>Co-entraîneur de l’équipe championne du monde scolaire au Japon en 2017, avec le Lycée Borde Basse de Castres, co-entraîneur du Castres Rugby Féminin, arbitre castrais apprécié et reconnu, Yoan Bailly a un CV ovale déjà bien rempli. Depuis la semaine dernière, il pourra y rajouter une ligne supplémentaire, toujours en lien avec Castres bien sûr…
Cette petite histoire bien sympathique est partie d’un coup de fil. « Mauricio Reggiardo, souhaitait faire une opposition avec le groupe pro, car trois semaines sans match, c’était trop. Il m’a appelé pour savoir si j’étais intéressé et disponible pour arbitrer cette opposition. En me précisant bien que cela aurait des allures de match réel. J’ai répondu oui bien sûr, mais indiquant que j’arbitrais en fédérale 3. Il m’a dit de ne pas m’inquiéter, que les mecs seront avertis. » Et voilà, comment le supporter castrais, qu’est Yoan Bailly, s’est retrouvé au milieu des joueurs du club qu’il soutient depuis des années.
Le coach argentin du CO savait quant à lui, à qui il s’adressait. Et puis, c’est toujours mieux d’avoir un vrai arbitre, plutôt qu’un vrai coach au milieu de ses joueurs. « Du coup Alexis Cassan et Sébastien Viala, deux arbitres du club, ont accepté de faire la touche, et nous nous sommes lancés » sourit Yoyo, qui ne cachait pas son émotion après cette expérience inédite : « Franchement, c’était sympa, ça va hyper vite et fort comparé à nos matchs du week-end. Ça restera une très belle expérience. Les joueurs se sont mis quasiment en conditions de match, avec tout ce qui va avec. Contacts, vitesse, ils savaient qu’ils étaient évalués, alors ils n’ont pas fait semblant. Ils ont même essayé d’influencer l’arbitre… et peut-être qu’inconsciemment, ça a marché (rires) ».
Réponse ce samedi soir après la rencontre face à Brive…
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>Co-entraîneur de l’équipe championne du monde scolaire au Japon en 2017, avec le Lycée Borde Basse de Castres, co-entraîneur du Castres Rugby Féminin, arbitre castrais apprécié et reconnu, Yoan Bailly a un CV ovale déjà bien rempli. Depuis la semaine dernière, il pourra y rajouter une ligne supplémentaire, toujours en lien avec Castres bien sûr…
Cette petite histoire bien sympathique est partie d’un coup de fil. « Mauricio Reggiardo, souhaitait faire une opposition avec le groupe pro, car trois semaines sans match, c’était trop. Il m’a appelé pour savoir si j’étais intéressé et disponible pour arbitrer cette opposition. En me précisant bien que cela aurait des allures de match réel. J’ai répondu oui bien sûr, mais indiquant que j’arbitrais en fédérale 3. Il m’a dit de ne pas m’inquiéter, que les mecs seront avertis. » Et voilà, comment le supporter castrais, qu’est Yoan Bailly, s’est retrouvé au milieu des joueurs du club qu’il soutient depuis des années.
Le coach argentin du CO savait quant à lui, à qui il s’adressait. Et puis, c’est toujours mieux d’avoir un vrai arbitre, plutôt qu’un vrai coach au milieu de ses joueurs. « Du coup Alexis Cassan et Sébastien Viala, deux arbitres du club, ont accepté de faire la touche, et nous nous sommes lancés » sourit Yoyo, qui ne cachait pas son émotion après cette expérience inédite : « Franchement, c’était sympa, ça va hyper vite et fort comparé à nos matchs du week-end. Ça restera une très belle expérience. Les joueurs se sont mis quasiment en conditions de match, avec tout ce qui va avec. Contacts, vitesse, ils savaient qu’ils étaient évalués, alors ils n’ont pas fait semblant. Ils ont même essayé d’influencer l’arbitre… et peut-être qu’inconsciemment, ça a marché (rires) ».
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>Co-entraîneur de l’équipe championne du monde scolaire au Japon en 2017, avec le Lycée Borde Basse de Castres, co-entraîneur du Castres Rugby Féminin, arbitre castrais apprécié et reconnu, Yoan Bailly a un CV ovale déjà bien rempli. Depuis la semaine dernière, il pourra y rajouter une ligne supplémentaire, toujours en lien avec Castres bien sûr…
Cette petite histoire bien sympathique est partie d’un coup de fil. « Mauricio Reggiardo, souhaitait faire une opposition avec le groupe pro, car trois semaines sans match, c’était trop. Il m’a appelé pour savoir si j’étais intéressé et disponible pour arbitrer cette opposition. En me précisant bien que cela aurait des allures de match réel. J’ai répondu oui bien sûr, mais indiquant que j’arbitrais en fédérale 3. Il m’a dit de ne pas m’inquiéter, que les mecs seront avertis. » Et voilà, comment le supporter castrais, qu’est Yoan Bailly, s’est retrouvé au milieu des joueurs du club qu’il soutient depuis des années.
Le coach argentin du CO savait quant à lui, à qui il s’adressait. Et puis, c’est toujours mieux d’avoir un vrai arbitre, plutôt qu’un vrai coach au milieu de ses joueurs. « Du coup Alexis Cassan et Sébastien Viala, deux arbitres du club, ont accepté de faire la touche, et nous nous sommes lancés » sourit Yoyo, qui ne cachait pas son émotion après cette expérience inédite : « Franchement, c’était sympa, ça va hyper vite et fort comparé à nos matchs du week-end. Ça restera une très belle expérience. Les joueurs se sont mis quasiment en conditions de match, avec tout ce qui va avec. Contacts, vitesse, ils savaient qu’ils étaient évalués, alors ils n’ont pas fait semblant. Ils ont même essayé d’influencer l’arbitre… et peut-être qu’inconsciemment, ça a marché (rires) ».
