Il a commencé à jouer au rugby dès l’âge de 6 ans, et a toujours joué pilier, ou talonneur. Devenu adulte, mais toujours au format première ligne, il s’est fixé au poste de talon, bien qu’il porte le numéro 1 (une vague histoire de maillot rétrécissant paraît-il). Michael Durchon n’a peut-être pas le physique d’un Thomas Ramos ou d’un Daniel Carter, il n’empêche qu’il en a les qualités de buteur…
A quoi tient la destinée d’un joueur ? A un concours parfois : « Mon équipe organisait un concours de pénalités, que j’ai gagné. J’ai donc eu droit de botter en match, avec la réserve, et ça a bien marché. » C’était il y a quinze ans déjà, et Michaël de continuer à s’entraîner à taper à chaque entraînement. Et voilà comment notre talon s’est installé dans son rôle de serial-buteur, qu’il occupait avec le RC L’Isle-Adam, et plus que jamais en régionale 3, avec la nouvelle équipe du Rugby Club Portes de l’Oise (Ligue Hauts de France), « parfois avec réussite, parfois moins » sourit humblement l’intéressé.
Un talon buteur n°1 donc, proche de la retraite sportive selon les rumeurs, mais qui va faire rêver bon nombre de ses « congénères » gratteurs de ballons et/ou lanceurs de pizzas.
Il a commencé à jouer au rugby dès l’âge de 6 ans, et a toujours joué pilier, ou talonneur. Devenu adulte, mais toujours au format première ligne, il s’est fixé au poste de talon, bien qu’il porte le numéro 1 (une vague histoire de maillot rétrécissant paraît-il). Michael Durchon n’a peut-être pas le physique d’un Thomas Ramos ou d’un Daniel Carter, il n’empêche qu’il en a les qualités de buteur…
A quoi tient la destinée d’un joueur ? A un concours parfois : « Mon équipe organisait un concours de pénalités, que j’ai gagné. J’ai donc eu droit de botter en match, avec la réserve, et ça a bien marché. » C’était il y a quinze ans déjà, et Michaël de continuer à s’entraîner à taper à chaque entraînement. Et voilà comment notre talon s’est installé dans son rôle de serial-buteur, qu’il occupait avec le RC L’Isle-Adam, et plus que jamais en régionale 3, avec la nouvelle équipe du Rugby Club Portes de l’Oise (Ligue Hauts de France), « parfois avec réussite, parfois moins » sourit humblement l’intéressé.
Un talon buteur n°1 donc, proche de la retraite sportive selon les rumeurs, mais qui va faire rêver bon nombre de ses « congénères » gratteurs de ballons et/ou lanceurs de pizzas.
Il a commencé à jouer au rugby dès l’âge de 6 ans, et a toujours joué pilier, ou talonneur. Devenu adulte, mais toujours au format première ligne, il s’est fixé au poste de talon, bien qu’il porte le numéro 1 (une vague histoire de maillot rétrécissant paraît-il). Michael Durchon n’a peut-être pas le physique d’un Thomas Ramos ou d’un Daniel Carter, il n’empêche qu’il en a les qualités de buteur…
A quoi tient la destinée d’un joueur ? A un concours parfois : « Mon équipe organisait un concours de pénalités, que j’ai gagné. J’ai donc eu droit de botter en match, avec la réserve, et ça a bien marché. » C’était il y a quinze ans déjà, et Michaël de continuer à s’entraîner à taper à chaque entraînement. Et voilà comment notre talon s’est installé dans son rôle de serial-buteur, qu’il occupait avec le RC L’Isle-Adam, et plus que jamais en régionale 3, avec la nouvelle équipe du Rugby Club Portes de l’Oise (Ligue Hauts de France), « parfois avec réussite, parfois moins » sourit humblement l’intéressé.
Un talon buteur n°1 donc, proche de la retraite sportive selon les rumeurs, mais qui va faire rêver bon nombre de ses « congénères » gratteurs de ballons et/ou lanceurs de pizzas.
Il a commencé à jouer au rugby dès l’âge de 6 ans, et a toujours joué pilier, ou talonneur. Devenu adulte, mais toujours au format première ligne, il s’est fixé au poste de talon, bien qu’il porte le numéro 1 (une vague histoire de maillot rétrécissant paraît-il). Michael Durchon n’a peut-être pas le physique d’un Thomas Ramos ou d’un Daniel Carter, il n’empêche qu’il en a les qualités de buteur…
A quoi tient la destinée d’un joueur ? A un concours parfois : « Mon équipe organisait un concours de pénalités, que j’ai gagné. J’ai donc eu droit de botter en match, avec la réserve, et ça a bien marché. » C’était il y a quinze ans déjà, et Michaël de continuer à s’entraîner à taper à chaque entraînement. Et voilà comment notre talon s’est installé dans son rôle de serial-buteur, qu’il occupait avec le RC L’Isle-Adam, et plus que jamais en régionale 3, avec la nouvelle équipe du Rugby Club Portes de l’Oise (Ligue Hauts de France), « parfois avec réussite, parfois moins » sourit humblement l’intéressé.
Un talon buteur n°1 donc, proche de la retraite sportive selon les rumeurs, mais qui va faire rêver bon nombre de ses « congénères » gratteurs de ballons et/ou lanceurs de pizzas.