L’élection du maffré est souvent involontaire puisqu’il s’agit souvent d’une blessure que l’on ne souhaite à personne. De même que pour le Cagolin, personne ne souhaite être mis en avant pour une « cagade » ou une action ratée. Mais le week-end dernier, un joueur a réussi la performance d’endosser les deux statuts en une seule action. Explications…
Gaëtan Cupoli alias Pipo (c’est son vrai surnom), était allongé sur la table du club house dimanche dernier dès 8h du matin. Le joueur de Saint-Juéry (81) avait les cervicales bloquées. Vestiges d’un entraînement de l’avant veille trop rude ? Pas certain. Toujours est-il qu’en rentrant dans sa voiture pour se rendre au stade, il s’est bloqué et a dû déclarer forfait pour le match de l’après-midi. Pipo est passé du statut de maffré à celui de cagolin en quelques minutes.
Et quand on sait qu’à Saint-Juéry, la sanction pour le cagolin n’est autre que de repartir avec la « Barjomobile », c’était un peu la double peine pour le malheureux. Nous en avons sélectionné quelques exemples en souvenir du bon temps : octobre 2015, décembre 2015, et septembre 2016.
Pour vérifier que la cagolin utilise bien la superbe et rutilante ford, si discrète avec ses couleurs certes et rouges favorisant le camouflage dans la forêt, Pipo devait envoyer des photos durant la semaine.
Ce qu’il a fait avec aisance, puisque vous verrez plus bas Pipo (à droite) et son terrible chien d’attaque, poser fièrement à côté de la voiture du no futur. Ils ont d’ailleurs accompagnés tous deux par Laurent, qui outre le fait d’être le beau père de Pipo), est accessoirement soigneur du SJAO XV. Et pour la petite histoire, s’il pose aussi devant la voiture, c’est que lui aussi a été nominé la semaine dernière après être arrivé à 8h30 le dimanche matin. Cette arrivée matinale n’était pas la cause de la sanction, non, ce sont plutôt les effluves d’alcool qui embaumaient le vestiaire, qui laissaient planer le doute sur sa nuit de débauche. Les paillettes dans ses cheveux finissant de convaincre l’assistance que le soigneur s’était bien soigné dans la nuit, et jusqu’à l’aube… Et ça non plus, c’était pas du pipo !
L’élection du maffré est souvent involontaire puisqu’il s’agit souvent d’une blessure que l’on ne souhaite à personne. De même que pour le Cagolin, personne ne souhaite être mis en avant pour une « cagade » ou une action ratée. Mais le week-end dernier, un joueur a réussi la performance d’endosser les deux statuts en une seule action. Explications…
Gaëtan Cupoli alias Pipo (c’est son vrai surnom), était allongé sur la table du club house dimanche dernier dès 8h du matin. Le joueur de Saint-Juéry (81) avait les cervicales bloquées. Vestiges d’un entraînement de l’avant veille trop rude ? Pas certain. Toujours est-il qu’en rentrant dans sa voiture pour se rendre au stade, il s’est bloqué et a dû déclarer forfait pour le match de l’après-midi. Pipo est passé du statut de maffré à celui de cagolin en quelques minutes.
Et quand on sait qu’à Saint-Juéry, la sanction pour le cagolin n’est autre que de repartir avec la « Barjomobile », c’était un peu la double peine pour le malheureux. Nous en avons sélectionné quelques exemples en souvenir du bon temps : octobre 2015, décembre 2015, et septembre 2016.
Pour vérifier que la cagolin utilise bien la superbe et rutilante ford, si discrète avec ses couleurs certes et rouges favorisant le camouflage dans la forêt, Pipo devait envoyer des photos durant la semaine.
Ce qu’il a fait avec aisance, puisque vous verrez plus bas Pipo (à droite) et son terrible chien d’attaque, poser fièrement à côté de la voiture du no futur. Ils ont d’ailleurs accompagnés tous deux par Laurent, qui outre le fait d’être le beau père de Pipo), est accessoirement soigneur du SJAO XV. Et pour la petite histoire, s’il pose aussi devant la voiture, c’est que lui aussi a été nominé la semaine dernière après être arrivé à 8h30 le dimanche matin. Cette arrivée matinale n’était pas la cause de la sanction, non, ce sont plutôt les effluves d’alcool qui embaumaient le vestiaire, qui laissaient planer le doute sur sa nuit de débauche. Les paillettes dans ses cheveux finissant de convaincre l’assistance que le soigneur s’était bien soigné dans la nuit, et jusqu’à l’aube… Et ça non plus, c’était pas du pipo !