Tour d’horizon des équipes de Fédérale 1. Aujourd’hui, présentation de l’US Tyrosse Rugby Côte Sud, qui évoluera en poule 4… (Par Marco Matabiau).
Autant le dire tout de suite. Ce n’est pas en surfant sur la page Facebook ou sur le site internet du club de Tyrosse que vous allez tomber sur une interminable liste de transferts. Dans sa volonté de ne pas détruire ce qui avait été débuté, notamment, lors de la saison passée, le club landais n’enregistrera cette année qu’une seule arrivée, celle de l’ailier dijonnais Lagarde, passé par l’USAP et France 7. Rayon départs, l’arrière Sarthou prend une retraite méritée et le jeune (18 ans) troisième ligne Guilly quitte la proximité des plages pour se rapprocher des volcans auvergnats puisqu’il s’est engagé avec l’ASM Clermont Auvergne.
François Gelez, revenu dans son club formateur voilà cinq saisons, nous explique ce choix: « Déjà, on a réduit la voilure quant au recrutement car quelques joueurs qui devaient arrêter au terme de la saison passée ont décidé de remettre le couvert du fait de cette année tronquée. Outre l’aspect économique qu’on ne peut pas négliger, il est aussi question d’une réelle identité de club à laquelle nous tenons. Et puis, un gars qu’on recrute, c’est un joueur formé au club qui ne joue pas ». Avec le co-entraîneur Grégory Moulis (ex-talonneur ayant évolué à Tyrosse et Lombez Samatan), l’ancien ouvreur international (8 sélections) insiste sur le fait que la formation tyrossaise est un atout maître dont le club ne peut se passer: « On a des équipes de jeunes à très haut niveau: les cadets en Alamercery depuis 2 ans, les juniors en Crabos depuis 3. Ce n’est pas toujours facile de les convaincre de rester, d’autant plus qu’on est dans un triangle Biarritz – Bayonne – Mont de Marsan. Et que Pau n’est qu’à une centaine de kilomètres. Le but n’est pas de les bloquer chez nous mais bien de leur faire comprendre qu’ils ont leur carte à jouer pour évoluer en Fédérale 1. En résumé, sans jeter la pierre à d’autres ou juger les diverses façons de fonctionner, on est ambitieux avec une certaine éthique. Par exemple, sur les 4 matchs joués la saison passée avant l’arrêt, trois « 2001 » ont fait des feuilles de match ».
Même si elle n’a pas été des plus simples à gérer, la période sans championnat due à la pandémie a été passée sans réelle encombre: « Comme on ne savait pas le temps que ça allait durer, on a continué à s’entraîner, notamment pour maintenir le lien social. Puis à l’arrêt officiel, on a coupé pendant cinq semaines. On a donné des vacances anticipées aux joueurs et on a repris le 15 mai pour un cycle de six semaines. Reprendre tôt, c’est mieux, surtout après une longue période d’inactivité. Début juillet, on avait beaucoup plus de « casse » qu’à la même période l’année précédente. Pas forcément des choses graves, mais des petits pépins physiques, ce genre de choses. Après une nouvelle période de vacances, on a bien repris en août, avant d’enchainer les matchs amicaux ». L’US Tyrosse aura ainsi affronté Arcachon (à domicile le 7 août, en Gironde le 14) et le Floirac de Julien Bouic, toujours à domicile, le 21. De quoi se ménager une petite semaine de coupure avant d’entrer de plain pied dans le championnat avec un premier bloc qui s’annonce « costaud »: deux déplacements consécutifs (Peyrehorade, Anglet) avant la récepetion de Nafarroa.
Tour d’horizon des équipes de Fédérale 1. Aujourd’hui, présentation de l’US Tyrosse Rugby Côte Sud, qui évoluera en poule 4… (Par Marco Matabiau).
Autant le dire tout de suite. Ce n’est pas en surfant sur la page Facebook ou sur le site internet du club de Tyrosse que vous allez tomber sur une interminable liste de transferts. Dans sa volonté de ne pas détruire ce qui avait été débuté, notamment, lors de la saison passée, le club landais n’enregistrera cette année qu’une seule arrivée, celle de l’ailier dijonnais Lagarde, passé par l’USAP et France 7. Rayon départs, l’arrière Sarthou prend une retraite méritée et le jeune (18 ans) troisième ligne Guilly quitte la proximité des plages pour se rapprocher des volcans auvergnats puisqu’il s’est engagé avec l’ASM Clermont Auvergne.
