Pour son avant dernier match de la saison en régionale 2, l’équipe de Pougues la Charité (ASPC) se déplaçait à Toucy. Rendez-vous était donné à tout le monde à 10h dimanche matin. Mais un appel va bouleverser le départ…
En effet, Tom, coach de l’ASPC reçoit un appel de son troisième ligne centre une heure avant le départ, qui lui annonce qu’il s’est blessé. Comment se blesser durant la nuit qui précède un match se demande alors l’entraîneur. Lors de ses retrouvailles avec sa chère et tendre, partie pendant une semaine en vacances, le gaillard a visiblement fait comme sur le pré, il a tout donné. Mais durant l’acte, Julien s’est blessé à l’entre jambes.
Mais l’insolite maffré n’est pas du genre à baisser pavillon si facilement, et il est venu malgré cette blessure assez gênante. A défaut d’une coquille, il a joué avec une protection très artisanale, à base de compresses et de chaussette. Ses coéquipiers, reconnaissants de cet effort, ont décidé, eux aussi, de ne pas mettre le… frein sur leurs pénétrations.
Son coach ne cachait pas son admiration pour son joueur, décidément autant guerrier sur le terrain, qu’en dehors. Une admiration sûrement partagée par la compagne de Julien, présente également derrière la… main courante, et qui a pu échanger sur le sujet. Selon nos informations, recueillies par le coach Tom lui-même, madame confirmait bien la nature de la blessure, mais ne partageait pas tout à fait l’intensité de l’action.
Une « enquêquette » serait ouverte pour donner raison à l’une ou l’autre des… parties concernées. D’ici là, Julien, pour ses ébats, devra mettre le frein… à mains. Et la lanterne rouge de la poule (et ce n’est pas une métaphore), après une nouvelle défaite 40 à 7, de se projeter sur la saison prochaine, avec un message clair : tout donner pour prendre les intervalles !
Pour son avant dernier match de la saison en régionale 2, l’équipe de Pougues la Charité (ASPC) se déplaçait à Toucy. Rendez-vous était donné à tout le monde à 10h dimanche matin. Mais un appel va bouleverser le départ…
En effet, Tom, coach de l’ASPC reçoit un appel de son troisième ligne centre une heure avant le départ, qui lui annonce qu’il s’est blessé. Comment se blesser durant la nuit qui précède un match se demande alors l’entraîneur. Lors de ses retrouvailles avec sa chère et tendre, partie pendant une semaine en vacances, le gaillard a visiblement fait comme sur le pré, il a tout donné. Mais durant l’acte, Julien s’est blessé à l’entre jambes.
Mais l’insolite maffré n’est pas du genre à baisser pavillon si facilement, et il est venu malgré cette blessure assez gênante. A défaut d’une coquille, il a joué avec une protection très artisanale, à base de compresses et de chaussette. Ses coéquipiers, reconnaissants de cet effort, ont décidé, eux aussi, de ne pas mettre le… frein sur leurs pénétrations.
Son coach ne cachait pas son admiration pour son joueur, décidément autant guerrier sur le terrain, qu’en dehors. Une admiration sûrement partagée par la compagne de Julien, présente également derrière la… main courante, et qui a pu échanger sur le sujet. Selon nos informations, recueillies par le coach Tom lui-même, madame confirmait bien la nature de la blessure, mais ne partageait pas tout à fait l’intensité de l’action.
Une « enquêquette » serait ouverte pour donner raison à l’une ou l’autre des… parties concernées. D’ici là, Julien, pour ses ébats, devra mettre le frein… à mains. Et la lanterne rouge de la poule (et ce n’est pas une métaphore), après une nouvelle défaite 40 à 7, de se projeter sur la saison prochaine, avec un message clair : tout donner pour prendre les intervalles !
Pour son avant dernier match de la saison en régionale 2, l’équipe de Pougues la Charité (ASPC) se déplaçait à Toucy. Rendez-vous était donné à tout le monde à 10h dimanche matin. Mais un appel va bouleverser le départ…
En effet, Tom, coach de l’ASPC reçoit un appel de son troisième ligne centre une heure avant le départ, qui lui annonce qu’il s’est blessé. Comment se blesser durant la nuit qui précède un match se demande alors l’entraîneur. Lors de ses retrouvailles avec sa chère et tendre, partie pendant une semaine en vacances, le gaillard a visiblement fait comme sur le pré, il a tout donné. Mais durant l’acte, Julien s’est blessé à l’entre jambes.
Mais l’insolite maffré n’est pas du genre à baisser pavillon si facilement, et il est venu malgré cette blessure assez gênante. A défaut d’une coquille, il a joué avec une protection très artisanale, à base de compresses et de chaussette. Ses coéquipiers, reconnaissants de cet effort, ont décidé, eux aussi, de ne pas mettre le… frein sur leurs pénétrations.
Son coach ne cachait pas son admiration pour son joueur, décidément autant guerrier sur le terrain, qu’en dehors. Une admiration sûrement partagée par la compagne de Julien, présente également derrière la… main courante, et qui a pu échanger sur le sujet. Selon nos informations, recueillies par le coach Tom lui-même, madame confirmait bien la nature de la blessure, mais ne partageait pas tout à fait l’intensité de l’action.
Une « enquêquette » serait ouverte pour donner raison à l’une ou l’autre des… parties concernées. D’ici là, Julien, pour ses ébats, devra mettre le frein… à mains. Et la lanterne rouge de la poule (et ce n’est pas une métaphore), après une nouvelle défaite 40 à 7, de se projeter sur la saison prochaine, avec un message clair : tout donner pour prendre les intervalles !
Pour son avant dernier match de la saison en régionale 2, l’équipe de Pougues la Charité (ASPC) se déplaçait à Toucy. Rendez-vous était donné à tout le monde à 10h dimanche matin. Mais un appel va bouleverser le départ…
En effet, Tom, coach de l’ASPC reçoit un appel de son troisième ligne centre une heure avant le départ, qui lui annonce qu’il s’est blessé. Comment se blesser durant la nuit qui précède un match se demande alors l’entraîneur. Lors de ses retrouvailles avec sa chère et tendre, partie pendant une semaine en vacances, le gaillard a visiblement fait comme sur le pré, il a tout donné. Mais durant l’acte, Julien s’est blessé à l’entre jambes.
Mais l’insolite maffré n’est pas du genre à baisser pavillon si facilement, et il est venu malgré cette blessure assez gênante. A défaut d’une coquille, il a joué avec une protection très artisanale, à base de compresses et de chaussette. Ses coéquipiers, reconnaissants de cet effort, ont décidé, eux aussi, de ne pas mettre le… frein sur leurs pénétrations.
Son coach ne cachait pas son admiration pour son joueur, décidément autant guerrier sur le terrain, qu’en dehors. Une admiration sûrement partagée par la compagne de Julien, présente également derrière la… main courante, et qui a pu échanger sur le sujet. Selon nos informations, recueillies par le coach Tom lui-même, madame confirmait bien la nature de la blessure, mais ne partageait pas tout à fait l’intensité de l’action.
Une « enquêquette » serait ouverte pour donner raison à l’une ou l’autre des… parties concernées. D’ici là, Julien, pour ses ébats, devra mettre le frein… à mains. Et la lanterne rouge de la poule (et ce n’est pas une métaphore), après une nouvelle défaite 40 à 7, de se projeter sur la saison prochaine, avec un message clair : tout donner pour prendre les intervalles !