Suite de notre tour d’horizon des promus en Fédérale 1 avec le Cercle Sportif Villefranche-sur-Saône, qui évoluera dans la poule 2… (Par Marco Matabiau)
Comme l’explique sans ambages Fabrice Petit, le secrétaire général du club, « la montée était l’objectif du début de saison dernière. On était déjà montés en 2019, puis on avait fait le choix de redescendre au terme de la saison 2019/2020, même si on avait assuré notre maintien au niveau sportif. On n’avait, à l’époque, pas de visibilité vis-à-vis de la Covid. De plus, on ne savait pas que la Nationale serait créée. A le savoir, on serait d’ailleurs peut-être restés à ce niveau ». Le dernier exercice a été abouti, puisque le CSV termine en tête de sa poule au terme de la phase régulière. Néanmoins, dès les 16èmes, la redoutable équipe de Meyzieu fait tomber les Caladois, qui doivent en passer par un barrage face aux Drômois de Saint-Jean-en-Royans. Une double confrontation des plus spectaculaires, puisque les Caladois s’imposent (avec deux courtes victoires à la clé) sur le score cumulé de 74 à 70. Le but que s’était fixé le groupe de Sébastien Magnat et Emmanuel Stival au mois d’août est atteint.
Cette saison, le staff a été remanié, tout en gardant une certaine continuité. En effet, si le coach Stival a cédé sa place, Sébastien Magnat, en charge des lignes arrières, poursuit l’aventure et sera même le manager général de l’équipe. Il sera associé à Simon Bornuat, l’ancien troisième ligne de Bourg-en-Bresse, qui s’occupera des avants. Peu de départs, si ce ne sont le retour de l’ouvreur Peyrat à Mâcon ou l’arrivée de Mounier au RC Pays d’Ozon. D’autre part, le demi de mêlée Saïeb met un terme à sa carrière. Pour ce qui est des arrivées, le club a fait les choses en grand. En provenance de Chartres, les Sud-Africains Sofisa (pilier) et Luiters (demi de mêlée) ainsi que le polyvalent ouvreur/ arrière Mazeau apportent leur expérience, pleinement conscients des exigences de la Fédérale 1. Deux « gauchos » rejoignent également les bords du Morgon, à savoir le deuxième ligne Caceres (Lavaur) et le trois-quart centre ou arrière Ferro (Beaune). Également en droite ligne de Beaune, le pilier Koloi. Enfin, l’ailier Bazzi quitte Aurillac et pose ses valises dans le Rhône. De la belle ouvrage.
Avec un tel recrutement, on imagine que le club ambitieux, ce que ne dément nullement Fabrice Petit: « On veut exister en Fédérale 1. Le but n’est donc pas de figurer dans le ventre mou de la poule ». Une reprise début juillet, une coupure début août, puis les choses sérieuses ont vraiment commencé. Après des amicaux face à Rumilly, Nuit Saint Georges et le PUC, le club démarre l’exercice 2022/ 2023 en affrontant trois promus : à Meyzieu (des retrouvailles soldées par une victoire 17-33), à Gruissan (défaite 27-13), puis la réception de Grasse ce weekend dans son Stade de l’Escale. De quoi terminer un premier bloc instructif de la meilleure des manières, et voir la suite de la saison en bleu et blanc…
Suite de notre tour d’horizon des promus en Fédérale 1 avec le Cercle Sportif Villefranche-sur-Saône, qui évoluera dans la poule 2… (Par Marco Matabiau)
Comme l’explique sans ambages Fabrice Petit, le secrétaire général du club, « la montée était l’objectif du début de saison dernière. On était déjà montés en 2019, puis on avait fait le choix de redescendre au terme de la saison 2019/2020, même si on avait assuré notre maintien au niveau sportif. On n’avait, à l’époque, pas de visibilité vis-à-vis de la Covid. De plus, on ne savait pas que la Nationale serait créée. A le savoir, on serait d’ailleurs peut-être restés à ce niveau ». Le dernier exercice a été abouti, puisque le CSV termine en tête de sa poule au terme de la phase régulière. Néanmoins, dès les 16èmes, la redoutable équipe de Meyzieu fait tomber les Caladois, qui doivent en passer par un barrage face aux Drômois de Saint-Jean-en-Royans. Une double confrontation des plus spectaculaires, puisque les Caladois s’imposent (avec deux courtes victoires à la clé) sur le score cumulé de 74 à 70. Le but que s’était fixé le groupe de Sébastien Magnat et Emmanuel Stival au mois d’août est atteint.
