Tour d’horizon des équipes de Fédérale 2. Aujourd’hui, présentation du Football Club Lourdais, qui évoluera en poule 6… (Par Marco Matabiau).
Huit titres de champion de France. Six challenges Yves-du-Manoir. Deux coupes de France. N’en jetez plus, la cour est pleine. Peu de clubs français peuvent se targuer d’un tel palmarès. Pourtant, les dernières années ont été bien plus délicates pour le club lourdais, comme l’explique le manager Serge Candau: « L’histoire du club est certes toujours présente, mais il ne faut pas que ce soit un frein, qu’elle inhibe les joueurs. Au contraire ». Après deux saisons difficiles (la dernière rapidement annulée, la précédente vierge de succès en 18 sorties), l’ancien de Ger Séron Bédeil dévoile les contours du travail effectué à l’intersaison: « On a dû faire un constat sportif et fidéliser le staff. Chez nous, pas de première ni de réserve, on fonctionne en ateliers. J’ai également de nombreux échanges avec l’entraîneur des juniors, pour savoir si les jeunes qui montent sont à même de postuler pour l’équipe 1 ».
Justement, quand on parle recrutement, le manager est très clair: « La saison passée, on a fait confiance à des jeunes encadrés par quelques trentenaires. On travaille sur l’équilibre, l’état d’esprit. Cela évite d’aller chercher des soi-disant têtes d’affiche qui en fait n’apportent pas tant que cela au groupe. Cette saison, on a une douzaine de juniors qui montent, dont certains ont déjà porté le maillot des séniors l’an passé. On veut avant tout créer de l’émulation ». L’effectif global reste stable malgré la perte des piliers Mauriès (OBRC) et Peduto (l’Argentin reprend une entreprise familiale à Alicante, en Espagne). « Deux super mecs, tant sur le plan rugbystique que sur l’humain. Ils donnaient beaucoup au groupe ». Pour ce qui est des recrues, pas de folie, mais un bel arrivage de chez le voisin argelésien. Le pilier Hiva, le talonneur Irigoyen, l’ailier Boya et le jeune arrière prometteur Campet rejoignent le FCL. Sans parler du polyvalent 9/ 10 Masseboeuf.
La saison qui s’annonce dans cette poule 6 sera loin d’être aisée, d’autant plus que le FC Villefranchois, un gros morceau plutôt habitué des voyages sur la côte méditerranéenne et dans l’Aveyron, rejoint cette poule 6. Les matchs amicaux face à Tournefeuille et Aramits auront permis de peaufiner certains réglages avant le « D-Day », le jour de derby: en effet, Lourdes affrontera d’entrée Coarraze-Nay au Stade Béguère, avant de retrouver Balma et l’Entente Astarac Bigorre. L’histoire de nouveau en marche?
Tour d’horizon des équipes de Fédérale 2. Aujourd’hui, présentation du Football Club Lourdais, qui évoluera en poule 6… (Par Marco Matabiau).
Huit titres de champion de France. Six challenges Yves-du-Manoir. Deux coupes de France. N’en jetez plus, la cour est pleine. Peu de clubs français peuvent se targuer d’un tel palmarès. Pourtant, les dernières années ont été bien plus délicates pour le club lourdais, comme l’explique le manager Serge Candau: « L’histoire du club est certes toujours présente, mais il ne faut pas que ce soit un frein, qu’elle inhibe les joueurs. Au contraire ». Après deux saisons difficiles (la dernière rapidement annulée, la précédente vierge de succès en 18 sorties), l’ancien de Ger Séron Bédeil dévoile les contours du travail effectué à l’intersaison: « On a dû faire un constat sportif et fidéliser le staff. Chez nous, pas de première ni de réserve, on fonctionne en ateliers. J’ai également de nombreux échanges avec l’entraîneur des juniors, pour savoir si les jeunes qui montent sont à même de postuler pour l’équipe 1 ».
Justement, quand on parle recrutement, le manager est très clair: « La saison passée, on a fait confiance à des jeunes encadrés par quelques trentenaires. On travaille sur l’équilibre, l’état d’esprit. Cela évite d’aller chercher des soi-disant têtes d’affiche qui en fait n’apportent pas tant que cela au groupe. Cette saison, on a une douzaine de juniors qui montent, dont certains ont déjà porté le maillot des séniors l’an passé. On veut avant tout créer de l’émulation ». L’effectif global reste stable malgré la perte des piliers Mauriès (OBRC) et Peduto (l’Argentin reprend une entreprise familiale à Alicante, en Espagne). « Deux super mecs, tant sur le plan rugbystique que sur l’humain. Ils donnaient beaucoup au groupe ». Pour ce qui est des recrues, pas de folie, mais un bel arrivage de chez le voisin argelésien. Le pilier Hiva, le talonneur Irigoyen, l’ailier Boya et le jeune arrière prometteur Campet rejoignent le FCL. Sans parler du polyvalent 9/ 10 Masseboeuf.
La saison qui s’annonce dans cette poule 6 sera loin d’être aisée, d’autant plus que le FC Villefranchois, un gros morceau plutôt habitué des voyages sur la côte méditerranéenne et dans l’Aveyron, rejoint cette poule 6. Les matchs amicaux face à Tournefeuille et Aramits auront permis de peaufiner certains réglages avant le « D-Day », le jour de derby: en effet, Lourdes affrontera d’entrée Coarraze-Nay au Stade Béguère, avant de retrouver Balma et l’Entente Astarac Bigorre. L’histoire de nouveau en marche?
