Souvenez-vous, en juillet dernier, nous vous racontions la très belle histoire de ce club qui reprenait vie grâce à l’énergie et la volonté déployées par Lucas, tout juste 18 ans, natif d’un village qui avait perdu son équipe de rugby depuis quatre ans (voir article). Le minot, épaulé par plusieurs copains de son âge, s’est démené, a convaincu t les anciens de revenir au bercail, pour finalement obtenir une grande victoire : la renaissance officielle de Naucelle. Le beau village aveyronnais avait donc rendez-vous dimanche dernier pour inaugurer ce grand retour à la compétition, au plus bas niveau de la compétition occitane, mais au plus haut niveau de l’émotion locale…
Se retrouver le dimanche, humer les odeurs de la pelouse, des pommades chauffantes, entendre le bruit des crampons, les regards qui se croisent, qui se passent de paroles, c’était plus qu’un jour de match dimanche à Naucelle, c’était une retour aux sources. Le public avait répondu présent pour soutenir ses protégés, cette nouvelle équipe qui porte à nouveau ces couleurs jaunes et noires fanées depuis quelques années. Cette fois, et malgré une météo capricieuse, les couleurs étaient aussi vives que les premières actions. Le match a tenu ses promesses, les joueurs des deux camps aussi. Car en face, Villefranche de Rouergue a avancé des arguments pour gâcher la fête. Pour preuve, ce score serré à la fin du match. Un 10-7 qu’il a fallu préservé pour des locaux déterminés à arracher ce premier succès, si symbolique.
Au coup de sifflet final, Naucelle venait officiellement de gagner bien plus que quatre points. Lucas Batejat, le jeune architecte à l’origine de la reconstruction nous témoigne son émotion : « C’est difficile à expliquer, mais on sentait une émotion forte dans le vestiaire, et même au coup d’envoi. On était émus de voir autant de supporters aussi. On s’est donnés sans compter, on menait 10-0 mais quand Villefranche est revenu à 3 points, on a eu un peu peur de perdre. Heureusement tout le monde a été solidaire, et cette victoire signifie beaucoup pour nous tous. Ce n’est qu’un début, mais on se souviendra de cette première journée, c’est certain ! » Fabrice Lascours était lui aussi, un entraîneur heureux : « C’est une belle reprise oui, remplie d’émotion au coup d’envoi. Le public était là, généreux et merveilleux. Ce sont de beaux moments, et de belles promesses pour cette équipe en devenir, dont le collectif et la solidarité ont permis de remporter ce match. C’est très encourageant ! » Quelque part en Aveyron, un village de 2000 habitants a senti le souffle du renouveau, d’une équipe qui réécrit l’histoire. Alors bon vent au Rugby Club Naucellois !
Souvenez-vous, en juillet dernier, nous vous racontions la très belle histoire de ce club qui reprenait vie grâce à l’énergie et la volonté déployées par Lucas, tout juste 18 ans, natif d’un village qui avait perdu son équipe de rugby depuis quatre ans (voir article). Le minot, épaulé par plusieurs copains de son âge, s’est démené, a convaincu t les anciens de revenir au bercail, pour finalement obtenir une grande victoire : la renaissance officielle de Naucelle. Le beau village aveyronnais avait donc rendez-vous dimanche dernier pour inaugurer ce grand retour à la compétition, au plus bas niveau de la compétition occitane, mais au plus haut niveau de l’émotion locale…
Se retrouver le dimanche, humer les odeurs de la pelouse, des pommades chauffantes, entendre le bruit des crampons, les regards qui se croisent, qui se passent de paroles, c’était plus qu’un jour de match dimanche à Naucelle, c’était une retour aux sources. Le public avait répondu présent pour soutenir ses protégés, cette nouvelle équipe qui porte à nouveau ces couleurs jaunes et noires fanées depuis quelques années. Cette fois, et malgré une météo capricieuse, les couleurs étaient aussi vives que les premières actions. Le match a tenu ses promesses, les joueurs des deux camps aussi. Car en face, Villefranche de Rouergue a avancé des arguments pour gâcher la fête. Pour preuve, ce score serré à la fin du match. Un 10-7 qu’il a fallu préservé pour des locaux déterminés à arracher ce premier succès, si symbolique.
Au coup de sifflet final, Naucelle venait officiellement de gagner bien plus que quatre points. Lucas Batejat, le jeune architecte à l’origine de la reconstruction nous témoigne son émotion : « C’est difficile à expliquer, mais on sentait une émotion forte dans le vestiaire, et même au coup d’envoi. On était émus de voir autant de supporters aussi. On s’est donnés sans compter, on menait 10-0 mais quand Villefranche est revenu à 3 points, on a eu un peu peur de perdre. Heureusement tout le monde a été solidaire, et cette victoire signifie beaucoup pour nous tous. Ce n’est qu’un début, mais on se souviendra de cette première journée, c’est certain ! » Fabrice Lascours était lui aussi, un entraîneur heureux : « C’est une belle reprise oui, remplie d’émotion au coup d’envoi. Le public était là, généreux et merveilleux. Ce sont de beaux moments, et de belles promesses pour cette équipe en devenir, dont le collectif et la solidarité ont permis de remporter ce match. C’est très encourageant ! » Quelque part en Aveyron, un village de 2000 habitants a senti le souffle du renouveau, d’une équipe qui réécrit l’histoire. Alors bon vent au Rugby Club Naucellois !
