Suite de notre tour d’horizon des promus en Fédérale 2 avec le Rion Morcenx Rugby, qui évoluera dans la poule 6… (Par Marco Matabiau)
Arrivé il y a quatre ans de cela au club (en compagnie de Jérôme Labat), l’entraîneur Olivier Toulouze (un ancien des maisons montoise et grenobloise) ne cache pas son bonheur d’avoir enfin accédé à la Fédérale 2 : « En 2018/2019, on a fait une super année, en restant notamment invaincus pendant 11 rencontres consécutives. Après, en phases finales, on est tombés sur un os : Beaumont-de-Lomagne. Sans doute la plus belle équipe que j’aie vu à ce niveau de compétition ». Les deux années suivantes, perturbées par la Covid-19, mettent un terme aux ambitions landaises : « En 2019/2020, on est dans le tiercé de tête. Il y a deux ans, on a déjà 8 points d’avance après six matchs, et la saison s’arrête ». Raison de plus pour faire le nécessaire en 2021/2022 : « Notre objectif était l’accession, c’est évident ». Une montée gagnée lors de la double confrontation en seizièmes face aux Catalans de Rivesaltes. Le parcours en phases finales prendra toutefois fin au tour suivant face à Bizanos (27 – 33). Mais l’essentiel était ailleurs.
Pour bien figurer au niveau supérieur, le club pourra compter sur un groupe des plus stables, puisque seuls les trois-quarts centres Canut (qui devient préparateur physique du club de Chartres) et Broux quittent l’effectif premier. Côté arrivées, on n’y est pas allé avec le dos de la cuillère: les deux ex-Dacquois Auzqui (talonneur) et Helmbacher (deuxième ligne) apporteront leur expérience. Le polyvalent deuxième/ troisième ligne Charrier, en provenance d’Hagetmau, complète le recrutement devant. Derrière, Toulouze (Théo, le fils d’Olivier, ouvreur, Espoirs Biarritz), Duhourquet (demi de mêlée ou centre, Cognac Saint Jean d’Angély) ou encore Labarrière (trois-quart centre, Marmande) sont de retour au pays. Une belle brochette de joueurs talentueux, sans compter la dizaine de juniors montant. De quoi ambitionner de très belles choses pour la saison à venir: « Le président va certainement nous demander de viser la qualification ». Pas une mince affaire dans une poule 6 où figureront des habitués de la Fédérale 2, à commencer par Layrac, Aramits ou Mouguerre. Sans oublier les derbys face à Hagetmau, Saint-Paul-lès-Dax et Soustons. Le trésorier s’en frotte déjà les mains. Les joueurs eux, vont se frotter à Orthez pour l’ouverture du championnat ce dimanche…
Suite de notre tour d’horizon des promus en Fédérale 2 avec le Rion Morcenx Rugby, qui évoluera dans la poule 6… (Par Marco Matabiau)
Arrivé il y a quatre ans de cela au club (en compagnie de Jérôme Labat), l’entraîneur Olivier Toulouze (un ancien des maisons montoise et grenobloise) ne cache pas son bonheur d’avoir enfin accédé à la Fédérale 2 : « En 2018/2019, on a fait une super année, en restant notamment invaincus pendant 11 rencontres consécutives. Après, en phases finales, on est tombés sur un os : Beaumont-de-Lomagne. Sans doute la plus belle équipe que j’aie vu à ce niveau de compétition ». Les deux années suivantes, perturbées par la Covid-19, mettent un terme aux ambitions landaises : « En 2019/2020, on est dans le tiercé de tête. Il y a deux ans, on a déjà 8 points d’avance après six matchs, et la saison s’arrête ». Raison de plus pour faire le nécessaire en 2021/2022 : « Notre objectif était l’accession, c’est évident ». Une montée gagnée lors de la double confrontation en seizièmes face aux Catalans de Rivesaltes. Le parcours en phases finales prendra toutefois fin au tour suivant face à Bizanos (27 – 33). Mais l’essentiel était ailleurs.
Pour bien figurer au niveau supérieur, le club pourra compter sur un groupe des plus stables, puisque seuls les trois-quarts centres Canut (qui devient préparateur physique du club de Chartres) et Broux quittent l’effectif premier. Côté arrivées, on n’y est pas allé avec le dos de la cuillère: les deux ex-Dacquois Auzqui (talonneur) et Helmbacher (deuxième ligne) apporteront leur expérience. Le polyvalent deuxième/ troisième ligne Charrier, en provenance d’Hagetmau, complète le recrutement devant. Derrière, Toulouze (Théo, le fils d’Olivier, ouvreur, Espoirs Biarritz), Duhourquet (demi de mêlée ou centre, Cognac Saint Jean d’Angély) ou encore Labarrière (trois-quart centre, Marmande) sont de retour au pays. Une belle brochette de joueurs talentueux, sans compter la dizaine de juniors montant. De quoi ambitionner de très belles choses pour la saison à venir: « Le président va certainement nous demander de viser la qualification ». Pas une mince affaire dans une poule 6 où figureront des habitués de la Fédérale 2, à commencer par Layrac, Aramits ou Mouguerre. Sans oublier les derbys face à Hagetmau, Saint-Paul-lès-Dax et Soustons. Le trésorier s’en frotte déjà les mains. Les joueurs eux, vont se frotter à Orthez pour l’ouverture du championnat ce dimanche…
Suite de notre tour d’horizon des promus en Fédérale 2 avec le Rion Morcenx Rugby, qui évoluera dans la poule 6… (Par Marco Matabiau)
Arrivé il y a quatre ans de cela au club (en compagnie de Jérôme Labat), l’entraîneur Olivier Toulouze (un ancien des maisons montoise et grenobloise) ne cache pas son bonheur d’avoir enfin accédé à la Fédérale 2 : « En 2018/2019, on a fait une super année, en restant notamment invaincus pendant 11 rencontres consécutives. Après, en phases finales, on est tombés sur un os : Beaumont-de-Lomagne. Sans doute la plus belle équipe que j’aie vu à ce niveau de compétition ». Les deux années suivantes, perturbées par la Covid-19, mettent un terme aux ambitions landaises : « En 2019/2020, on est dans le tiercé de tête. Il y a deux ans, on a déjà 8 points d’avance après six matchs, et la saison s’arrête ». Raison de plus pour faire le nécessaire en 2021/2022 : « Notre objectif était l’accession, c’est évident ». Une montée gagnée lors de la double confrontation en seizièmes face aux Catalans de Rivesaltes. Le parcours en phases finales prendra toutefois fin au tour suivant face à Bizanos (27 – 33). Mais l’essentiel était ailleurs.
