A la tête de cette sélection depuis 4 ans, le coach principal a le rugby qui lui colle à la peau. Laurent Sclafer officie en tant qu’arbitre vidéo sur les matchs de TOP14 et Pro D2. Une expérience du haut niveau non négligeable. Originaire du Lot, il était président de l’US Souillac (Régionale 1) jusqu’à la saison dernière. Ce beau bagage rugbystique, lui permet de faire vivre une équipe composée de militaires évoluant à des niveaux très différents, de la Fédérale 3 à la Pro D2.
Qu’est ce que l’on ressent après cette qualification historique en finale ?
“Il y avait des sourires sur les lèvres dimanche soir, on sentait les garçons heureux de la victoire. Mais pour tout dire, ils étaient déçus de leur prestation. Ils sont conscients que sans un grand buteur comme l’a été Romain Lombard, cela aurait été compliqué de gagner.
Vous attendiez-vous à un match aussi indécis ?
“On a été surpris par la qualité de jeu de nos amis néo-zélandais, on les avait trouvés moins performants à la vidéo, certains joueurs nous avaient échappé, notamment en touche. Ils ont sans doute dû reposer certains cadres contre l’Irlande et l’Ouzbékistan pour essayer de créer la surprise en demi-finale. En discutant avec mes joueurs après la rencontre, ils m’ont dit qu’ils avaient tapé sur des rochers pendant tout le match. Heureusement, il n’y a y a pas de blessé à déplorer, l’ensemble de nos 32 joueurs sont opérationnels pour la finale. Il y
aura des choix difficiles à faire pour le staff.”
« Si on fait le même début de match contre les Fidjiens, le score sera lourd à la mi-temps.”
Vous avez été performants dans les fondamentaux , était-ce la clé du succès ?
“On a pas toujours été récompensés sur nos poussées en mêlée, alors qu’on avançait vraiment dans l’axe. L’arbitre n’a pas voulu sanctionner, dommage car avec la forme de notre buteur, cela nous aurait permis de prendre le large beaucoup plus vite et de nous éviter cette fin de match crispante.”
Comment avez-vous préparé cette rencontre avec votre staff ?
“On a eu une préparation difficile la semaine dernière, avec le calcul des classements de poules on ne savait pas si on allait affronter la Nouvelle-Zélande ou l’Australie. Jusqu’à jeudi le comité d’organisation nous avait annoncé qu’on affronterait l’Australie, par rapport aux points terrains. On a donc axé notre préparation sur les Australiens. Et puis, ça n’a été officialisé que jeudi, donc on a pu se pencher sur le jeu néo-zélandais qu’à partir de ce moment-là. Mais ce n’est pas une excuse, notre mauvaise entame de match n’est pas due à cela. Je pense que les deux défaites en demi en 2015 et 2019 nous ont marqués.
« Un groupe exceptionnel… »
Quels sont les axes d’améliorations à travailler pour la finale ?
“On va déjà devoir améliorer notre entame de match et faire moins de fautes, notamment sur les zones plaqueurs plaqués. Sachant que les Fidjiens bataillent beaucoup moins que les Néo-Zélandais sur les rucks défensifs. On est conscient que la mêlée va être un gros défi, on a pu voir les Fidjiens très forts dans ce domaine contre les Anglais. Ils avaient par ailleurs enfoncé la mêlée des All-blacks lors du premier match de poule en obtenant deux essais de pénalités. On sait que ca va être un point décisif pour le gain du match en finale”
Quels étaient les objectifs annoncés en début de tournoi ?
“L’objectif numéro un était de tout donner et de ne pas avoir de regret, dans le sport tout peut aller très vite. On va jouer la finale donc on peut considérer que cet objectif est réussi. Chanter la Marseillaise à la Rabine, c’était le deuxième objectif et celui-là on va également le réaliser. Le troisième désormais, c’est de lever la coupe à la fin du match. On connaît l’engouement des supporters de Vannes pour le rugby et on constate sur les réseaux sociaux un bel engouement pour cette équipe de France. On espère que les supporters qui seront présents dimanche à la Rabine nous aideront à venir à bout des Fidji.”
