On l’avait laissé manager en charge du développement du Racing Club de Trèbes dans l’Aude (Première Série Occitanie). On retrouvera désormais Julien Sidobre sur le banc du Cahors Rugby après seulement deux journées en fédérale 2… (Par Marco Matabiau)
Didier Valade, le président cadurcien avait déclaré il y a quelques jours que « cela n’avait pas marché avec David Penalva ». L’ex-deuxième ligne (et international portugais) David Penalva avait donc quitté le club juste avant la reprise du championnat (alors qu’il s’était pourtant engagé avec les Lotois quelques semaines auparavant). Le Cahors Rugby cherchait un co-listier à Manu Rodrigues, en charge des lignes arrières. Julien Sidobre a accepté cette fonction : « J’avais décidé d’arrêter à Trèbes. En effet, je pense que j’étais arrivé un peu trop tôt dans le projet. Je faisais plus d’administratif que de terrain ». Déjà contacté à l’orée de l’été par les Ciel et Blanc, l’ex-coach de Villefranche de Lauragais et de Castanet avait eu une bonne première impression: « Oui, on avait de suite bien matché, notamment avec le manager Christophe Jarosz, un historique du club ».
Alors, ces premiers pas au Stade Lucien-Desprats ? « Cette proposition me permet de revenir dans le championnat de Fédérale 2, au plus près du terrain. Pour l’instant, je suis allé à deux entraînements (mercredi 22 et vendredi 24). Ce que je sais, c’est que Cahors est un club ambitieux, mais qu’on a aussi beaucoup de casse dans l’effectif ». Ce qui peut expliquer, en partie, le début de saison difficile des Cadurciens: défaite sur le fil chez les Cantaliens d’Arpajon Veinazes (15-16, alors que l’équipe semblait avoir le match en mains), puis à domicile contre le R.O. Castelnaudary (8-12): « Un match piège par excellence. Quand l’équipe est en manque de confiance, rien ne se passe comme prévu ».
Il s’agit maintenant de se relancer, notamment lors de cette troisième journée. Là non plus, rien ne sera simple, car le Cahors Rugby se déplace ce dimanche chez les Catalans de Prades, battus in extremis par Gruissan en ouverture (même si le résultat reste à entériner), puis plus largement à Millau (30-17). On a connu plus simple comme baptême du feu, et pour se relancer…
On l’avait laissé manager en charge du développement du Racing Club de Trèbes dans l’Aude (Première Série Occitanie). On retrouvera désormais Julien Sidobre sur le banc du Cahors Rugby après seulement deux journées en fédérale 2… (Par Marco Matabiau)
Didier Valade, le président cadurcien avait déclaré il y a quelques jours que « cela n’avait pas marché avec David Penalva ». L’ex-deuxième ligne (et international portugais) David Penalva avait donc quitté le club juste avant la reprise du championnat (alors qu’il s’était pourtant engagé avec les Lotois quelques semaines auparavant). Le Cahors Rugby cherchait un co-listier à Manu Rodrigues, en charge des lignes arrières. Julien Sidobre a accepté cette fonction : « J’avais décidé d’arrêter à Trèbes. En effet, je pense que j’étais arrivé un peu trop tôt dans le projet. Je faisais plus d’administratif que de terrain ». Déjà contacté à l’orée de l’été par les Ciel et Blanc, l’ex-coach de Villefranche de Lauragais et de Castanet avait eu une bonne première impression: « Oui, on avait de suite bien matché, notamment avec le manager Christophe Jarosz, un historique du club ».
Alors, ces premiers pas au Stade Lucien-Desprats ? « Cette proposition me permet de revenir dans le championnat de Fédérale 2, au plus près du terrain. Pour l’instant, je suis allé à deux entraînements (mercredi 22 et vendredi 24). Ce que je sais, c’est que Cahors est un club ambitieux, mais qu’on a aussi beaucoup de casse dans l’effectif ». Ce qui peut expliquer, en partie, le début de saison difficile des Cadurciens: défaite sur le fil chez les Cantaliens d’Arpajon Veinazes (15-16, alors que l’équipe semblait avoir le match en mains), puis à domicile contre le R.O. Castelnaudary (8-12): « Un match piège par excellence. Quand l’équipe est en manque de confiance, rien ne se passe comme prévu ».
