manoeuvres, le chauffeur réussissait à dégager le bus tout terrain, et redescendre sur Ax. Pour prendre la route de l’Hospitalet, Porte-Puymorens et…Matemale. Arrivés pour manger à 13h20 au lieu de 11h30, les joueurs étaient un peu en décalés. Surtout ceux de l’équipe réserve dont le match était prévu à 14h (!). Finalement retardé de 30mn, puisqu’il n’y avait pas d’arbitre officiel. L’équipe 1, profitait donc de ce délai pour digérer le veau marengo, les macaronis au beurre, et le flan maison, tant bien que mal.
Côté terrain, Mehdi Berkouk, capitaine courage, nous raconte le match : « Andorre était vraiment très costaud. On a montré beaucoup de bonne volonté, sans jamais se faire trouer. Mais on a fini par craquer sur des décalages, et on encaisse des essais sur du contournement. On a du mal à gérer nos temps faibles, qu’il faut apprendre à maîtriser de manière collective. Outre cette arrivée tardive et épique, je retiens malgré tout, l’envie de tous les joueurs, tous mobilisés. On manque encore de repères collectifs car il y a eu de nombreuses arrivées, mais je suis confiant ». Et le retour me direz-vous ? 1h de moins, mais 4h tout de même de bus. Après avoir visité Axat, Quillan et Limoux, la délégation haut-garonnaise revenait en terre connue. Un peu long pour une rencontre de Promotion Honneur Territoriale, disputée sur un terrain d’un autre comité. Le président Michel Minvielle un peu fataliste, restait amer : « Il faudrait imposer dans ces cas là de rester dans le comité concerné, ce qui me semble être logique. D’autant plus que Tarascon était prêt à accueillir la rencontre ».
Terrain pas tracé, pas de drapeau de touche, un arbitre qui attend la fin du match avec impatience et qui le dit ouvertement, un carton rouge, un jaune et un blanc, bref, on se souviendra longtemps de cette journée du côté de Saint-Orens. Pas sûr qu’ils aillent faire un stage ou une virée du côté de Matemale prochainement…
Photos souvenirs
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Partis dimanche à 8h00 pour rencontrer le VPC ANDORRA XV à…Matemale, les Saint-Orennais en ont eu pour leurs frais. 5 heures de bus à l’aller et pratiquement 4 heures au retour, avec un épisode « descente d’Ascou » semi-dramatique et un match aux conditions…étonnantes. Récit d’une journée qui restera dans les mémoires…
Après s’être renseigné sur la route à prendre auprès d’un dirigeant du transporteur, ce dernier indiquait de passer par Foix-Tarascon-Ax-Ascou Pailhères-Mijanes-Quérigut et donc…Matemale. Le voyage jusqu’à la station d’Ascou-Pailhères se déroulait fort bien jusqu’à la descente du versant oriental. Les virages sont devenus de plus en plus durs à négocier, l’inquiétude grandissait, jusqu’à ce que le bus finisse par planter l’avant gauche et que la roue avant droite ne touche plus terre. Après moultes discussions pour autant de manoeuvres, le chauffeur réussissait à dégager le bus tout terrain, et redescendre sur Ax. Pour prendre la route de l’Hospitalet, Porte-Puymorens et…Matemale. Arrivés pour manger à 13h20 au lieu de 11h30, les joueurs étaient un peu en décalés. Surtout ceux de l’équipe réserve dont le match était prévu à 14h (!). Finalement retardé de 30mn, puisqu’il n’y avait pas d’arbitre officiel. L’équipe 1, profitait donc de ce délai pour digérer le veau marengo, les macaronis au beurre, et le flan maison, tant bien que mal.
