Les maffrés sont légions durant toute une saison. Oeil, nez, front, crâne, arcade, lèvres, tout y passe en matière d’ouverture et de bosses. Parfois, le maffré doit partir aux urgences, et le reste de l’équipe l’attend… parfois. Le weekend dernier, les joueurs de Gourdon, qui disputaient un quart de finale du Challenge Occitanie, à Quint-Fonsegrives, ont attendu leur arrière, Marius, touché au poignet…
Comme Marius sur le pré, le bus des Lotois a donc fait un crochet, mais vers la Clinique de la Croix, en banlieue toulousaine. Il faut dire que l’arrière de Gourdon s’est offert une petite fracture du poignet qui nécessitaient des soins immédiats. Alors ses coéquipiers, qui attendaient devant la clinique, ont réclamé la libération de leur copain.
Il faut dire que Marius est accessoirement le soigneur de l’équipe, puisque kiné de métier. C’est pourquoi, pour continuer à exercer (il est kiné libéral), il a demandé à se faire poser une attelle plutôt qu’un plâtre. Une conscience professionnelle qui honore Marius, qui va donc continuer à soulager, soigner, manipuler et faire craquer ses patients, à la force du… poignet. Espérons pour lui, en prévision du prochain match en Challenge de France, qu’il sera remis sur pied.
Les maffrés sont légions durant toute une saison. Oeil, nez, front, crâne, arcade, lèvres, tout y passe en matière d’ouverture et de bosses. Parfois, le maffré doit partir aux urgences, et le reste de l’équipe l’attend… parfois. Le weekend dernier, les joueurs de Gourdon, qui disputaient un quart de finale du Challenge Occitanie, à Quint-Fonsegrives, ont attendu leur arrière, Marius, touché au poignet…
Comme Marius sur le pré, le bus des Lotois a donc fait un crochet, mais vers la Clinique de la Croix, en banlieue toulousaine. Il faut dire que l’arrière de Gourdon s’est offert une petite fracture du poignet qui nécessitaient des soins immédiats. Alors ses coéquipiers, qui attendaient devant la clinique, ont réclamé la libération de leur copain.
Il faut dire que Marius est accessoirement le soigneur de l’équipe, puisque kiné de métier. C’est pourquoi, pour continuer à exercer (il est kiné libéral), il a demandé à se faire poser une attelle plutôt qu’un plâtre. Une conscience professionnelle qui honore Marius, qui va donc continuer à soulager, soigner, manipuler et faire craquer ses patients, à la force du… poignet. Espérons pour lui, en prévision du prochain match en Challenge de France, qu’il sera remis sur pied.
Les maffrés sont légions durant toute une saison. Oeil, nez, front, crâne, arcade, lèvres, tout y passe en matière d’ouverture et de bosses. Parfois, le maffré doit partir aux urgences, et le reste de l’équipe l’attend… parfois. Le weekend dernier, les joueurs de Gourdon, qui disputaient un quart de finale du Challenge Occitanie, à Quint-Fonsegrives, ont attendu leur arrière, Marius, touché au poignet…
Comme Marius sur le pré, le bus des Lotois a donc fait un crochet, mais vers la Clinique de la Croix, en banlieue toulousaine. Il faut dire que l’arrière de Gourdon s’est offert une petite fracture du poignet qui nécessitaient des soins immédiats. Alors ses coéquipiers, qui attendaient devant la clinique, ont réclamé la libération de leur copain.
Il faut dire que Marius est accessoirement le soigneur de l’équipe, puisque kiné de métier. C’est pourquoi, pour continuer à exercer (il est kiné libéral), il a demandé à se faire poser une attelle plutôt qu’un plâtre. Une conscience professionnelle qui honore Marius, qui va donc continuer à soulager, soigner, manipuler et faire craquer ses patients, à la force du… poignet. Espérons pour lui, en prévision du prochain match en Challenge de France, qu’il sera remis sur pied.
Les maffrés sont légions durant toute une saison. Oeil, nez, front, crâne, arcade, lèvres, tout y passe en matière d’ouverture et de bosses. Parfois, le maffré doit partir aux urgences, et le reste de l’équipe l’attend… parfois. Le weekend dernier, les joueurs de Gourdon, qui disputaient un quart de finale du Challenge Occitanie, à Quint-Fonsegrives, ont attendu leur arrière, Marius, touché au poignet…
Comme Marius sur le pré, le bus des Lotois a donc fait un crochet, mais vers la Clinique de la Croix, en banlieue toulousaine. Il faut dire que l’arrière de Gourdon s’est offert une petite fracture du poignet qui nécessitaient des soins immédiats. Alors ses coéquipiers, qui attendaient devant la clinique, ont réclamé la libération de leur copain.
Il faut dire que Marius est accessoirement le soigneur de l’équipe, puisque kiné de métier. C’est pourquoi, pour continuer à exercer (il est kiné libéral), il a demandé à se faire poser une attelle plutôt qu’un plâtre. Une conscience professionnelle qui honore Marius, qui va donc continuer à soulager, soigner, manipuler et faire craquer ses patients, à la force du… poignet. Espérons pour lui, en prévision du prochain match en Challenge de France, qu’il sera remis sur pied.