Chalampé, petite commune de la région mulhousienne de 955 habitants, est fière d’avoir retrouvé une équipe de rugby après trois années d’absence. Autant dire que la réception de l’équipe 3 du CR Illkirch-Graffenstaden, était l’occasion de fêter le ballon ovale. La fête s’est arrêtée plus tôt que prévue…
Les visiteurs, en plus du vent naturel qui soufflait en rafales, en rajoutaient une couche en inscrivant un essai d’entrée, et menaient 0-12 au bout de six minutes de jeu. Quand soudain, un boum. Pas de joueurs qui venaient de franchir le mur du son, mais bien les poteaux du côté gauche du terrain qui venaient de s’écrouler. Fort heureusement, le jeu se passait à droite à ce moment-là. « Il y a 45 ans, les joueurs devaient monter les poteaux dans les fourreaux qui se trouvaient dans un pré. Mais un poteau tombé en plein match, je n’ai jamais vu ça. Il y avait des rafales de vent certes, mais le poteau était comme coupé à sa base en alu », a déclaré dans l’Alsace, Guy Meyer le président du club. Même étonnement pour Daniel Wolfarth, président de la Commission des enceintes sportives de la Ligue Grand Est, qui rajoutait : « Je n’ai jamais connu ca. Toutes les dimensions sont contrôlées, mais pas la profondeur ou de la résistance des matériaux. Et l’exemple de ce dimanche est valable autant pour le foot que le basket ou le volley. C’est du ressort de la construction et de la collectivité ». Selon nos informations recueillies auprès d’un dirigeant du club, un poteau aurait été abimé à sa base au moment de la tonte de la pelouse, le vent dimanche aurait achevé le travail.
Toujours est-il qu’à défaut de pouvoir continuer le match le plus court de la saison (record à battre), les acteurs ont tout de même décidé de faire une opposition de l’autre côté du terrain, dans les 22, tout en gardant bien sûr un oeil sur les autres poteaux. Après l’étonnement de rigueur, la bonne ambiance et l’esprit rugby soufflaient aussi sur le pré.
Chalampé, petite commune de la région mulhousienne de 955 habitants, est fière d’avoir retrouvé une équipe de rugby après trois années d’absence. Autant dire que la réception de l’équipe 3 du CR Illkirch-Graffenstaden, était l’occasion de fêter le ballon ovale. La fête s’est arrêtée plus tôt que prévue…
Les visiteurs, en plus du vent naturel qui soufflait en rafales, en rajoutaient une couche en inscrivant un essai d’entrée, et menaient 0-12 au bout de six minutes de jeu. Quand soudain, un boum. Pas de joueurs qui venaient de franchir le mur du son, mais bien les poteaux du côté gauche du terrain qui venaient de s’écrouler. Fort heureusement, le jeu se passait à droite à ce moment-là. « Il y a 45 ans, les joueurs devaient monter les poteaux dans les fourreaux qui se trouvaient dans un pré. Mais un poteau tombé en plein match, je n’ai jamais vu ça. Il y avait des rafales de vent certes, mais le poteau était comme coupé à sa base en alu », a déclaré dans l’Alsace, Guy Meyer le président du club. Même étonnement pour Daniel Wolfarth, président de la Commission des enceintes sportives de la Ligue Grand Est, qui rajoutait : « Je n’ai jamais connu ca. Toutes les dimensions sont contrôlées, mais pas la profondeur ou de la résistance des matériaux. Et l’exemple de ce dimanche est valable autant pour le foot que le basket ou le volley. C’est du ressort de la construction et de la collectivité ». Selon nos informations recueillies auprès d’un dirigeant du club, un poteau aurait été abimé à sa base au moment de la tonte de la pelouse, le vent dimanche aurait achevé le travail.
Toujours est-il qu’à défaut de pouvoir continuer le match le plus court de la saison (record à battre), les acteurs ont tout de même décidé de faire une opposition de l’autre côté du terrain, dans les 22, tout en gardant bien sûr un oeil sur les autres poteaux. Après l’étonnement de rigueur, la bonne ambiance et l’esprit rugby soufflaient aussi sur le pré.