Pour bien figurer au niveau supérieur, le club pourra compter sur un groupe des plus stables, puisque seuls les trois-quarts centres Canut (qui devient préparateur physique du club de Chartres) et Broux quittent l’effectif premier. Côté arrivées, on n’y est pas allé avec le dos de la cuillère: les deux ex-Dacquois Auzqui (talonneur) et Helmbacher (deuxième ligne) apporteront leur expérience. Le polyvalent deuxième/ troisième ligne Charrier, en provenance d’Hagetmau, complète le recrutement devant. Derrière, Toulouze (Théo, le fils d’Olivier, ouvreur, Espoirs Biarritz), Duhourquet (demi de mêlée ou centre, Cognac Saint Jean d’Angély) ou encore Labarrière (trois-quart centre, Marmande) sont de retour au pays. Une belle brochette de joueurs talentueux, sans compter la dizaine de juniors montant. De quoi ambitionner de très belles choses pour la saison à venir: « Le président va certainement nous demander de viser la qualification ». Pas une mince affaire dans une poule 6 où figureront des habitués de la Fédérale 2, à commencer par Layrac, Aramits ou Mouguerre. Sans oublier les derbys face à Hagetmau, Saint-Paul-lès-Dax et Soustons. Le trésorier s’en frotte déjà les mains. Les joueurs eux, vont se frotter à Orthez pour l’ouverture du championnat ce dimanche…
Suite de notre tour d’horizon des promus en Fédérale 2 avec le Rion Morcenx Rugby, qui évoluera dans la poule 6… (Par Marco Matabiau)
Arrivé il y a quatre ans de cela au club (en compagnie de Jérôme Labat), l’entraîneur Olivier Toulouze (un ancien des maisons montoise et grenobloise) ne cache pas son bonheur d’avoir enfin accédé à la Fédérale 2 : « En 2018/2019, on a fait une super année, en restant notamment invaincus pendant 11 rencontres consécutives. Après, en phases finales, on est tombés sur un os : Beaumont-de-Lomagne. Sans doute la plus belle équipe que j’aie vu à ce niveau de compétition ». Les deux années suivantes, perturbées par la Covid-19, mettent un terme aux ambitions landaises : « En 2019/2020, on est dans le tiercé de tête. Il y a deux ans, on a déjà 8 points d’avance après six matchs, et la saison s’arrête ». Raison de plus pour faire le nécessaire en 2021/2022 : « Notre objectif était l’accession, c’est évident ». Une montée gagnée lors de la double confrontation en seizièmes face aux Catalans de Rivesaltes. Le parcours en phases finales prendra toutefois fin au tour suivant face à Bizanos (27 – 33). Mais l’essentiel était ailleurs.
Pour bien figurer au niveau supérieur, le club pourra compter sur un groupe des plus stables, puisque seuls les trois-quarts centres Canut (qui devient préparateur physique du club de Chartres) et Broux quittent l’effectif premier. Côté arrivées, on n’y est pas allé avec le dos de la cuillère: les deux ex-Dacquois Auzqui (talonneur) et Helmbacher (deuxième ligne) apporteront leur expérience. Le polyvalent deuxième/ troisième ligne Charrier, en provenance d’Hagetmau, complète le recrutement devant. Derrière, Toulouze (Théo, le fils d’Olivier, ouvreur, Espoirs Biarritz), Duhourquet (demi de mêlée ou centre, Cognac Saint Jean d’Angély) ou encore Labarrière (trois-quart centre, Marmande) sont de retour au pays. Une belle brochette de joueurs talentueux, sans compter la dizaine de juniors montant. De quoi ambitionner de très belles choses pour la saison à venir: « Le président va certainement nous demander de viser la qualification ». Pas une mince affaire dans une poule 6 où figureront des habitués de la Fédérale 2, à commencer par Layrac, Aramits ou Mouguerre. Sans oublier les derbys face à Hagetmau, Saint-Paul-lès-Dax et Soustons. Le trésorier s’en frotte déjà les mains. Les joueurs eux, vont se frotter à Orthez pour l’ouverture du championnat ce dimanche…