Il s’agit maintenant de se relancer, notamment lors de cette troisième journée. Là non plus, rien ne sera simple, car le Cahors Rugby se déplace ce dimanche chez les Catalans de Prades, battus in extremis par Gruissan en ouverture (même si le résultat reste à entériner), puis plus largement à Millau (30-17). On a connu plus simple comme baptême du feu, et pour se relancer…
On l’avait laissé manager en charge du développement du Racing Club de Trèbes dans l’Aude (Première Série Occitanie). On retrouvera désormais Julien Sidobre sur le banc du Cahors Rugby après seulement deux journées en fédérale 2… (Par Marco Matabiau)
Didier Valade, le président cadurcien avait déclaré il y a quelques jours que « cela n’avait pas marché avec David Penalva ». L’ex-deuxième ligne (et international portugais) David Penalva avait donc quitté le club juste avant la reprise du championnat (alors qu’il s’était pourtant engagé avec les Lotois quelques semaines auparavant). Le Cahors Rugby cherchait un co-listier à Manu Rodrigues, en charge des lignes arrières. Julien Sidobre a accepté cette fonction : « J’avais décidé d’arrêter à Trèbes. En effet, je pense que j’étais arrivé un peu trop tôt dans le projet. Je faisais plus d’administratif que de terrain ». Déjà contacté à l’orée de l’été par les Ciel et Blanc, l’ex-coach de Villefranche de Lauragais et de Castanet avait eu une bonne première impression: « Oui, on avait de suite bien matché, notamment avec le manager Christophe Jarosz, un historique du club ».
Alors, ces premiers pas au Stade Lucien-Desprats ? « Cette proposition me permet de revenir dans le championnat de Fédérale 2, au plus près du terrain. Pour l’instant, je suis allé à deux entraînements (mercredi 22 et vendredi 24). Ce que je sais, c’est que Cahors est un club ambitieux, mais qu’on a aussi beaucoup de casse dans l’effectif ». Ce qui peut expliquer, en partie, le début de saison difficile des Cadurciens: défaite sur le fil chez les Cantaliens d’Arpajon Veinazes (15-16, alors que l’équipe semblait avoir le match en mains), puis à domicile contre le R.O. Castelnaudary (8-12): « Un match piège par excellence. Quand l’équipe est en manque de confiance, rien ne se passe comme prévu ».
Il s’agit maintenant de se relancer, notamment lors de cette troisième journée. Là non plus, rien ne sera simple, car le Cahors Rugby se déplace ce dimanche chez les Catalans de Prades, battus in extremis par Gruissan en ouverture (même si le résultat reste à entériner), puis plus largement à Millau (30-17). On a connu plus simple comme baptême du feu, et pour se relancer…
On l’avait laissé manager en charge du développement du Racing Club de Trèbes dans l’Aude (Première Série Occitanie). On retrouvera désormais Julien Sidobre sur le banc du Cahors Rugby après seulement deux journées en fédérale 2… (Par Marco Matabiau)
Didier Valade, le président cadurcien avait déclaré il y a quelques jours que « cela n’avait pas marché avec David Penalva ». L’ex-deuxième ligne (et international portugais) David Penalva avait donc quitté le club juste avant la reprise du championnat (alors qu’il s’était pourtant engagé avec les Lotois quelques semaines auparavant). Le Cahors Rugby cherchait un co-listier à Manu Rodrigues, en charge des lignes arrières. Julien Sidobre a accepté cette fonction : « J’avais décidé d’arrêter à Trèbes. En effet, je pense que j’étais arrivé un peu trop tôt dans le projet. Je faisais plus d’administratif que de terrain ». Déjà contacté à l’orée de l’été par les Ciel et Blanc, l’ex-coach de Villefranche de Lauragais et de Castanet avait eu une bonne première impression: « Oui, on avait de suite bien matché, notamment avec le manager Christophe Jarosz, un historique du club ».
Alors, ces premiers pas au Stade Lucien-Desprats ? « Cette proposition me permet de revenir dans le championnat de Fédérale 2, au plus près du terrain. Pour l’instant, je suis allé à deux entraînements (mercredi 22 et vendredi 24). Ce que je sais, c’est que Cahors est un club ambitieux, mais qu’on a aussi beaucoup de casse dans l’effectif ». Ce qui peut expliquer, en partie, le début de saison difficile des Cadurciens: défaite sur le fil chez les Cantaliens d’Arpajon Veinazes (15-16, alors que l’équipe semblait avoir le match en mains), puis à domicile contre le R.O. Castelnaudary (8-12): « Un match piège par excellence. Quand l’équipe est en manque de confiance, rien ne se passe comme prévu ».
Il s’agit maintenant de se relancer, notamment lors de cette troisième journée. Là non plus, rien ne sera simple, car le Cahors Rugby se déplace ce dimanche chez les Catalans de Prades, battus in extremis par Gruissan en ouverture (même si le résultat reste à entériner), puis plus largement à Millau (30-17). On a connu plus simple comme baptême du feu, et pour se relancer…