Cette saison, le staff a été remanié, tout en gardant une certaine continuité. En effet, si le coach Stival a cédé sa place, Sébastien Magnat, en charge des lignes arrières, poursuit l’aventure et sera même le manager général de l’équipe. Il sera associé à Simon Bornuat, l’ancien troisième ligne de Bourg-en-Bresse, qui s’occupera des avants. Peu de départs, si ce ne sont le retour de l’ouvreur Peyrat à Mâcon ou l’arrivée de Mounier au RC Pays d’Ozon. D’autre part, le demi de mêlée Saïeb met un terme à sa carrière. Pour ce qui est des arrivées, le club a fait les choses en grand. En provenance de Chartres, les Sud-Africains Sofisa (pilier) et Luiters (demi de mêlée) ainsi que le polyvalent ouvreur/ arrière Mazeau apportent leur expérience, pleinement conscients des exigences de la Fédérale 1. Deux « gauchos » rejoignent également les bords du Morgon, à savoir le deuxième ligne Caceres (Lavaur) et le trois-quart centre ou arrière Ferro (Beaune). Également en droite ligne de Beaune, le pilier Koloi. Enfin, l’ailier Bazzi quitte Aurillac et pose ses valises dans le Rhône. De la belle ouvrage.
Avec un tel recrutement, on imagine que le club ambitieux, ce que ne dément nullement Fabrice Petit: « On veut exister en Fédérale 1. Le but n’est donc pas de figurer dans le ventre mou de la poule ». Une reprise début juillet, une coupure début août, puis les choses sérieuses ont vraiment commencé. Après des amicaux face à Rumilly, Nuit Saint Georges et le PUC, le club démarre l’exercice 2022/ 2023 en affrontant trois promus : à Meyzieu (des retrouvailles soldées par une victoire 17-33), à Gruissan (défaite 27-13), puis la réception de Grasse ce weekend dans son Stade de l’Escale. De quoi terminer un premier bloc instructif de la meilleure des manières, et voir la suite de la saison en bleu et blanc…
Suite de notre tour d’horizon des promus en Fédérale 1 avec le Cercle Sportif Villefranche-sur-Saône, qui évoluera dans la poule 2… (Par Marco Matabiau)
Comme l’explique sans ambages Fabrice Petit, le secrétaire général du club, « la montée était l’objectif du début de saison dernière. On était déjà montés en 2019, puis on avait fait le choix de redescendre au terme de la saison 2019/2020, même si on avait assuré notre maintien au niveau sportif. On n’avait, à l’époque, pas de visibilité vis-à-vis de la Covid. De plus, on ne savait pas que la Nationale serait créée. A le savoir, on serait d’ailleurs peut-être restés à ce niveau ». Le dernier exercice a été abouti, puisque le CSV termine en tête de sa poule au terme de la phase régulière. Néanmoins, dès les 16èmes, la redoutable équipe de Meyzieu fait tomber les Caladois, qui doivent en passer par un barrage face aux Drômois de Saint-Jean-en-Royans. Une double confrontation des plus spectaculaires, puisque les Caladois s’imposent (avec deux courtes victoires à la clé) sur le score cumulé de 74 à 70. Le but que s’était fixé le groupe de Sébastien Magnat et Emmanuel Stival au mois d’août est atteint.
Cette saison, le staff a été remanié, tout en gardant une certaine continuité. En effet, si le coach Stival a cédé sa place, Sébastien Magnat, en charge des lignes arrières, poursuit l’aventure et sera même le manager général de l’équipe. Il sera associé à Simon Bornuat, l’ancien troisième ligne de Bourg-en-Bresse, qui s’occupera des avants. Peu de départs, si ce ne sont le retour de l’ouvreur Peyrat à Mâcon ou l’arrivée de Mounier au RC Pays d’Ozon. D’autre part, le demi de mêlée Saïeb met un terme à sa carrière. Pour ce qui est des arrivées, le club a fait les choses en grand. En provenance de Chartres, les Sud-Africains Sofisa (pilier) et Luiters (demi de mêlée) ainsi que le polyvalent ouvreur/ arrière Mazeau apportent leur expérience, pleinement conscients des exigences de la Fédérale 1. Deux « gauchos » rejoignent également les bords du Morgon, à savoir le deuxième ligne Caceres (Lavaur) et le trois-quart centre ou arrière Ferro (Beaune). Également en droite ligne de Beaune, le pilier Koloi. Enfin, l’ailier Bazzi quitte Aurillac et pose ses valises dans le Rhône. De la belle ouvrage.
