C’est l’histoire peu ordinaire d’un joueur qui ne l’est pas moins. William Phillips Néo-Zélandais de naissance, a évidemment tâté du rugby au pays du long nuage blanc, et ce, dès l’âge de 5 ans. Le jeune homme d’alors progresse vite, et jouera à Auckland durant neuf saisons. Il sera sélectionné avec l’équipe de Maoris, où il côtoiera les légendaires All Blacks comme Sean Fitzpatrick, Gary Wheaton, Mickael Jones, John Kirwan, James Kirk ou Grant Fox (vainqueurs de la Coupe du monde 1987). Enrôlé dans les Marines, il jouera aussi à XIII, avant de débarquer en Angleterre, du côté de Northampton, et reprendre le XV. A 42 ans, il décide de raccrocher les crampons. Depuis son arrivée en Europe, avec sa femme, anglaise, il a passé toutes ses vacances dans le pays basque. Et puis un jour, le couple décide d’emménager en France, et trouve une maison entre Saintes et Pons (Charente Maritime). Le reste, c’est une légende qui s’écrit encore aujourd’hui…
Bruno Salvin, alors entraîneur de Saintes, ne tarde pas à entendre parler d’un ancien all black installé à quelques kilomètres de là. Après un apéro, les deux hommes évoquent le rugby amateur, ses quelques contraintes, et ses nombreux plaisirs. William accepte de donner un coup de main, et rechausse les crampons. Il faut dire que le troisième ligne s’entretient, s’entraîne assidûment. Il enchaîne les saisons.
Il rejoint les rangs du village voisin, Pons, en 2007, puis en 2016. Il y dispute trois finales régionales. Dimanche, il en jouera une quatrième, une finale de terroir 3ème série contre St Georges les Baillargeaux. Car oui, vous avez bien compris que notre « néo-z » joue encore 3ème ligne à… 64 ans !
L’heure de la retraite a sonné visiblement. Et le Rugby Club Pontois a offert à son all black une belle entrée et une non moins belle sortie pour son dernier match à domicile dimanche. Pour l’occasion, William était le capitaine du jour, il a remis les maillots à chaque joueur, devant ses proches. Il est rentré sur le terrain avec deux petits enfants, et l’équipe s’est chargée de lui offrir une belle victoire en guise de sortie. Avec en bonus, une haie d’honneur des deux équipes qui saluaient ainsi une longévité exceptionnelle, et un exemple d’investissement qui pourraient inspirer bon nombre de jeunes. Un rock au ROP qui préfère rester dans l’ombre, mais que nous tenions à mettre dans une lumière bien méritée…
C’est l’histoire peu ordinaire d’un joueur qui ne l’est pas moins. William Phillips Néo-Zélandais de naissance, a évidemment tâté du rugby au pays du long nuage blanc, et ce, dès l’âge de 5 ans. Le jeune homme d’alors progresse vite, et jouera à Auckland durant neuf saisons. Il sera sélectionné avec l’équipe de Maoris, où il côtoiera les légendaires All Blacks comme Sean Fitzpatrick, Gary Wheaton, Mickael Jones, John Kirwan, James Kirk ou Grant Fox (vainqueurs de la Coupe du monde 1987). Enrôlé dans les Marines, il jouera aussi à XIII, avant de débarquer en Angleterre, du côté de Northampton, et reprendre le XV. A 42 ans, il décide de raccrocher les crampons. Depuis son arrivée en Europe, avec sa femme, anglaise, il a passé toutes ses vacances dans le pays basque. Et puis un jour, le couple décide d’emménager en France, et trouve une maison entre Saintes et Pons (Charente Maritime). Le reste, c’est une légende qui s’écrit encore aujourd’hui…
Bruno Salvin, alors entraîneur de Saintes, ne tarde pas à entendre parler d’un ancien all black installé à quelques kilomètres de là. Après un apéro, les deux hommes évoquent le rugby amateur, ses quelques contraintes, et ses nombreux plaisirs. William accepte de donner un coup de main, et rechausse les crampons. Il faut dire que le troisième ligne s’entretient, s’entraîne assidûment. Il enchaîne les saisons.
Il rejoint les rangs du village voisin, Pons, en 2007, puis en 2016. Il y dispute trois finales régionales. Dimanche, il en jouera une quatrième, une finale de terroir 3ème série contre St Georges les Baillargeaux. Car oui, vous avez bien compris que notre « néo-z » joue encore 3ème ligne à… 64 ans !