François Gelez, revenu dans son club formateur voilà cinq saisons, nous explique ce choix: « Déjà, on a réduit la voilure quant au recrutement car quelques joueurs qui devaient arrêter au terme de la saison passée ont décidé de remettre le couvert du fait de cette année tronquée. Outre l’aspect économique qu’on ne peut pas négliger, il est aussi question d’une réelle identité de club à laquelle nous tenons. Et puis, un gars qu’on recrute, c’est un joueur formé au club qui ne joue pas ». Avec le co-entraîneur Grégory Moulis (ex-talonneur ayant évolué à Tyrosse et Lombez Samatan), l’ancien ouvreur international (8 sélections) insiste sur le fait que la formation tyrossaise est un atout maître dont le club ne peut se passer: « On a des équipes de jeunes à très haut niveau: les cadets en Alamercery depuis 2 ans, les juniors en Crabos depuis 3. Ce n’est pas toujours facile de les convaincre de rester, d’autant plus qu’on est dans un triangle Biarritz – Bayonne – Mont de Marsan. Et que Pau n’est qu’à une centaine de kilomètres. Le but n’est pas de les bloquer chez nous mais bien de leur faire comprendre qu’ils ont leur carte à jouer pour évoluer en Fédérale 1. En résumé, sans jeter la pierre à d’autres ou juger les diverses façons de fonctionner, on est ambitieux avec une certaine éthique. Par exemple, sur les 4 matchs joués la saison passée avant l’arrêt, trois « 2001 » ont fait des feuilles de match ».
Même si elle n’a pas été des plus simples à gérer, la période sans championnat due à la pandémie a été passée sans réelle encombre: « Comme on ne savait pas le temps que ça allait durer, on a continué à s’entraîner, notamment pour maintenir le lien social. Puis à l’arrêt officiel, on a coupé pendant cinq semaines. On a donné des vacances anticipées aux joueurs et on a repris le 15 mai pour un cycle de six semaines. Reprendre tôt, c’est mieux, surtout après une longue période d’inactivité. Début juillet, on avait beaucoup plus de « casse » qu’à la même période l’année précédente. Pas forcément des choses graves, mais des petits pépins physiques, ce genre de choses. Après une nouvelle période de vacances, on a bien repris en août, avant d’enchainer les matchs amicaux ». L’US Tyrosse aura ainsi affronté Arcachon (à domicile le 7 août, en Gironde le 14) et le Floirac de Julien Bouic, toujours à domicile, le 21. De quoi se ménager une petite semaine de coupure avant d’entrer de plain pied dans le championnat avec un premier bloc qui s’annonce « costaud »: deux déplacements consécutifs (Peyrehorade, Anglet) avant la récepetion de Nafarroa.
Tour d’horizon des équipes de Fédérale 1. Aujourd’hui, présentation de l’US Tyrosse Rugby Côte Sud, qui évoluera en poule 4… (Par Marco Matabiau).
Autant le dire tout de suite. Ce n’est pas en surfant sur la page Facebook ou sur le site internet du club de Tyrosse que vous allez tomber sur une interminable liste de transferts. Dans sa volonté de ne pas détruire ce qui avait été débuté, notamment, lors de la saison passée, le club landais n’enregistrera cette année qu’une seule arrivée, celle de l’ailier dijonnais Lagarde, passé par l’USAP et France 7. Rayon départs, l’arrière Sarthou prend une retraite méritée et le jeune (18 ans) troisième ligne Guilly quitte la proximité des plages pour se rapprocher des volcans auvergnats puisqu’il s’est engagé avec l’ASM Clermont Auvergne.
François Gelez, revenu dans son club formateur voilà cinq saisons, nous explique ce choix: « Déjà, on a réduit la voilure quant au recrutement car quelques joueurs qui devaient arrêter au terme de la saison passée ont décidé de remettre le couvert du fait de cette année tronquée. Outre l’aspect économique qu’on ne peut pas négliger, il est aussi question d’une réelle identité de club à laquelle nous tenons. Et puis, un gars qu’on recrute, c’est un joueur formé au club qui ne joue pas ». Avec le co-entraîneur Grégory Moulis (ex-talonneur ayant évolué à Tyrosse et Lombez Samatan), l’ancien ouvreur international (8 sélections) insiste sur le fait que la formation tyrossaise est un atout maître dont le club ne peut se passer: « On a des équipes de jeunes à très haut niveau: les cadets en Alamercery depuis 2 ans, les juniors en Crabos depuis 3. Ce n’est pas toujours facile de les convaincre de rester, d’autant plus qu’on est dans un triangle Biarritz – Bayonne – Mont de Marsan. Et que Pau n’est qu’à une centaine de kilomètres. Le but n’est pas de les bloquer chez nous mais bien de leur faire comprendre qu’ils ont leur carte à jouer pour évoluer en Fédérale 1. En résumé, sans jeter la pierre à d’autres ou juger les diverses façons de fonctionner, on est ambitieux avec une certaine éthique. Par exemple, sur les 4 matchs joués la saison passée avant l’arrêt, trois « 2001 » ont fait des feuilles de match ».