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>Co-entraîneur de l’équipe championne du monde scolaire au Japon en 2017, avec le Lycée Borde Basse de Castres, co-entraîneur du Castres Rugby Féminin, arbitre castrais apprécié et reconnu, Yoan Bailly a un CV ovale déjà bien rempli. Depuis la semaine dernière, il pourra y rajouter une ligne supplémentaire, toujours en lien avec Castres bien sûr…
Cette petite histoire bien sympathique est partie d’un coup de fil. « Mauricio Reggiardo, souhaitait faire une opposition avec le groupe pro, car trois semaines sans match, c’était trop. Il m’a appelé pour savoir si j’étais intéressé et disponible pour arbitrer cette opposition. En me précisant bien que cela aurait des allures de match réel. J’ai répondu oui bien sûr, mais indiquant que j’arbitrais en fédérale 3. Il m’a dit de ne pas m’inquiéter, que les mecs seront avertis. » Et voilà, comment le supporter castrais, qu’est Yoan Bailly, s’est retrouvé au milieu des joueurs du club qu’il soutient depuis des années.
Le coach argentin du CO savait quant à lui, à qui il s’adressait. Et puis, c’est toujours mieux d’avoir un vrai arbitre, plutôt qu’un vrai coach au milieu de ses joueurs. « Du coup Alexis Cassan et Sébastien Viala, deux arbitres du club, ont accepté de faire la touche, et nous nous sommes lancés » sourit Yoyo, qui ne cachait pas son émotion après cette expérience inédite : « Franchement, c’était sympa, ça va hyper vite et fort comparé à nos matchs du week-end. Ça restera une très belle expérience. Les joueurs se sont mis quasiment en conditions de match, avec tout ce qui va avec. Contacts, vitesse, ils savaient qu’ils étaient évalués, alors ils n’ont pas fait semblant. Ils ont même essayé d’influencer l’arbitre… et peut-être qu’inconsciemment, ça a marché (rires) ».
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Cette petite histoire bien sympathique est partie d’un coup de fil. « Mauricio Reggiardo, souhaitait faire une opposition avec le groupe pro, car trois semaines sans match, c’était trop. Il m’a appelé pour savoir si j’étais intéressé et disponible pour arbitrer cette opposition. En me précisant bien que cela aurait des allures de match réel. J’ai répondu oui bien sûr, mais indiquant que j’arbitrais en fédérale 3. Il m’a dit de ne pas m’inquiéter, que les mecs seront avertis. » Et voilà, comment le supporter castrais, qu’est Yoan Bailly, s’est retrouvé au milieu des joueurs du club qu’il soutient depuis des années.
Le coach argentin du CO savait quant à lui, à qui il s’adressait. Et puis, c’est toujours mieux d’avoir un vrai arbitre, plutôt qu’un vrai coach au milieu de ses joueurs. « Du coup Alexis Cassan et Sébastien Viala, deux arbitres du club, ont accepté de faire la touche, et nous nous sommes lancés » sourit Yoyo, qui ne cachait pas son émotion après cette expérience inédite : « Franchement, c’était sympa, ça va hyper vite et fort comparé à nos matchs du week-end. Ça restera une très belle expérience. Les joueurs se sont mis quasiment en conditions de match, avec tout ce qui va avec. Contacts, vitesse, ils savaient qu’ils étaient évalués, alors ils n’ont pas fait semblant. Ils ont même essayé d’influencer l’arbitre… et peut-être qu’inconsciemment, ça a marché (rires) ».
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Le coach argentin du CO savait quant à lui, à qui il s’adressait. Et puis, c’est toujours mieux d’avoir un vrai arbitre, plutôt qu’un vrai coach au milieu de ses joueurs. « Du coup Alexis Cassan et Sébastien Viala, deux arbitres du club, ont accepté de faire la touche, et nous nous sommes lancés » sourit Yoyo, qui ne cachait pas son émotion après cette expérience inédite : « Franchement, c’était sympa, ça va hyper vite et fort comparé à nos matchs du week-end. Ça restera une très belle expérience. Les joueurs se sont mis quasiment en conditions de match, avec tout ce qui va avec. Contacts, vitesse, ils savaient qu’ils étaient évalués, alors ils n’ont pas fait semblant. Ils ont même essayé d’influencer l’arbitre… et peut-être qu’inconsciemment, ça a marché (rires) ».
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Le coach argentin du CO savait quant à lui, à qui il s’adressait. Et puis, c’est toujours mieux d’avoir un vrai arbitre, plutôt qu’un vrai coach au milieu de ses joueurs. « Du coup Alexis Cassan et Sébastien Viala, deux arbitres du club, ont accepté de faire la touche, et nous nous sommes lancés » sourit Yoyo, qui ne cachait pas son émotion après cette expérience inédite : « Franchement, c’était sympa, ça va hyper vite et fort comparé à nos matchs du week-end. Ça restera une très belle expérience. Les joueurs se sont mis quasiment en conditions de match, avec tout ce qui va avec. Contacts, vitesse, ils savaient qu’ils étaient évalués, alors ils n’ont pas fait semblant. Ils ont même essayé d’influencer l’arbitre… et peut-être qu’inconsciemment, ça a marché (rires) ».
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