Tour d’horizon des équipes de Fédérale 2. Aujourd’hui, présentation du Football Club Lourdais, qui évoluera en poule 6… (Par Marco Matabiau).
Huit titres de champion de France. Six challenges Yves-du-Manoir. Deux coupes de France. N’en jetez plus, la cour est pleine. Peu de clubs français peuvent se targuer d’un tel palmarès. Pourtant, les dernières années ont été bien plus délicates pour le club lourdais, comme l’explique le manager Serge Candau: « L’histoire du club est certes toujours présente, mais il ne faut pas que ce soit un frein, qu’elle inhibe les joueurs. Au contraire ». Après deux saisons difficiles (la dernière rapidement annulée, la précédente vierge de succès en 18 sorties), l’ancien de Ger Séron Bédeil dévoile les contours du travail effectué à l’intersaison: « On a dû faire un constat sportif et fidéliser le staff. Chez nous, pas de première ni de réserve, on fonctionne en ateliers. J’ai également de nombreux échanges avec l’entraîneur des juniors, pour savoir si les jeunes qui montent sont à même de postuler pour l’équipe 1 ».
Justement, quand on parle recrutement, le manager est très clair: « La saison passée, on a fait confiance à des jeunes encadrés par quelques trentenaires. On travaille sur l’équilibre, l’état d’esprit. Cela évite d’aller chercher des soi-disant têtes d’affiche qui en fait n’apportent pas tant que cela au groupe. Cette saison, on a une douzaine de juniors qui montent, dont certains ont déjà porté le maillot des séniors l’an passé. On veut avant tout créer de l’émulation ». L’effectif global reste stable malgré la perte des piliers Mauriès (OBRC) et Peduto (l’Argentin reprend une entreprise familiale à Alicante, en Espagne). « Deux super mecs, tant sur le plan rugbystique que sur l’humain. Ils donnaient beaucoup au groupe ». Pour ce qui est des recrues, pas de folie, mais un bel arrivage de chez le voisin argelésien. Le pilier Hiva, le talonneur Irigoyen, l’ailier Boya et le jeune arrière prometteur Campet rejoignent le FCL. Sans parler du polyvalent 9/ 10 Masseboeuf.
La saison qui s’annonce dans cette poule 6 sera loin d’être aisée, d’autant plus que le FC Villefranchois, un gros morceau plutôt habitué des voyages sur la côte méditerranéenne et dans l’Aveyron, rejoint cette poule 6. Les matchs amicaux face à Tournefeuille et Aramits auront permis de peaufiner certains réglages avant le « D-Day », le jour de derby: en effet, Lourdes affrontera d’entrée Coarraze-Nay au Stade Béguère, avant de retrouver Balma et l’Entente Astarac Bigorre. L’histoire de nouveau en marche?
Tour d’horizon des équipes de Fédérale 2. Aujourd’hui, présentation du Football Club Lourdais, qui évoluera en poule 6… (Par Marco Matabiau).
Huit titres de champion de France. Six challenges Yves-du-Manoir. Deux coupes de France. N’en jetez plus, la cour est pleine. Peu de clubs français peuvent se targuer d’un tel palmarès. Pourtant, les dernières années ont été bien plus délicates pour le club lourdais, comme l’explique le manager Serge Candau: « L’histoire du club est certes toujours présente, mais il ne faut pas que ce soit un frein, qu’elle inhibe les joueurs. Au contraire ». Après deux saisons difficiles (la dernière rapidement annulée, la précédente vierge de succès en 18 sorties), l’ancien de Ger Séron Bédeil dévoile les contours du travail effectué à l’intersaison: « On a dû faire un constat sportif et fidéliser le staff. Chez nous, pas de première ni de réserve, on fonctionne en ateliers. J’ai également de nombreux échanges avec l’entraîneur des juniors, pour savoir si les jeunes qui montent sont à même de postuler pour l’équipe 1 ».
Justement, quand on parle recrutement, le manager est très clair: « La saison passée, on a fait confiance à des jeunes encadrés par quelques trentenaires. On travaille sur l’équilibre, l’état d’esprit. Cela évite d’aller chercher des soi-disant têtes d’affiche qui en fait n’apportent pas tant que cela au groupe. Cette saison, on a une douzaine de juniors qui montent, dont certains ont déjà porté le maillot des séniors l’an passé. On veut avant tout créer de l’émulation ». L’effectif global reste stable malgré la perte des piliers Mauriès (OBRC) et Peduto (l’Argentin reprend une entreprise familiale à Alicante, en Espagne). « Deux super mecs, tant sur le plan rugbystique que sur l’humain. Ils donnaient beaucoup au groupe ». Pour ce qui est des recrues, pas de folie, mais un bel arrivage de chez le voisin argelésien. Le pilier Hiva, le talonneur Irigoyen, l’ailier Boya et le jeune arrière prometteur Campet rejoignent le FCL. Sans parler du polyvalent 9/ 10 Masseboeuf.
La saison qui s’annonce dans cette poule 6 sera loin d’être aisée, d’autant plus que le FC Villefranchois, un gros morceau plutôt habitué des voyages sur la côte méditerranéenne et dans l’Aveyron, rejoint cette poule 6. Les matchs amicaux face à Tournefeuille et Aramits auront permis de peaufiner certains réglages avant le « D-Day », le jour de derby: en effet, Lourdes affrontera d’entrée Coarraze-Nay au Stade Béguère, avant de retrouver Balma et l’Entente Astarac Bigorre. L’histoire de nouveau en marche?