Même si elle n’a pas été des plus simples à gérer, la période sans championnat due à la pandémie a été passée sans réelle encombre: « Comme on ne savait pas le temps que ça allait durer, on a continué à s’entraîner, notamment pour maintenir le lien social. Puis à l’arrêt officiel, on a coupé pendant cinq semaines. On a donné des vacances anticipées aux joueurs et on a repris le 15 mai pour un cycle de six semaines. Reprendre tôt, c’est mieux, surtout après une longue période d’inactivité. Début juillet, on avait beaucoup plus de « casse » qu’à la même période l’année précédente. Pas forcément des choses graves, mais des petits pépins physiques, ce genre de choses. Après une nouvelle période de vacances, on a bien repris en août, avant d’enchainer les matchs amicaux ». L’US Tyrosse aura ainsi affronté Arcachon (à domicile le 7 août, en Gironde le 14) et le Floirac de Julien Bouic, toujours à domicile, le 21. De quoi se ménager une petite semaine de coupure avant d’entrer de plain pied dans le championnat avec un premier bloc qui s’annonce « costaud »: deux déplacements consécutifs (Peyrehorade, Anglet) avant la récepetion de Nafarroa.
Tour d’horizon des équipes de Fédérale 1. Aujourd’hui, présentation de l’US Tyrosse Rugby Côte Sud, qui évoluera en poule 4… (Par Marco Matabiau).
Autant le dire tout de suite. Ce n’est pas en surfant sur la page Facebook ou sur le site internet du club de Tyrosse que vous allez tomber sur une interminable liste de transferts. Dans sa volonté de ne pas détruire ce qui avait été débuté, notamment, lors de la saison passée, le club landais n’enregistrera cette année qu’une seule arrivée, celle de l’ailier dijonnais Lagarde, passé par l’USAP et France 7. Rayon départs, l’arrière Sarthou prend une retraite méritée et le jeune (18 ans) troisième ligne Guilly quitte la proximité des plages pour se rapprocher des volcans auvergnats puisqu’il s’est engagé avec l’ASM Clermont Auvergne.
François Gelez, revenu dans son club formateur voilà cinq saisons, nous explique ce choix: « Déjà, on a réduit la voilure quant au recrutement car quelques joueurs qui devaient arrêter au terme de la saison passée ont décidé de remettre le couvert du fait de cette année tronquée. Outre l’aspect économique qu’on ne peut pas négliger, il est aussi question d’une réelle identité de club à laquelle nous tenons. Et puis, un gars qu’on recrute, c’est un joueur formé au club qui ne joue pas ». Avec le co-entraîneur Grégory Moulis (ex-talonneur ayant évolué à Tyrosse et Lombez Samatan), l’ancien ouvreur international (8 sélections) insiste sur le fait que la formation tyrossaise est un atout maître dont le club ne peut se passer: « On a des équipes de jeunes à très haut niveau: les cadets en Alamercery depuis 2 ans, les juniors en Crabos depuis 3. Ce n’est pas toujours facile de les convaincre de rester, d’autant plus qu’on est dans un triangle Biarritz – Bayonne – Mont de Marsan. Et que Pau n’est qu’à une centaine de kilomètres. Le but n’est pas de les bloquer chez nous mais bien de leur faire comprendre qu’ils ont leur carte à jouer pour évoluer en Fédérale 1. En résumé, sans jeter la pierre à d’autres ou juger les diverses façons de fonctionner, on est ambitieux avec une certaine éthique. Par exemple, sur les 4 matchs joués la saison passée avant l’arrêt, trois « 2001 » ont fait des feuilles de match ».
Même si elle n’a pas été des plus simples à gérer, la période sans championnat due à la pandémie a été passée sans réelle encombre: « Comme on ne savait pas le temps que ça allait durer, on a continué à s’entraîner, notamment pour maintenir le lien social. Puis à l’arrêt officiel, on a coupé pendant cinq semaines. On a donné des vacances anticipées aux joueurs et on a repris le 15 mai pour un cycle de six semaines. Reprendre tôt, c’est mieux, surtout après une longue période d’inactivité. Début juillet, on avait beaucoup plus de « casse » qu’à la même période l’année précédente. Pas forcément des choses graves, mais des petits pépins physiques, ce genre de choses. Après une nouvelle période de vacances, on a bien repris en août, avant d’enchainer les matchs amicaux ». L’US Tyrosse aura ainsi affronté Arcachon (à domicile le 7 août, en Gironde le 14) et le Floirac de Julien Bouic, toujours à domicile, le 21. De quoi se ménager une petite semaine de coupure avant d’entrer de plain pied dans le championnat avec un premier bloc qui s’annonce « costaud »: deux déplacements consécutifs (Peyrehorade, Anglet) avant la récepetion de Nafarroa.