Justement, pour tous les followers de RugbyAmateur, avez-vous une anecdote sympa à nous raconter ?
“Lundi matin, on est partis en bord de mer pour que les joueurs puissent récupérer en se trempant les jambes dans l’eau fraîche. On avait mis en place un barbecue pour l’équipe. Mais entre-temps on a été invité à manger une paella avec le club de Lanester, qui nous reçoit. Nous étions donc sur deux repas à la fois. Mais on a de l’appétit (rires). Plus sérieusement, ça va être difficile de tous se séparer lundi prochain, on est ensemble depuis le 5 juin. On a un groupe exceptionnel, tout le monde s’entend bien. Tout ce que l’on espère c’est de pouvoir obtenir le titre et de pouvoir se retrouver tous ensemble dans quelques mois avec plein de souvenirs.”
A la tête de cette sélection depuis 4 ans, le coach principal a le rugby qui lui colle à la peau. Laurent Sclafer officie en tant qu’arbitre vidéo sur les matchs de TOP14 et Pro D2. Une expérience du haut niveau non négligeable. Originaire du Lot, il était président de l’US Souillac (Régionale 1) jusqu’à la saison dernière. Ce beau bagage rugbystique, lui permet de faire vivre une équipe composée de militaires évoluant à des niveaux très différents, de la Fédérale 3 à la Pro D2.
Qu’est ce que l’on ressent après cette qualification historique en finale ?
“Il y avait des sourires sur les lèvres dimanche soir, on sentait les garçons heureux de la victoire. Mais pour tout dire, ils étaient déçus de leur prestation. Ils sont conscients que sans un grand buteur comme l’a été Romain Lombard, cela aurait été compliqué de gagner.
Vous attendiez-vous à un match aussi indécis ?
“On a été surpris par la qualité de jeu de nos amis néo-zélandais, on les avait trouvés moins performants à la vidéo, certains joueurs nous avaient échappé, notamment en touche. Ils ont sans doute dû reposer certains cadres contre l’Irlande et l’Ouzbékistan pour essayer de créer la surprise en demi-finale. En discutant avec mes joueurs après la rencontre, ils m’ont dit qu’ils avaient tapé sur des rochers pendant tout le match. Heureusement, il n’y a y a pas de blessé à déplorer, l’ensemble de nos 32 joueurs sont opérationnels pour la finale. Il y
aura des choix difficiles à faire pour le staff.”
« Si on fait le même début de match contre les Fidjiens, le score sera lourd à la mi-temps.”
Vous avez été performants dans les fondamentaux , était-ce la clé du succès ?
“On a pas toujours été récompensés sur nos poussées en mêlée, alors qu’on avançait vraiment dans l’axe. L’arbitre n’a pas voulu sanctionner, dommage car avec la forme de notre buteur, cela nous aurait permis de prendre le large beaucoup plus vite et de nous éviter cette fin de match crispante.”
Comment avez-vous préparé cette rencontre avec votre staff ?
“On a eu une préparation difficile la semaine dernière, avec le calcul des classements de poules on ne savait pas si on allait affronter la Nouvelle-Zélande ou l’Australie. Jusqu’à jeudi le comité d’organisation nous avait annoncé qu’on affronterait l’Australie, par rapport aux points terrains. On a donc axé notre préparation sur les Australiens. Et puis, ça n’a été officialisé que jeudi, donc on a pu se pencher sur le jeu néo-zélandais qu’à partir de ce moment-là. Mais ce n’est pas une excuse, notre mauvaise entame de match n’est pas due à cela. Je pense que les deux défaites en demi en 2015 et 2019 nous ont marqués.
« Un groupe exceptionnel… »
Quels sont les axes d’améliorations à travailler pour la finale ?
