L’US Valréas (Régionale 1 Ligue Sud) n’en finit pas de vivre des émotions fortes cette saison. Souvenons-nous notamment de Paul, victime d’une double fracture tibia-péroné alors que le demi de mêlée remplaçant officiait comme arbitre de touche. Si Paulo a mangé chaud pendant dimanche noir pour lui, son équipe elle, n’a pas eu ce loisir ce dimanche. En effet, pour leur déplacement à Antibes, les dirigeants de l’USV avaient réservé un restaurant, comme il est de coutume de le faire en déplacement, les jours de match. Ici, il s’agissait du flunch d’Antibes. Mais tout ne s’est pas passé comme prévu…
Le bus se gare, les joueurs et les dirigeants du Vaucluse descendent, entrent dans le restaurant et là, surprise : « Ah non non, nous n’avons pas de réservation pour 55 personnes ! » Chacun sait que pour sa survie, l’homme est capable de se sublimer. C’est pourquoi, l’estomac vide, mais le cerveau plein, l’idée est venue naturellement et rapidement d’aller faire des courses au supermarché du coin.
Pas de courses croisées au Carrefour donc, mais des courses rectilignes, avec un caddie plein. Au menu : beaucoup de pain, du jambon (mais sans beurre), du rôti sous vide (mais sans mayonnaise), du fromage à pâte dure (prédécoupé), du camembert (à découper, avec un couteau, en bois), des pomme-pote (à boire) des granny (aux noisettes, pas les smith), quelques mandarines et des bananes pour les plus gourmands.
Un repas improvisé, mangé sur le pouce, mais équilibré visiblement puisque les deux équipes de Valréas se sont imposées. Après enquête, le président valréassien, dont nous tairons le nom (bravo Thierry) !, avait bien réservé le Flunch… mais de Nice !
L’US Valréas (Régionale 1 Ligue Sud) n’en finit pas de vivre des émotions fortes cette saison. Souvenons-nous notamment de Paul, victime d’une double fracture tibia-péroné alors que le demi de mêlée remplaçant officiait comme arbitre de touche. Si Paulo a mangé chaud pendant dimanche noir pour lui, son équipe elle, n’a pas eu ce loisir ce dimanche. En effet, pour leur déplacement à Antibes, les dirigeants de l’USV avaient réservé un restaurant, comme il est de coutume de le faire en déplacement, les jours de match. Ici, il s’agissait du flunch d’Antibes. Mais tout ne s’est pas passé comme prévu…
Le bus se gare, les joueurs et les dirigeants du Vaucluse descendent, entrent dans le restaurant et là, surprise : « Ah non non, nous n’avons pas de réservation pour 55 personnes ! » Chacun sait que pour sa survie, l’homme est capable de se sublimer. C’est pourquoi, l’estomac vide, mais le cerveau plein, l’idée est venue naturellement et rapidement d’aller faire des courses au supermarché du coin.
Pas de courses croisées au Carrefour donc, mais des courses rectilignes, avec un caddie plein. Au menu : beaucoup de pain, du jambon (mais sans beurre), du rôti sous vide (mais sans mayonnaise), du fromage à pâte dure (prédécoupé), du camembert (à découper, avec un couteau, en bois), des pomme-pote (à boire) des granny (aux noisettes, pas les smith), quelques mandarines et des bananes pour les plus gourmands.
Un repas improvisé, mangé sur le pouce, mais équilibré visiblement puisque les deux équipes de Valréas se sont imposées. Après enquête, le président valréassien, dont nous tairons le nom (bravo Thierry) !, avait bien réservé le Flunch… mais de Nice !