Bien malin était celui qui pouvait deviner quel serait le vainqueur du duel prometteur entre Montréjeau, et Andorre. Le champion 2018 de 1ère série, assuré de retrouver l’élite régionale occitane en septembre prochain, allait-il revivre une deuxième finale en 12 mois ? Ou bien serait-ce l’Andorre, qui a retrouvé des couleurs cette année, et également l’Honneur la saison prochaine ?
Les Andorrans réalisaient une bonne entame, mais c’est Montréjeau qui ouvrait le score sur pénalité. L’égalisation intervenait de la même façon un quart d’heure plus tard (3-3). Barthe redonnait l’avantage à l’USMGP juste avant la pause. 6-3. ce même Barthe se signalait au retour des vestiaires par une nouveau coup de pied vainqueur (9-3). Les débats étaient équilibrés, les forces en présence aussi. Le match allait basculer sur une action andorrane, conclue par Jinashvili, buteur et seul marqueur d’essai du jour. à 9-10, tout restait jouable. Montréjeau se donnait les moyens de repasser devant, en s’approchant de la terre promise, mais des maladresses faisaient avorter toutes les actions amorcées.
« On méritait de jouer la finale… »
Entre ces approximations et l’indiscipline, les hommes de Cédric Dubosc ne pouvaient renverser Andorre, dont le jeu minimaliste, mais ô combien efficace, aura suffit pour les envoyer en finale. La joie pour les uns, les regrets pour les autres, le grand classique. Le plus déçu de tous était peut-être Cédrick Dubosc, co-entraîneur de Montréjeau : « Oui on est déçu car on devait gagner ce match, mais on a été imprécis sur nos temps forts, on meurt 3 fois à un mètre de la ligne et la différence s’est faite là je pense. Car les Andorrans ont été réaliste sur leurs deux temps forts. Par contre je ne suis pas déçu de mes joueurs, ils ont été égaux à eux mêmes, dans la vaillance, la générosité et n’ont laissé guère d’avancées à de très imposants gabarits pourtant. Alors déçu oui, car je pense qu’on méritait de jouer la finale dimanche, mais bon c’est comme ça. On a trois semaines pour oublier ça, et essayer de repartir au mieux en championnat de France. »
A noter la très belle organisation (et réception) du club de Saint-Jean du Falga, appréciée de tous puisque certains sont restés plus longtemps que prévu en Ariège…
Bien malin était celui qui pouvait deviner quel serait le vainqueur du duel prometteur entre Montréjeau, et Andorre. Le champion 2018 de 1ère série, assuré de retrouver l’élite régionale occitane en septembre prochain, allait-il revivre une deuxième finale en 12 mois ? Ou bien serait-ce l’Andorre, qui a retrouvé des couleurs cette année, et également l’Honneur la saison prochaine ?
Les Andorrans réalisaient une bonne entame, mais c’est Montréjeau qui ouvrait le score sur pénalité. L’égalisation intervenait de la même façon un quart d’heure plus tard (3-3). Barthe redonnait l’avantage à l’USMGP juste avant la pause. 6-3. ce même Barthe se signalait au retour des vestiaires par une nouveau coup de pied vainqueur (9-3). Les débats étaient équilibrés, les forces en présence aussi. Le match allait basculer sur une action andorrane, conclue par Jinashvili, buteur et seul marqueur d’essai du jour. à 9-10, tout restait jouable. Montréjeau se donnait les moyens de repasser devant, en s’approchant de la terre promise, mais des maladresses faisaient avorter toutes les actions amorcées.
« On méritait de jouer la finale… »
Entre ces approximations et l’indiscipline, les hommes de Cédric Dubosc ne pouvaient renverser Andorre, dont le jeu minimaliste, mais ô combien efficace, aura suffit pour les envoyer en finale. La joie pour les uns, les regrets pour les autres, le grand classique. Le plus déçu de tous était peut-être Cédrick Dubosc, co-entraîneur de Montréjeau : « Oui on est déçu car on devait gagner ce match, mais on a été imprécis sur nos temps forts, on meurt 3 fois à un mètre de la ligne et la différence s’est faite là je pense. Car les Andorrans ont été réaliste sur leurs deux temps forts. Par contre je ne suis pas déçu de mes joueurs, ils ont été égaux à eux mêmes, dans la vaillance, la générosité et n’ont laissé guère d’avancées à de très imposants gabarits pourtant. Alors déçu oui, car je pense qu’on méritait de jouer la finale dimanche, mais bon c’est comme ça. On a trois semaines pour oublier ça, et essayer de repartir au mieux en championnat de France. »
A noter la très belle organisation (et réception) du club de Saint-Jean du Falga, appréciée de tous puisque certains sont restés plus longtemps que prévu en Ariège…