“On va déjà devoir améliorer notre entame de match et faire moins de fautes, notamment sur les zones plaqueurs plaqués. Sachant que les Fidjiens bataillent beaucoup moins que les Néo-Zélandais sur les rucks défensifs. On est conscient que la mêlée va être un gros défi, on a pu voir les Fidjiens très forts dans ce domaine contre les Anglais. Ils avaient par ailleurs enfoncé la mêlée des All-blacks lors du premier match de poule en obtenant deux essais de pénalités. On sait que ca va être un point décisif pour le gain du match en finale”
Quels étaient les objectifs annoncés en début de tournoi ?
“L’objectif numéro un était de tout donner et de ne pas avoir de regret, dans le sport tout peut aller très vite. On va jouer la finale donc on peut considérer que cet objectif est réussi. Chanter la Marseillaise à la Rabine, c’était le deuxième objectif et celui-là on va également le réaliser. Le troisième désormais, c’est de lever la coupe à la fin du match. On connaît l’engouement des supporters de Vannes pour le rugby et on constate sur les réseaux sociaux un bel engouement pour cette équipe de France. On espère que les supporters qui seront présents dimanche à la Rabine nous aideront à venir à bout des Fidji.”
Justement, pour tous les followers de RugbyAmateur, avez-vous une anecdote sympa à nous raconter ?
“Lundi matin, on est partis en bord de mer pour que les joueurs puissent récupérer en se trempant les jambes dans l’eau fraîche. On avait mis en place un barbecue pour l’équipe. Mais entre-temps on a été invité à manger une paella avec le club de Lanester, qui nous reçoit. Nous étions donc sur deux repas à la fois. Mais on a de l’appétit (rires). Plus sérieusement, ça va être difficile de tous se séparer lundi prochain, on est ensemble depuis le 5 juin. On a un groupe exceptionnel, tout le monde s’entend bien. Tout ce que l’on espère c’est de pouvoir obtenir le titre et de pouvoir se retrouver tous ensemble dans quelques mois avec plein de souvenirs.”
A la tête de cette sélection depuis 4 ans, le coach principal a le rugby qui lui colle à la peau. Laurent Sclafer officie en tant qu’arbitre vidéo sur les matchs de TOP14 et Pro D2. Une expérience du haut niveau non négligeable. Originaire du Lot, il était président de l’US Souillac (Régionale 1) jusqu’à la saison dernière. Ce beau bagage rugbystique, lui permet de faire vivre une équipe composée de militaires évoluant à des niveaux très différents, de la Fédérale 3 à la Pro D2.
Qu’est ce que l’on ressent après cette qualification historique en finale ?
“Il y avait des sourires sur les lèvres dimanche soir, on sentait les garçons heureux de la victoire. Mais pour tout dire, ils étaient déçus de leur prestation. Ils sont conscients que sans un grand buteur comme l’a été Romain Lombard, cela aurait été compliqué de gagner.
Vous attendiez-vous à un match aussi indécis ?
“On a été surpris par la qualité de jeu de nos amis néo-zélandais, on les avait trouvés moins performants à la vidéo, certains joueurs nous avaient échappé, notamment en touche. Ils ont sans doute dû reposer certains cadres contre l’Irlande et l’Ouzbékistan pour essayer de créer la surprise en demi-finale. En discutant avec mes joueurs après la rencontre, ils m’ont dit qu’ils avaient tapé sur des rochers pendant tout le match. Heureusement, il n’y a y a pas de blessé à déplorer, l’ensemble de nos 32 joueurs sont opérationnels pour la finale. Il y
aura des choix difficiles à faire pour le staff.”
« Si on fait le même début de match contre les Fidjiens, le score sera lourd à la mi-temps.”
Vous avez été performants dans les fondamentaux , était-ce la clé du succès ?
“On a pas toujours été récompensés sur nos poussées en mêlée, alors qu’on avançait vraiment dans l’axe. L’arbitre n’a pas voulu sanctionner, dommage car avec la forme de notre buteur, cela nous aurait permis de prendre le large beaucoup plus vite et de nous éviter cette fin de match crispante.”
