Le rugby autorisé à l’école ? Et oui, notre bon vieux ballon ovale y était interdit. Alors que nous avons tous ces souvenirs d’enfance où l’on jouait au ballon à la récréation, force est de reconnaître qu’il était la plupart du temps rond. La Ligue et la FFR ont fait de leur retour dans le milieu scolaire une des lignes fortes de leur programme, sans doute pour conquérir de nouveaux licenciés, mais peut-être aussi pour conserver la culture rugby dans nos territoires. Et convaincre les sceptiques des valeurs éducatives que porte ce sport. Tout comme la possibilité de le pratiquer sans danger. Et le Pays Catalan vient de montrer l’exemple…
« Nous avons prouvé que c’était possible et sans danger de jouer au rugby » a déclaré à l’indépendant le président de l’association sportive de Corneilla-del-Bercol Francis Sabardeil, qui poursuit : « Depuis deux ans à l’école primaire Joseph-Néo d’Elne, nous avons financé un terrain synthétique et les enfants l’utilisent sans aucun souci. Il en va de même dans les écoles de Latour-Bas-Elne, Alenya et bientôt à Saint-Cyprien. C’est pourquoi nous avons pu convaincre les diverses autorités de suivre ces exemples. »
Dans ce cadre, une convention a été signée entre les instances du rugby à XIII, à XV, les représentants des élus municipaux, et les services académiques. Appelée « Rugby à la récré », cette convention a pour objectif plus que louable de favoriser la pratique du rugby (à toucher), et par voie de conséquence d’installer des pelouses synthétiques dans les écoles primaires (soit un investissement estimé entre 3 000 et 5 000€)
Alain Doucet, qui milite depuis son arrivée à la tête de la Ligue Occitanie pour le retour du rugby dans les écoles, se montrait particulièrement enthousiaste : « L’idée même de « rugby à la récré » est une excellente chose, car cela donne un éclairage différent sur la présence du rugby à l’école. On sait que nous étions exclus des récréations pour sa prétendue dangerosité, alors que ce n’était pas le cas il y a trente ans. Le retour du rugby à l’école est donc une excellente nouvelle je le répète, car des envies et des vocations y prennent leur source. Nous avons tous été des enfants, et il faut retrouver l’envie de jouer spontanément. Le rugby à l’école n’est pas une matière supplémentaire, c’est juste de l’envie, et le plaisir de jouer. Je suis ravi que cette action soit mise en lumière. Et que Francis Sabardeil, qui a mené de front cette bataille avec courage, en touche les dividendes, j’en suis ravi pour lui également. »
L’école de rugby de Corneilla-del-Bercol a été élue meilleure école de rugby de l’année 2019. Faut-il y voir pour autant un lien de cause à effet avec cette ouverture scolaire ? Pas sûr, mais si cette école de rugby se porte bien, c’est qu’elle compte aussi plus de jeunes licenciés, qui sont donc à… bonne école.
Le rugby autorisé à l’école ? Et oui, notre bon vieux ballon ovale y était interdit. Alors que nous avons tous ces souvenirs d’enfance où l’on jouait au ballon à la récréation, force est de reconnaître qu’il était la plupart du temps rond. La Ligue et la FFR ont fait de leur retour dans le milieu scolaire une des lignes fortes de leur programme, sans doute pour conquérir de nouveaux licenciés, mais peut-être aussi pour conserver la culture rugby dans nos territoires. Et convaincre les sceptiques des valeurs éducatives que porte ce sport. Tout comme la possibilité de le pratiquer sans danger. Et le Pays Catalan vient de montrer l’exemple…
« Nous avons prouvé que c’était possible et sans danger de jouer au rugby » a déclaré à l’indépendant le président de l’association sportive de Corneilla-del-Bercol Francis Sabardeil, qui poursuit : « Depuis deux ans à l’école primaire Joseph-Néo d’Elne, nous avons financé un terrain synthétique et les enfants l’utilisent sans aucun souci. Il en va de même dans les écoles de Latour-Bas-Elne, Alenya et bientôt à Saint-Cyprien. C’est pourquoi nous avons pu convaincre les diverses autorités de suivre ces exemples. »
Dans ce cadre, une convention a été signée entre les instances du rugby à XIII, à XV, les représentants des élus municipaux, et les services académiques. Appelée « Rugby à la récré », cette convention a pour objectif plus que louable de favoriser la pratique du rugby (à toucher), et par voie de conséquence d’installer des pelouses synthétiques dans les écoles primaires (soit un investissement estimé entre 3 000 et 5 000€)
Alain Doucet, qui milite depuis son arrivée à la tête de la Ligue Occitanie pour le retour du rugby dans les écoles, se montrait particulièrement enthousiaste : « L’idée même de « rugby à la récré » est une excellente chose, car cela donne un éclairage différent sur la présence du rugby à l’école. On sait que nous étions exclus des récréations pour sa prétendue dangerosité, alors que ce n’était pas le cas il y a trente ans. Le retour du rugby à l’école est donc une excellente nouvelle je le répète, car des envies et des vocations y prennent leur source. Nous avons tous été des enfants, et il faut retrouver l’envie de jouer spontanément. Le rugby à l’école n’est pas une matière supplémentaire, c’est juste de l’envie, et le plaisir de jouer. Je suis ravi que cette action soit mise en lumière. Et que Francis Sabardeil, qui a mené de front cette bataille avec courage, en touche les dividendes, j’en suis ravi pour lui également. »
L’école de rugby de Corneilla-del-Bercol a été élue meilleure école de rugby de l’année 2019. Faut-il y voir pour autant un lien de cause à effet avec cette ouverture scolaire ? Pas sûr, mais si cette école de rugby se porte bien, c’est qu’elle compte aussi plus de jeunes licenciés, qui sont donc à… bonne école.
C’est Curieux, ce que vous dites sur la Dangerosité du Rugby à l’Ecole, alors qu’au Collège Victor Hugo à Narbonne, nous le pratiquions, avec seulement des « Gratte-Poule » pour Remise en Jeu.
Je n’y ai vu Jamais d’Accident Grave, seulement un « Petit Tampon » de temps en temps, pour celui qui gardait trop longtemps le Boudin de Chiffon qui Nous servait de Ballon.