On dit parfois qu’il peut y avoir de bons 0-0. Oui, on le dit. Mais au foot, pas au rugby. Un score de parité est déjà peu courant, mais avec un 0-0 au planchot, c’est encore plus étonnant. C’est pourtant ce qui est arrivé hier en régionale Nouvelle Aquitaine…
« Ce score atypique s’explique par un rude combat livré par les deux équipes. La première mi-temps a été plus à l’avantage de Chauvigny, la deuxième en faveur du PEC. Il y a eu des occasions d’essai pourtant, mais toutes gâchées par des fautes techniques, au niveau des passes notamment. Le jeu au pied a été assez pauvre aussi, notamment les tentatives de pénalités, même face aux perches à 22m. Voilà ce qui explique, dans les grandes ligne, ce triste 0-0. » Ce dirigeant de Chauvigny est quelque peu désabusé. Il est vrai que le derby entre l’US Chauvinoise et le Poitiers Etudiants Club laissait entrevoir une autre issue, d’autant plus que ces deux formations luttent pour le maintien.
Les deux équipes luttent pour le maintien
Mais aucun point ne sera marqué à la fin du premier acte, et pas plus à la fin du second. Oui, au cours des 80 minutes, rien ne sera inscrit. Une « performance » rare, qui a mis au chômage forcé le préposé au tableau d’affichage, et qui a légèrement agacé les entraîneurs. Mais qui nous permet de saluer les deux équipes qui n’ont rien lâché. La suite et la fin de la saison régulière nous permettra de savoir si ce match nul aura des conséquences, s’il faudra tout reprendre à… zéro, ou pas.
On dit parfois qu’il peut y avoir de bons 0-0. Oui, on le dit. Mais au foot, pas au rugby. Un score de parité est déjà peu courant, mais avec un 0-0 au planchot, c’est encore plus étonnant. C’est pourtant ce qui est arrivé hier en régionale Nouvelle Aquitaine…
« Ce score atypique s’explique par un rude combat livré par les deux équipes. La première mi-temps a été plus à l’avantage de Chauvigny, la deuxième en faveur du PEC. Il y a eu des occasions d’essai pourtant, mais toutes gâchées par des fautes techniques, au niveau des passes notamment. Le jeu au pied a été assez pauvre aussi, notamment les tentatives de pénalités, même face aux perches à 22m. Voilà ce qui explique, dans les grandes ligne, ce triste 0-0. » Ce dirigeant de Chauvigny est quelque peu désabusé. Il est vrai que le derby entre l’US Chauvinoise et le Poitiers Etudiants Club laissait entrevoir une autre issue, d’autant plus que ces deux formations luttent pour le maintien.
Les deux équipes luttent pour le maintien
Mais aucun point ne sera marqué à la fin du premier acte, et pas plus à la fin du second. Oui, au cours des 80 minutes, rien ne sera inscrit. Une « performance » rare, qui a mis au chômage forcé le préposé au tableau d’affichage, et qui a légèrement agacé les entraîneurs. Mais qui nous permet de saluer les deux équipes qui n’ont rien lâché. La suite et la fin de la saison régulière nous permettra de savoir si ce match nul aura des conséquences, s’il faudra tout reprendre à… zéro, ou pas.
On dit parfois qu’il peut y avoir de bons 0-0. Oui, on le dit. Mais au foot, pas au rugby. Un score de parité est déjà peu courant, mais avec un 0-0 au planchot, c’est encore plus étonnant. C’est pourtant ce qui est arrivé hier en régionale Nouvelle Aquitaine…
« Ce score atypique s’explique par un rude combat livré par les deux équipes. La première mi-temps a été plus à l’avantage de Chauvigny, la deuxième en faveur du PEC. Il y a eu des occasions d’essai pourtant, mais toutes gâchées par des fautes techniques, au niveau des passes notamment. Le jeu au pied a été assez pauvre aussi, notamment les tentatives de pénalités, même face aux perches à 22m. Voilà ce qui explique, dans les grandes ligne, ce triste 0-0. » Ce dirigeant de Chauvigny est quelque peu désabusé. Il est vrai que le derby entre l’US Chauvinoise et le Poitiers Etudiants Club laissait entrevoir une autre issue, d’autant plus que ces deux formations luttent pour le maintien.
Les deux équipes luttent pour le maintien
Mais aucun point ne sera marqué à la fin du premier acte, et pas plus à la fin du second. Oui, au cours des 80 minutes, rien ne sera inscrit. Une « performance » rare, qui a mis au chômage forcé le préposé au tableau d’affichage, et qui a légèrement agacé les entraîneurs. Mais qui nous permet de saluer les deux équipes qui n’ont rien lâché. La suite et la fin de la saison régulière nous permettra de savoir si ce match nul aura des conséquences, s’il faudra tout reprendre à… zéro, ou pas.
On dit parfois qu’il peut y avoir de bons 0-0. Oui, on le dit. Mais au foot, pas au rugby. Un score de parité est déjà peu courant, mais avec un 0-0 au planchot, c’est encore plus étonnant. C’est pourtant ce qui est arrivé hier en régionale Nouvelle Aquitaine…
« Ce score atypique s’explique par un rude combat livré par les deux équipes. La première mi-temps a été plus à l’avantage de Chauvigny, la deuxième en faveur du PEC. Il y a eu des occasions d’essai pourtant, mais toutes gâchées par des fautes techniques, au niveau des passes notamment. Le jeu au pied a été assez pauvre aussi, notamment les tentatives de pénalités, même face aux perches à 22m. Voilà ce qui explique, dans les grandes ligne, ce triste 0-0. » Ce dirigeant de Chauvigny est quelque peu désabusé. Il est vrai que le derby entre l’US Chauvinoise et le Poitiers Etudiants Club laissait entrevoir une autre issue, d’autant plus que ces deux formations luttent pour le maintien.
Les deux équipes luttent pour le maintien
Mais aucun point ne sera marqué à la fin du premier acte, et pas plus à la fin du second. Oui, au cours des 80 minutes, rien ne sera inscrit. Une « performance » rare, qui a mis au chômage forcé le préposé au tableau d’affichage, et qui a légèrement agacé les entraîneurs. Mais qui nous permet de saluer les deux équipes qui n’ont rien lâché. La suite et la fin de la saison régulière nous permettra de savoir si ce match nul aura des conséquences, s’il faudra tout reprendre à… zéro, ou pas.