Côté terrain, Mehdi Berkouk, capitaine courage, nous raconte le match : « Andorre était vraiment très costaud. On a montré beaucoup de bonne volonté, sans jamais se faire trouer. Mais on a fini par craquer sur des décalages, et on encaisse des essais sur du contournement. On a du mal à gérer nos temps faibles, qu’il faut apprendre à maîtriser de manière collective. Outre cette arrivée tardive et épique, je retiens malgré tout, l’envie de tous les joueurs, tous mobilisés. On manque encore de repères collectifs car il y a eu de nombreuses arrivées, mais je suis confiant ». Et le retour me direz-vous ? 1h de moins, mais 4h tout de même de bus. Après avoir visité Axat, Quillan et Limoux, la délégation haut-garonnaise revenait en terre connue. Un peu long pour une rencontre de Promotion Honneur Territoriale, disputée sur un terrain d’un autre comité. Le président Michel Minvielle un peu fataliste, restait amer : « Il faudrait imposer dans ces cas là de rester dans le comité concerné, ce qui me semble être logique. D’autant plus que Tarascon était prêt à accueillir la rencontre ».
Terrain pas tracé, pas de drapeau de touche, un arbitre qui attend la fin du match avec impatience et qui le dit ouvertement, un carton rouge, un jaune et un blanc, bref, on se souviendra longtemps de cette journée du côté de Saint-Orens. Pas sûr qu’ils aillent faire un stage ou une virée du côté de Matemale prochainement…
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Après s’être renseigné sur la route à prendre auprès d’un dirigeant du transporteur, ce dernier indiquait de passer par Foix-Tarascon-Ax-Ascou Pailhères-Mijanes-Quérigut et donc…Matemale. Le voyage jusqu’à la station d’Ascou-Pailhères se déroulait fort bien jusqu’à la descente du versant oriental. Les virages sont devenus de plus en plus durs à négocier, l’inquiétude grandissait, jusqu’à ce que le bus finisse par planter l’avant gauche et que la roue avant droite ne touche plus terre. Après moultes discussions pour autant de manoeuvres, le chauffeur réussissait à dégager le bus tout terrain, et redescendre sur Ax. Pour prendre la route de l’Hospitalet, Porte-Puymorens et…Matemale. Arrivés pour manger à 13h20 au lieu de 11h30, les joueurs étaient un peu en décalés. Surtout ceux de l’équipe réserve dont le match était prévu à 14h (!). Finalement retardé de 30mn, puisqu’il n’y avait pas d’arbitre officiel. L’équipe 1, profitait donc de ce délai pour digérer le veau marengo, les macaronis au beurre, et le flan maison, tant bien que mal.
Côté terrain, Mehdi Berkouk, capitaine courage, nous raconte le match : « Andorre était vraiment très costaud. On a montré beaucoup de bonne volonté, sans jamais se faire trouer. Mais on a fini par craquer sur des décalages, et on encaisse des essais sur du contournement. On a du mal à gérer nos temps faibles, qu’il faut apprendre à maîtriser de manière collective. Outre cette arrivée tardive et épique, je retiens malgré tout, l’envie de tous les joueurs, tous mobilisés. On manque encore de repères collectifs car il y a eu de nombreuses arrivées, mais je suis confiant ». Et le retour me direz-vous ? 1h de moins, mais 4h tout de même de bus. Après avoir visité Axat, Quillan et Limoux, la délégation haut-garonnaise revenait en terre connue. Un peu long pour une rencontre de Promotion Honneur Territoriale, disputée sur un terrain d’un autre comité. Le président Michel Minvielle un peu fataliste, restait amer : « Il faudrait imposer dans ces cas là de rester dans le comité concerné, ce qui me semble être logique. D’autant plus que Tarascon était prêt à accueillir la rencontre ».