Comment avez-vous préparé cette rencontre avec votre staff ?
“On a eu une préparation difficile la semaine dernière, avec le calcul des classements de poules on ne savait pas si on allait affronter la Nouvelle-Zélande ou l’Australie. Jusqu’à jeudi le comité d’organisation nous avait annoncé qu’on affronterait l’Australie, par rapport aux points terrains. On a donc axé notre préparation sur les Australiens. Et puis, ça n’a été officialisé que jeudi, donc on a pu se pencher sur le jeu néo-zélandais qu’à partir de ce moment-là. Mais ce n’est pas une excuse, notre mauvaise entame de match n’est pas due à cela. Je pense que les deux défaites en demi en 2015 et 2019 nous ont marqués.
« Un groupe exceptionnel… »
Quels sont les axes d’améliorations à travailler pour la finale ?
“On va déjà devoir améliorer notre entame de match et faire moins de fautes, notamment sur les zones plaqueurs plaqués. Sachant que les Fidjiens bataillent beaucoup moins que les Néo-Zélandais sur les rucks défensifs. On est conscient que la mêlée va être un gros défi, on a pu voir les Fidjiens très forts dans ce domaine contre les Anglais. Ils avaient par ailleurs enfoncé la mêlée des All-blacks lors du premier match de poule en obtenant deux essais de pénalités. On sait que ca va être un point décisif pour le gain du match en finale”
Quels étaient les objectifs annoncés en début de tournoi ?
“L’objectif numéro un était de tout donner et de ne pas avoir de regret, dans le sport tout peut aller très vite. On va jouer la finale donc on peut considérer que cet objectif est réussi. Chanter la Marseillaise à la Rabine, c’était le deuxième objectif et celui-là on va également le réaliser. Le troisième désormais, c’est de lever la coupe à la fin du match. On connaît l’engouement des supporters de Vannes pour le rugby et on constate sur les réseaux sociaux un bel engouement pour cette équipe de France. On espère que les supporters qui seront présents dimanche à la Rabine nous aideront à venir à bout des Fidji.”
Justement, pour tous les followers de RugbyAmateur, avez-vous une anecdote sympa à nous raconter ?
“Lundi matin, on est partis en bord de mer pour que les joueurs puissent récupérer en se trempant les jambes dans l’eau fraîche. On avait mis en place un barbecue pour l’équipe. Mais entre-temps on a été invité à manger une paella avec le club de Lanester, qui nous reçoit. Nous étions donc sur deux repas à la fois. Mais on a de l’appétit (rires). Plus sérieusement, ça va être difficile de tous se séparer lundi prochain, on est ensemble depuis le 5 juin. On a un groupe exceptionnel, tout le monde s’entend bien. Tout ce que l’on espère c’est de pouvoir obtenir le titre et de pouvoir se retrouver tous ensemble dans quelques mois avec plein de souvenirs.”
A la tête de cette sélection depuis 4 ans, le coach principal a le rugby qui lui colle à la peau. Laurent Sclafer officie en tant qu’arbitre vidéo sur les matchs de TOP14 et Pro D2. Une expérience du haut niveau non négligeable. Originaire du Lot, il était président de l’US Souillac (Régionale 1) jusqu’à la saison dernière. Ce beau bagage rugbystique, lui permet de faire vivre une équipe composée de militaires évoluant à des niveaux très différents, de la Fédérale 3 à la Pro D2.
Qu’est ce que l’on ressent après cette qualification historique en finale ?
“Il y avait des sourires sur les lèvres dimanche soir, on sentait les garçons heureux de la victoire. Mais pour tout dire, ils étaient déçus de leur prestation. Ils sont conscients que sans un grand buteur comme l’a été Romain Lombard, cela aurait été compliqué de gagner.
Vous attendiez-vous à un match aussi indécis ?
