Depuis le début de saison, une malédiction frappe certains joueurs de rugby amateur. Un rétrécissement des maillots les toucherait en effet, mais seulement les première lignes. Désireux de combattre ce mal profond, ces derniers trouvent des stratagèmes pour reprendre le dessus sur ce textile ennemi, moulant, trop moulant…
Nous avons diffusé ces derniers mois des photos provenant de vestiaires, qui montrent comment, désespérés, les « gros » font preuve d’ingéniosité pour élargir et distendre les fibres de ces maillots dits de nouvelle génération, élastiques mais un peu trop cintrés a priori. Porte manteaux, chaises, boucliers d’entraînements, et même poubelles sont réquisitionnés pour permettre aux plus solides piliers et/ou talonneurs, de ne pas être en apnée dès les premières minutes.
A l’image de Kévin, le talon du Toulouse Lalande Aucamville (PH), reconnu pour bien se tenir à table, et surnommé « le Kube », tout un programme.
Aussi, quand il s’agit d’enfiler le maillot 2018 du TLA, notre cube a un peu de mal à passer les épaules, et le reste. La technique de la poubelle était choisie dans l’espoir de changer la donne.
Las, dès les premiers instants de la partie, Kévin sentait bien qu’il ne la finirait pas avec ce maillot qui le saucissonnait quelque peu. Alors on est allé chercher un autre maillot, plus grand, qui date de plusieurs saisons en arrière, pour permettre au talonneur de pouvoir courir plus confortablement, et mieux respirer en même temps, accessoirement.
N’étant pas le seul dans ce cas, doit-on penser que les nouveaux maillots sont trop moulants, ou à l’inverse, doit-on considérer que la morphologie des rugbymen amateur s’adapte mal à ces nouveaux tissus ? Ce débat XXL est posé…
Depuis le début de saison, une malédiction frappe certains joueurs de rugby amateur. Un rétrécissement des maillots les toucherait en effet, mais seulement les première lignes. Désireux de combattre ce mal profond, ces derniers trouvent des stratagèmes pour reprendre le dessus sur ce textile ennemi, moulant, trop moulant…
Nous avons diffusé ces derniers mois des photos provenant de vestiaires, qui montrent comment, désespérés, les « gros » font preuve d’ingéniosité pour élargir et distendre les fibres de ces maillots dits de nouvelle génération, élastiques mais un peu trop cintrés a priori. Porte manteaux, chaises, boucliers d’entraînements, et même poubelles sont réquisitionnés pour permettre aux plus solides piliers et/ou talonneurs, de ne pas être en apnée dès les premières minutes.
A l’image de Kévin, le talon du Toulouse Lalande Aucamville (PH), reconnu pour bien se tenir à table, et surnommé « le Kube », tout un programme.
Aussi, quand il s’agit d’enfiler le maillot 2018 du TLA, notre cube a un peu de mal à passer les épaules, et le reste. La technique de la poubelle était choisie dans l’espoir de changer la donne.
Las, dès les premiers instants de la partie, Kévin sentait bien qu’il ne la finirait pas avec ce maillot qui le saucissonnait quelque peu. Alors on est allé chercher un autre maillot, plus grand, qui date de plusieurs saisons en arrière, pour permettre au talonneur de pouvoir courir plus confortablement, et mieux respirer en même temps, accessoirement.
N’étant pas le seul dans ce cas, doit-on penser que les nouveaux maillots sont trop moulants, ou à l’inverse, doit-on considérer que la morphologie des rugbymen amateur s’adapte mal à ces nouveaux tissus ? Ce débat XXL est posé…
Mais pour ma défense quand je joue en 1 le maillot est disponible en XXXL alors que en b c’est du L où du XXL mais bon comme l’ont dit de grand joueur : »Je ne suis pas gros , je joue devant » ^^
Personne n’est gros dans le rugby Kévin 🙂
Je vous remercie pour l’affiche !