Souvenez-vous, en juillet dernier, nous vous racontions la très belle histoire de ce club qui reprenait vie grâce à l’énergie et la volonté déployées par Lucas, tout juste 18 ans, natif d’un village qui avait perdu son équipe de rugby depuis quatre ans (voir article). Le minot, épaulé par plusieurs copains de son âge, s’est démené, a convaincu t les anciens de revenir au bercail, pour finalement obtenir une grande victoire : la renaissance officielle de Naucelle. Le beau village aveyronnais avait donc rendez-vous dimanche dernier pour inaugurer ce grand retour à la compétition, au plus bas niveau de la compétition occitane, mais au plus haut niveau de l’émotion locale…
Se retrouver le dimanche, humer les odeurs de la pelouse, des pommades chauffantes, entendre le bruit des crampons, les regards qui se croisent, qui se passent de paroles, c’était plus qu’un jour de match dimanche à Naucelle, c’était une retour aux sources. Le public avait répondu présent pour soutenir ses protégés, cette nouvelle équipe qui porte à nouveau ces couleurs jaunes et noires fanées depuis quelques années. Cette fois, et malgré une météo capricieuse, les couleurs étaient aussi vives que les premières actions. Le match a tenu ses promesses, les joueurs des deux camps aussi. Car en face, Villefranche de Rouergue a avancé des arguments pour gâcher la fête. Pour preuve, ce score serré à la fin du match. Un 10-7 qu’il a fallu préservé pour des locaux déterminés à arracher ce premier succès, si symbolique.
Au coup de sifflet final, Naucelle venait officiellement de gagner bien plus que quatre points. Lucas Batejat, le jeune architecte à l’origine de la reconstruction nous témoigne son émotion : « C’est difficile à expliquer, mais on sentait une émotion forte dans le vestiaire, et même au coup d’envoi. On était émus de voir autant de supporters aussi. On s’est donnés sans compter, on menait 10-0 mais quand Villefranche est revenu à 3 points, on a eu un peu peur de perdre. Heureusement tout le monde a été solidaire, et cette victoire signifie beaucoup pour nous tous. Ce n’est qu’un début, mais on se souviendra de cette première journée, c’est certain ! » Fabrice Lascours était lui aussi, un entraîneur heureux : « C’est une belle reprise oui, remplie d’émotion au coup d’envoi. Le public était là, généreux et merveilleux. Ce sont de beaux moments, et de belles promesses pour cette équipe en devenir, dont le collectif et la solidarité ont permis de remporter ce match. C’est très encourageant ! » Quelque part en Aveyron, un village de 2000 habitants a senti le souffle du renouveau, d’une équipe qui réécrit l’histoire. Alors bon vent au Rugby Club Naucellois !
Souvenez-vous, en juillet dernier, nous vous racontions la très belle histoire de ce club qui reprenait vie grâce à l’énergie et la volonté déployées par Lucas, tout juste 18 ans, natif d’un village qui avait perdu son équipe de rugby depuis quatre ans (voir article). Le minot, épaulé par plusieurs copains de son âge, s’est démené, a convaincu t les anciens de revenir au bercail, pour finalement obtenir une grande victoire : la renaissance officielle de Naucelle. Le beau village aveyronnais avait donc rendez-vous dimanche dernier pour inaugurer ce grand retour à la compétition, au plus bas niveau de la compétition occitane, mais au plus haut niveau de l’émotion locale…
Se retrouver le dimanche, humer les odeurs de la pelouse, des pommades chauffantes, entendre le bruit des crampons, les regards qui se croisent, qui se passent de paroles, c’était plus qu’un jour de match dimanche à Naucelle, c’était une retour aux sources. Le public avait répondu présent pour soutenir ses protégés, cette nouvelle équipe qui porte à nouveau ces couleurs jaunes et noires fanées depuis quelques années. Cette fois, et malgré une météo capricieuse, les couleurs étaient aussi vives que les premières actions. Le match a tenu ses promesses, les joueurs des deux camps aussi. Car en face, Villefranche de Rouergue a avancé des arguments pour gâcher la fête. Pour preuve, ce score serré à la fin du match. Un 10-7 qu’il a fallu préservé pour des locaux déterminés à arracher ce premier succès, si symbolique.
Au coup de sifflet final, Naucelle venait officiellement de gagner bien plus que quatre points. Lucas Batejat, le jeune architecte à l’origine de la reconstruction nous témoigne son émotion : « C’est difficile à expliquer, mais on sentait une émotion forte dans le vestiaire, et même au coup d’envoi. On était émus de voir autant de supporters aussi. On s’est donnés sans compter, on menait 10-0 mais quand Villefranche est revenu à 3 points, on a eu un peu peur de perdre. Heureusement tout le monde a été solidaire, et cette victoire signifie beaucoup pour nous tous. Ce n’est qu’un début, mais on se souviendra de cette première journée, c’est certain ! » Fabrice Lascours était lui aussi, un entraîneur heureux : « C’est une belle reprise oui, remplie d’émotion au coup d’envoi. Le public était là, généreux et merveilleux. Ce sont de beaux moments, et de belles promesses pour cette équipe en devenir, dont le collectif et la solidarité ont permis de remporter ce match. C’est très encourageant ! » Quelque part en Aveyron, un village de 2000 habitants a senti le souffle du renouveau, d’une équipe qui réécrit l’histoire. Alors bon vent au Rugby Club Naucellois !