Avec un tel recrutement, on imagine que le club ambitieux, ce que ne dément nullement Fabrice Petit: « On veut exister en Fédérale 1. Le but n’est donc pas de figurer dans le ventre mou de la poule ». Une reprise début juillet, une coupure début août, puis les choses sérieuses ont vraiment commencé. Après des amicaux face à Rumilly, Nuit Saint Georges et le PUC, le club démarre l’exercice 2022/ 2023 en affrontant trois promus : à Meyzieu (des retrouvailles soldées par une victoire 17-33), à Gruissan (défaite 27-13), puis la réception de Grasse ce weekend dans son Stade de l’Escale. De quoi terminer un premier bloc instructif de la meilleure des manières, et voir la suite de la saison en bleu et blanc…
Suite de notre tour d’horizon des promus en Fédérale 1 avec le Cercle Sportif Villefranche-sur-Saône, qui évoluera dans la poule 2… (Par Marco Matabiau)
Comme l’explique sans ambages Fabrice Petit, le secrétaire général du club, « la montée était l’objectif du début de saison dernière. On était déjà montés en 2019, puis on avait fait le choix de redescendre au terme de la saison 2019/2020, même si on avait assuré notre maintien au niveau sportif. On n’avait, à l’époque, pas de visibilité vis-à-vis de la Covid. De plus, on ne savait pas que la Nationale serait créée. A le savoir, on serait d’ailleurs peut-être restés à ce niveau ». Le dernier exercice a été abouti, puisque le CSV termine en tête de sa poule au terme de la phase régulière. Néanmoins, dès les 16èmes, la redoutable équipe de Meyzieu fait tomber les Caladois, qui doivent en passer par un barrage face aux Drômois de Saint-Jean-en-Royans. Une double confrontation des plus spectaculaires, puisque les Caladois s’imposent (avec deux courtes victoires à la clé) sur le score cumulé de 74 à 70. Le but que s’était fixé le groupe de Sébastien Magnat et Emmanuel Stival au mois d’août est atteint.
Cette saison, le staff a été remanié, tout en gardant une certaine continuité. En effet, si le coach Stival a cédé sa place, Sébastien Magnat, en charge des lignes arrières, poursuit l’aventure et sera même le manager général de l’équipe. Il sera associé à Simon Bornuat, l’ancien troisième ligne de Bourg-en-Bresse, qui s’occupera des avants. Peu de départs, si ce ne sont le retour de l’ouvreur Peyrat à Mâcon ou l’arrivée de Mounier au RC Pays d’Ozon. D’autre part, le demi de mêlée Saïeb met un terme à sa carrière. Pour ce qui est des arrivées, le club a fait les choses en grand. En provenance de Chartres, les Sud-Africains Sofisa (pilier) et Luiters (demi de mêlée) ainsi que le polyvalent ouvreur/ arrière Mazeau apportent leur expérience, pleinement conscients des exigences de la Fédérale 1. Deux « gauchos » rejoignent également les bords du Morgon, à savoir le deuxième ligne Caceres (Lavaur) et le trois-quart centre ou arrière Ferro (Beaune). Également en droite ligne de Beaune, le pilier Koloi. Enfin, l’ailier Bazzi quitte Aurillac et pose ses valises dans le Rhône. De la belle ouvrage.
Avec un tel recrutement, on imagine que le club ambitieux, ce que ne dément nullement Fabrice Petit: « On veut exister en Fédérale 1. Le but n’est donc pas de figurer dans le ventre mou de la poule ». Une reprise début juillet, une coupure début août, puis les choses sérieuses ont vraiment commencé. Après des amicaux face à Rumilly, Nuit Saint Georges et le PUC, le club démarre l’exercice 2022/ 2023 en affrontant trois promus : à Meyzieu (des retrouvailles soldées par une victoire 17-33), à Gruissan (défaite 27-13), puis la réception de Grasse ce weekend dans son Stade de l’Escale. De quoi terminer un premier bloc instructif de la meilleure des manières, et voir la suite de la saison en bleu et blanc…