L’heure de la retraite a sonné visiblement. Et le Rugby Club Pontois a offert à son all black une belle entrée et une non moins belle sortie pour son dernier match à domicile dimanche. Pour l’occasion, William était le capitaine du jour, il a remis les maillots à chaque joueur, devant ses proches. Il est rentré sur le terrain avec deux petits enfants, et l’équipe s’est chargée de lui offrir une belle victoire en guise de sortie. Avec en bonus, une haie d’honneur des deux équipes qui saluaient ainsi une longévité exceptionnelle, et un exemple d’investissement qui pourraient inspirer bon nombre de jeunes. Un rock au ROP qui préfère rester dans l’ombre, mais que nous tenions à mettre dans une lumière bien méritée…
C’est l’histoire peu ordinaire d’un joueur qui ne l’est pas moins. William Phillips Néo-Zélandais de naissance, a évidemment tâté du rugby au pays du long nuage blanc, et ce, dès l’âge de 5 ans. Le jeune homme d’alors progresse vite, et jouera à Auckland durant neuf saisons. Il sera sélectionné avec l’équipe de Maoris, où il côtoiera les légendaires All Blacks comme Sean Fitzpatrick, Gary Wheaton, Mickael Jones, John Kirwan, James Kirk ou Grant Fox (vainqueurs de la Coupe du monde 1987). Enrôlé dans les Marines, il jouera aussi à XIII, avant de débarquer en Angleterre, du côté de Northampton, et reprendre le XV. A 42 ans, il décide de raccrocher les crampons. Depuis son arrivée en Europe, avec sa femme, anglaise, il a passé toutes ses vacances dans le pays basque. Et puis un jour, le couple décide d’emménager en France, et trouve une maison entre Saintes et Pons (Charente Maritime). Le reste, c’est une légende qui s’écrit encore aujourd’hui…
Bruno Salvin, alors entraîneur de Saintes, ne tarde pas à entendre parler d’un ancien all black installé à quelques kilomètres de là. Après un apéro, les deux hommes évoquent le rugby amateur, ses quelques contraintes, et ses nombreux plaisirs. William accepte de donner un coup de main, et rechausse les crampons. Il faut dire que le troisième ligne s’entretient, s’entraîne assidûment. Il enchaîne les saisons.
Il rejoint les rangs du village voisin, Pons, en 2007, puis en 2016. Il y dispute trois finales régionales. Dimanche, il en jouera une quatrième, une finale de terroir 3ème série contre St Georges les Baillargeaux. Car oui, vous avez bien compris que notre « néo-z » joue encore 3ème ligne à… 64 ans !
L’heure de la retraite a sonné visiblement. Et le Rugby Club Pontois a offert à son all black une belle entrée et une non moins belle sortie pour son dernier match à domicile dimanche. Pour l’occasion, William était le capitaine du jour, il a remis les maillots à chaque joueur, devant ses proches. Il est rentré sur le terrain avec deux petits enfants, et l’équipe s’est chargée de lui offrir une belle victoire en guise de sortie. Avec en bonus, une haie d’honneur des deux équipes qui saluaient ainsi une longévité exceptionnelle, et un exemple d’investissement qui pourraient inspirer bon nombre de jeunes. Un rock au ROP qui préfère rester dans l’ombre, mais que nous tenions à mettre dans une lumière bien méritée…
C’est l’histoire peu ordinaire d’un joueur qui ne l’est pas moins. William Phillips Néo-Zélandais de naissance, a évidemment tâté du rugby au pays du long nuage blanc, et ce, dès l’âge de 5 ans. Le jeune homme d’alors progresse vite, et jouera à Auckland durant neuf saisons. Il sera sélectionné avec l’équipe de Maoris, où il côtoiera les légendaires All Blacks comme Sean Fitzpatrick, Gary Wheaton, Mickael Jones, John Kirwan, James Kirk ou Grant Fox (vainqueurs de la Coupe du monde 1987). Enrôlé dans les Marines, il jouera aussi à XIII, avant de débarquer en Angleterre, du côté de Northampton, et reprendre le XV. A 42 ans, il décide de raccrocher les crampons. Depuis son arrivée en Europe, avec sa femme, anglaise, il a passé toutes ses vacances dans le pays basque. Et puis un jour, le couple décide d’emménager en France, et trouve une maison entre Saintes et Pons (Charente Maritime). Le reste, c’est une légende qui s’écrit encore aujourd’hui…
Bruno Salvin, alors entraîneur de Saintes, ne tarde pas à entendre parler d’un ancien all black installé à quelques kilomètres de là. Après un apéro, les deux hommes évoquent le rugby amateur, ses quelques contraintes, et ses nombreux plaisirs. William accepte de donner un coup de main, et rechausse les crampons. Il faut dire que le troisième ligne s’entretient, s’entraîne assidûment. Il enchaîne les saisons.
Il rejoint les rangs du village voisin, Pons, en 2007, puis en 2016. Il y dispute trois finales régionales. Dimanche, il en jouera une quatrième, une finale de terroir 3ème série contre St Georges les Baillargeaux. Car oui, vous avez bien compris que notre « néo-z » joue encore 3ème ligne à… 64 ans !
L’heure de la retraite a sonné visiblement. Et le Rugby Club Pontois a offert à son all black une belle entrée et une non moins belle sortie pour son dernier match à domicile dimanche. Pour l’occasion, William était le capitaine du jour, il a remis les maillots à chaque joueur, devant ses proches. Il est rentré sur le terrain avec deux petits enfants, et l’équipe s’est chargée de lui offrir une belle victoire en guise de sortie. Avec en bonus, une haie d’honneur des deux équipes qui saluaient ainsi une longévité exceptionnelle, et un exemple d’investissement qui pourraient inspirer bon nombre de jeunes. Un rock au ROP qui préfère rester dans l’ombre, mais que nous tenions à mettre dans une lumière bien méritée…
mon père
ce héros !