Chalampé, petite commune de la région mulhousienne de 955 habitants, est fière d’avoir retrouvé une équipe de rugby après trois années d’absence. Autant dire que la réception de l’équipe 3 du CR Illkirch-Graffenstaden, était l’occasion de fêter le ballon ovale. La fête s’est arrêtée plus tôt que prévue…
Les visiteurs, en plus du vent naturel qui soufflait en rafales, en rajoutaient une couche en inscrivant un essai d’entrée, et menaient 0-12 au bout de six minutes de jeu. Quand soudain, un boum. Pas de joueurs qui venaient de franchir le mur du son, mais bien les poteaux du côté gauche du terrain qui venaient de s’écrouler. Fort heureusement, le jeu se passait à droite à ce moment-là. « Il y a 45 ans, les joueurs devaient monter les poteaux dans les fourreaux qui se trouvaient dans un pré. Mais un poteau tombé en plein match, je n’ai jamais vu ça. Il y avait des rafales de vent certes, mais le poteau était comme coupé à sa base en alu », a déclaré dans l’Alsace, Guy Meyer le président du club. Même étonnement pour Daniel Wolfarth, président de la Commission des enceintes sportives de la Ligue Grand Est, qui rajoutait : « Je n’ai jamais connu ca. Toutes les dimensions sont contrôlées, mais pas la profondeur ou de la résistance des matériaux. Et l’exemple de ce dimanche est valable autant pour le foot que le basket ou le volley. C’est du ressort de la construction et de la collectivité ». Selon nos informations recueillies auprès d’un dirigeant du club, un poteau aurait été abimé à sa base au moment de la tonte de la pelouse, le vent dimanche aurait achevé le travail.
Toujours est-il qu’à défaut de pouvoir continuer le match le plus court de la saison (record à battre), les acteurs ont tout de même décidé de faire une opposition de l’autre côté du terrain, dans les 22, tout en gardant bien sûr un oeil sur les autres poteaux. Après l’étonnement de rigueur, la bonne ambiance et l’esprit rugby soufflaient aussi sur le pré.
Chalampé, petite commune de la région mulhousienne de 955 habitants, est fière d’avoir retrouvé une équipe de rugby après trois années d’absence. Autant dire que la réception de l’équipe 3 du CR Illkirch-Graffenstaden, était l’occasion de fêter le ballon ovale. La fête s’est arrêtée plus tôt que prévue…
Les visiteurs, en plus du vent naturel qui soufflait en rafales, en rajoutaient une couche en inscrivant un essai d’entrée, et menaient 0-12 au bout de six minutes de jeu. Quand soudain, un boum. Pas de joueurs qui venaient de franchir le mur du son, mais bien les poteaux du côté gauche du terrain qui venaient de s’écrouler. Fort heureusement, le jeu se passait à droite à ce moment-là. « Il y a 45 ans, les joueurs devaient monter les poteaux dans les fourreaux qui se trouvaient dans un pré. Mais un poteau tombé en plein match, je n’ai jamais vu ça. Il y avait des rafales de vent certes, mais le poteau était comme coupé à sa base en alu », a déclaré dans l’Alsace, Guy Meyer le président du club. Même étonnement pour Daniel Wolfarth, président de la Commission des enceintes sportives de la Ligue Grand Est, qui rajoutait : « Je n’ai jamais connu ca. Toutes les dimensions sont contrôlées, mais pas la profondeur ou de la résistance des matériaux. Et l’exemple de ce dimanche est valable autant pour le foot que le basket ou le volley. C’est du ressort de la construction et de la collectivité ». Selon nos informations recueillies auprès d’un dirigeant du club, un poteau aurait été abimé à sa base au moment de la tonte de la pelouse, le vent dimanche aurait achevé le travail.
Toujours est-il qu’à défaut de pouvoir continuer le match le plus court de la saison (record à battre), les acteurs ont tout de même décidé de faire une opposition de l’autre côté du terrain, dans les 22, tout en gardant bien sûr un oeil sur les autres poteaux. Après l’étonnement de rigueur, la bonne ambiance et l’esprit rugby soufflaient aussi sur le pré.