Terrain pas tracé, pas de drapeau de touche, un arbitre qui attend la fin du match avec impatience et qui le dit ouvertement, un carton rouge, un jaune et un blanc, bref, on se souviendra longtemps de cette journée du côté de Saint-Orens. Pas sûr qu’ils aillent faire un stage ou une virée du côté de Matemale prochainement…
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Après s’être renseigné sur la route à prendre auprès d’un dirigeant du transporteur, ce dernier indiquait de passer par Foix-Tarascon-Ax-Ascou Pailhères-Mijanes-Quérigut et donc…Matemale. Le voyage jusqu’à la station d’Ascou-Pailhères se déroulait fort bien jusqu’à la descente du versant oriental. Les virages sont devenus de plus en plus durs à négocier, l’inquiétude grandissait, jusqu’à ce que le bus finisse par planter l’avant gauche et que la roue avant droite ne touche plus terre. Après moultes discussions pour autant de manoeuvres, le chauffeur réussissait à dégager le bus tout terrain, et redescendre sur Ax. Pour prendre la route de l’Hospitalet, Porte-Puymorens et…Matemale. Arrivés pour manger à 13h20 au lieu de 11h30, les joueurs étaient un peu en décalés. Surtout ceux de l’équipe réserve dont le match était prévu à 14h (!). Finalement retardé de 30mn, puisqu’il n’y avait pas d’arbitre officiel. L’équipe 1, profitait donc de ce délai pour digérer le veau marengo, les macaronis au beurre, et le flan maison, tant bien que mal.
Côté terrain, Mehdi Berkouk, capitaine courage, nous raconte le match : « Andorre était vraiment très costaud. On a montré beaucoup de bonne volonté, sans jamais se faire trouer. Mais on a fini par craquer sur des décalages, et on encaisse des essais sur du contournement. On a du mal à gérer nos temps faibles, qu’il faut apprendre à maîtriser de manière collective. Outre cette arrivée tardive et épique, je retiens malgré tout, l’envie de tous les joueurs, tous mobilisés. On manque encore de repères collectifs car il y a eu de nombreuses arrivées, mais je suis confiant ». Et le retour me direz-vous ? 1h de moins, mais 4h tout de même de bus. Après avoir visité Axat, Quillan et Limoux, la délégation haut-garonnaise revenait en terre connue. Un peu long pour une rencontre de Promotion Honneur Territoriale, disputée sur un terrain d’un autre comité. Le président Michel Minvielle un peu fataliste, restait amer : « Il faudrait imposer dans ces cas là de rester dans le comité concerné, ce qui me semble être logique. D’autant plus que Tarascon était prêt à accueillir la rencontre ».
Terrain pas tracé, pas de drapeau de touche, un arbitre qui attend la fin du match avec impatience et qui le dit ouvertement, un carton rouge, un jaune et un blanc, bref, on se souviendra longtemps de cette journée du côté de Saint-Orens. Pas sûr qu’ils aillent faire un stage ou une virée du côté de Matemale prochainement…
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Après s’être renseigné sur la route à prendre auprès d’un dirigeant du transporteur, ce dernier indiquait de passer par Foix-Tarascon-Ax-Ascou Pailhères-Mijanes-Quérigut et donc…Matemale. Le voyage jusqu’à la station d’Ascou-Pailhères se déroulait fort bien jusqu’à la descente du versant oriental. Les virages sont devenus de plus en plus durs à négocier, l’inquiétude grandissait, jusqu’à ce que le bus finisse par planter l’avant gauche et que la roue avant droite ne touche plus terre. Après moultes discussions pour autant de manoeuvres, le chauffeur réussissait à dégager le bus tout terrain, et redescendre sur Ax. Pour prendre la route de l’Hospitalet, Porte-Puymorens et…Matemale. Arrivés pour manger à 13h20 au lieu de 11h30, les joueurs étaient un peu en décalés. Surtout ceux de l’équipe réserve dont le match était prévu à 14h (!). Finalement retardé de 30mn, puisqu’il n’y avait pas d’arbitre officiel. L’équipe 1, profitait donc de ce délai pour digérer le veau marengo, les macaronis au beurre, et le flan maison, tant bien que mal.