“On a été surpris par la qualité de jeu de nos amis néo-zélandais, on les avait trouvés moins performants à la vidéo, certains joueurs nous avaient échappé, notamment en touche. Ils ont sans doute dû reposer certains cadres contre l’Irlande et l’Ouzbékistan pour essayer de créer la surprise en demi-finale. En discutant avec mes joueurs après la rencontre, ils m’ont dit qu’ils avaient tapé sur des rochers pendant tout le match. Heureusement, il n’y a y a pas de blessé à déplorer, l’ensemble de nos 32 joueurs sont opérationnels pour la finale. Il y
aura des choix difficiles à faire pour le staff.”
« Si on fait le même début de match contre les Fidjiens, le score sera lourd à la mi-temps.”
Vous avez été performants dans les fondamentaux , était-ce la clé du succès ?
“On a pas toujours été récompensés sur nos poussées en mêlée, alors qu’on avançait vraiment dans l’axe. L’arbitre n’a pas voulu sanctionner, dommage car avec la forme de notre buteur, cela nous aurait permis de prendre le large beaucoup plus vite et de nous éviter cette fin de match crispante.”
Comment avez-vous préparé cette rencontre avec votre staff ?
“On a eu une préparation difficile la semaine dernière, avec le calcul des classements de poules on ne savait pas si on allait affronter la Nouvelle-Zélande ou l’Australie. Jusqu’à jeudi le comité d’organisation nous avait annoncé qu’on affronterait l’Australie, par rapport aux points terrains. On a donc axé notre préparation sur les Australiens. Et puis, ça n’a été officialisé que jeudi, donc on a pu se pencher sur le jeu néo-zélandais qu’à partir de ce moment-là. Mais ce n’est pas une excuse, notre mauvaise entame de match n’est pas due à cela. Je pense que les deux défaites en demi en 2015 et 2019 nous ont marqués.
« Un groupe exceptionnel… »
Quels sont les axes d’améliorations à travailler pour la finale ?
“On va déjà devoir améliorer notre entame de match et faire moins de fautes, notamment sur les zones plaqueurs plaqués. Sachant que les Fidjiens bataillent beaucoup moins que les Néo-Zélandais sur les rucks défensifs. On est conscient que la mêlée va être un gros défi, on a pu voir les Fidjiens très forts dans ce domaine contre les Anglais. Ils avaient par ailleurs enfoncé la mêlée des All-blacks lors du premier match de poule en obtenant deux essais de pénalités. On sait que ca va être un point décisif pour le gain du match en finale”
Quels étaient les objectifs annoncés en début de tournoi ?
“L’objectif numéro un était de tout donner et de ne pas avoir de regret, dans le sport tout peut aller très vite. On va jouer la finale donc on peut considérer que cet objectif est réussi. Chanter la Marseillaise à la Rabine, c’était le deuxième objectif et celui-là on va également le réaliser. Le troisième désormais, c’est de lever la coupe à la fin du match. On connaît l’engouement des supporters de Vannes pour le rugby et on constate sur les réseaux sociaux un bel engouement pour cette équipe de France. On espère que les supporters qui seront présents dimanche à la Rabine nous aideront à venir à bout des Fidji.”
Justement, pour tous les followers de RugbyAmateur, avez-vous une anecdote sympa à nous raconter ?
“Lundi matin, on est partis en bord de mer pour que les joueurs puissent récupérer en se trempant les jambes dans l’eau fraîche. On avait mis en place un barbecue pour l’équipe. Mais entre-temps on a été invité à manger une paella avec le club de Lanester, qui nous reçoit. Nous étions donc sur deux repas à la fois. Mais on a de l’appétit (rires). Plus sérieusement, ça va être difficile de tous se séparer lundi prochain, on est ensemble depuis le 5 juin. On a un groupe exceptionnel, tout le monde s’entend bien. Tout ce que l’on espère c’est de pouvoir obtenir le titre et de pouvoir se retrouver tous ensemble dans quelques mois avec plein de souvenirs.”