Les caprices de la météo étant en mode longue durée cet hiver, il a fallu pour certains, trouver des solutions afin d’éviter le match perdu ou la péréquation. Alors quand le club de Briançon (3ème série du Comité des Alpes) s’est mis en quête de trouver un autre terrain que le sien (enneigé), les dirigeants en ont trouvé un autre. Loin, très loin même, de chez eux. A 194 km exactement, à Vaulnaveys exactement. Début d’un périple qui restera dans les mémoires…
« C’était le plus long déplacement de la saison à domicile du coup » souriait un dirigeant briançonnais. Deux heures de bus…normalement. Sauf que le trajet s’est transformé en expédition dantesque, à cause d’une météo qui ne l’était pas moins, et décidément revancharde. Froid, pluie, neige, le mini-bus en voyait de toutes les couleurs.
Ce qui n’altérait pas la motivation des joueurs. « Pas même ce détour par le tunnel de Fréjus car le col du Lautaret a été fermé… juste devant nous » avouait Loïc Pons, dirigeant de l’équipe. Au lieu des deux heures prévues, les joueurs ont passé le double de temps dans le bus. Alors pour ne pas être en retard lors du coup d’envoi, se préparaient entre les fauteuils du véhicule. Oui, mais voilà, ils avaient bravé le froid et la neige, étaient descendus de leur montagne, mais allaient tomber de haut quand même. Leur adversaire, Massieu, les prévenait en effet de leur forfait à la dernière minute, une fois arrivés sur place. Pas très rugby, pas très fair-play. Dommage aussi, car le beau temps était au rendez-vous sur Vaulnaveys.
Briançon s’est certes vu attribué les 5 points de la victoire bonifiée, mais n’oubliera pas de sitôt ce déplacement « inutile ». Mais qu’on se le dise, ce n’était pas un voyage à vide, puisque les joueurs et le staff ont sorti un buffet campagnard à base de chips et de bières, avant de reprendre le chemin du retour.
Une histoire de rugby amateur, une parmi tant d’autres, qui méritait d’être relatée pour saluer le bon esprit de Briançon, en course pour la qualification aux phases finales dans le Comité des Alpes.
Les caprices de la météo étant en mode longue durée cet hiver, il a fallu pour certains, trouver des solutions afin d’éviter le match perdu ou la péréquation. Alors quand le club de Briançon (3ème série du Comité des Alpes) s’est mis en quête de trouver un autre terrain que le sien (enneigé), les dirigeants en ont trouvé un autre. Loin, très loin même, de chez eux. A 194 km exactement, à Vaulnaveys exactement. Début d’un périple qui restera dans les mémoires…
« C’était le plus long déplacement de la saison à domicile du coup » souriait un dirigeant briançonnais. Deux heures de bus…normalement. Sauf que le trajet s’est transformé en expédition dantesque, à cause d’une météo qui ne l’était pas moins, et décidément revancharde. Froid, pluie, neige, le mini-bus en voyait de toutes les couleurs.
Ce qui n’altérait pas la motivation des joueurs. « Pas même ce détour par le tunnel de Fréjus car le col du Lautaret a été fermé… juste devant nous » avouait Loïc Pons, dirigeant de l’équipe. Au lieu des deux heures prévues, les joueurs ont passé le double de temps dans le bus. Alors pour ne pas être en retard lors du coup d’envoi, se préparaient entre les fauteuils du véhicule. Oui, mais voilà, ils avaient bravé le froid et la neige, étaient descendus de leur montagne, mais allaient tomber de haut quand même. Leur adversaire, Massieu, les prévenait en effet de leur forfait à la dernière minute, une fois arrivés sur place. Pas très rugby, pas très fair-play. Dommage aussi, car le beau temps était au rendez-vous sur Vaulnaveys.
Briançon s’est certes vu attribué les 5 points de la victoire bonifiée, mais n’oubliera pas de sitôt ce déplacement « inutile ». Mais qu’on se le dise, ce n’était pas un voyage à vide, puisque les joueurs et le staff ont sorti un buffet campagnard à base de chips et de bières, avant de reprendre le chemin du retour.
Une histoire de rugby amateur, une parmi tant d’autres, qui méritait d’être relatée pour saluer le bon esprit de Briançon, en course pour la qualification aux phases finales dans le Comité des Alpes.