Côté terrain, Mehdi Berkouk, capitaine courage, nous raconte le match : « Andorre était vraiment très costaud. On a montré beaucoup de bonne volonté, sans jamais se faire trouer. Mais on a fini par craquer sur des décalages, et on encaisse des essais sur du contournement. On a du mal à gérer nos temps faibles, qu’il faut apprendre à maîtriser de manière collective. Outre cette arrivée tardive et épique, je retiens malgré tout, l’envie de tous les joueurs, tous mobilisés. On manque encore de repères collectifs car il y a eu de nombreuses arrivées, mais je suis confiant ». Et le retour me direz-vous ? 1h de moins, mais 4h tout de même de bus. Après avoir visité Axat, Quillan et Limoux, la délégation haut-garonnaise revenait en terre connue. Un peu long pour une rencontre de Promotion Honneur Territoriale, disputée sur un terrain d’un autre comité. Le président Michel Minvielle un peu fataliste, restait amer : « Il faudrait imposer dans ces cas là de rester dans le comité concerné, ce qui me semble être logique. D’autant plus que Tarascon était prêt à accueillir la rencontre ».
Terrain pas tracé, pas de drapeau de touche, un arbitre qui attend la fin du match avec impatience et qui le dit ouvertement, un carton rouge, un jaune et un blanc, bref, on se souviendra longtemps de cette journée du côté de Saint-Orens. Pas sûr qu’ils aillent faire un stage ou une virée du côté de Matemale prochainement…
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Côté terrain, Mehdi Berkouk, capitaine courage, nous raconte le match : « Andorre était vraiment très costaud. On a montré beaucoup de bonne volonté, sans jamais se faire trouer. Mais on a fini par craquer sur des décalages, et on encaisse des essais sur du contournement. On a du mal à gérer nos temps faibles, qu’il faut apprendre à maîtriser de manière collective. Outre cette arrivée tardive et épique, je retiens malgré tout, l’envie de tous les joueurs, tous mobilisés. On manque encore de repères collectifs car il y a eu de nombreuses arrivées, mais je suis confiant ». Et le retour me direz-vous ? 1h de moins, mais 4h tout de même de bus. Après avoir visité Axat, Quillan et Limoux, la délégation haut-garonnaise revenait en terre connue. Un peu long pour une rencontre de Promotion Honneur Territoriale, disputée sur un terrain d’un autre comité. Le président Michel Minvielle un peu fataliste, restait amer : « Il faudrait imposer dans ces cas là de rester dans le comité concerné, ce qui me semble être logique. D’autant plus que Tarascon était prêt à accueillir la rencontre ».
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Côté terrain, Mehdi Berkouk, capitaine courage, nous raconte le match : « Andorre était vraiment très costaud. On a montré beaucoup de bonne volonté, sans jamais se faire trouer. Mais on a fini par craquer sur des décalages, et on encaisse des essais sur du contournement. On a du mal à gérer nos temps faibles, qu’il faut apprendre à maîtriser de manière collective. Outre cette arrivée tardive et épique, je retiens malgré tout, l’envie de tous les joueurs, tous mobilisés. On manque encore de repères collectifs car il y a eu de nombreuses arrivées, mais je suis confiant ». Et le retour me direz-vous ? 1h de moins, mais 4h tout de même de bus. Après avoir visité Axat, Quillan et Limoux, la délégation haut-garonnaise revenait en terre connue. Un peu long pour une rencontre de Promotion Honneur Territoriale, disputée sur un terrain d’un autre comité. Le président Michel Minvielle un peu fataliste, restait amer : « Il faudrait imposer dans ces cas là de rester dans le comité concerné, ce qui me semble être logique. D’autant plus que Tarascon était prêt à accueillir la rencontre ».
Terrain pas tracé, pas de drapeau de touche, un arbitre qui attend la fin du match avec impatience et qui le dit ouvertement, un carton rouge, un jaune et un blanc, bref, on se souviendra longtemps de cette journée du côté de Saint-Orens. Pas sûr qu’ils aillent faire un stage ou une virée du côté de Matemale prochainement…
Bonjour
Le col de Pailheres (RD 25) est interdit aux véhicules de plus de 10m de long.
Bon nombre de panneaux le stipulent d’un côté et de l’autre du col.Encore faut il les lire!
Bravo au dirigeant transporteur également, qui est un professionnel de la route!!
Bonjour
Le col de Pailheres (RD 25) est interdit aux véhicules de plus de 10m de long.
Bon nombre de panneaux le stipulent d’un côté et de l’autre du col.Encore faut il les lire!
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