Lavelanet, club historique du rugby français, a failli ne pas s’aligner au départ de la nouvelle saison par manque d’effectif. Le noyau dur composé des joueurs et des entraîneurs a néanmoins permis d’éviter le pire. Mais pas un début de championnat catastrophique : défaite 52-12 à l’Aviron Castrais, 3-39 contre Montech pour le premier match à la maison, 36-20 à Foix, 9-29 face au TEC, et même un 70-18 à Saint-Jory, le 31 octobre dernier. La venue de Villeneuve Paréage, autre club ariégeois, lanterne rouge vif et en très grande difficulté, a permis d’ouvrir le compteur victoire, mais péniblement (24-19). Personne n’était dupe et savait que ce succès étriqué et électrique n’avait pas une réelle signification. En revanche, le déplacement au TUC allait permettre de jauger le groupe. La très lourde défaite en terre toulousaine a ressemblé à une énorme gifle : 86-17 ! Celle de trop pour le groupe jaune et noir. Et encore plus pour son capitaine…
Kevin Despiaux a voulu resserré les rangs autour de lui : « Après les 80 points pris au TUC, il restait deux matchs à jouer. Contre Portet, en difficulté comme nous, et l’Aviron Castrais, le leader. J’ai alors dit que je me raserai la tête si on gagnait les deux derniers matchs. » Le match contre Portet a été dur, mais les Jaune et Noir l’ont emporté 18-13. Un deuxième succès qui avait plus de sens, et permettait de dépasser l’adversaire du jour au classement. Loin d’être une formalité donc, mais l’espoir d’une victoire était légitime. En revanche, pour la venue du leader castrais, l’espoir de prendre quatre points était minime. « Je m’étais dit que gagner un match sur deux, ce serait déjà bien. Le groupe progresse, mais de là à battre le premier de poule, c’était compliqué de l’envisager complètement » souligne Kévin. Le capitaine a néanmoins montré la voie, avec sa détermination habituelle. Il a emmené dans son sillage tout un groupe bien décidé à terminer cette année 2021 sur une bonne note.
Après 80 minutes d’un combat acharné, notamment devant, les Lavelanétiens avaient inscrit trois essais, et n’avaient cédé qu’à une seule reprise. Une victoire 26-16, aussi inattendue que méritée. Kevin Despiaux appréciait à sa juste valeur : « On travaille dur, dans l’ombre, c’est la victoire de tout un groupe, avec les entraîneurs ». Un groupe qui n’avait pas oublié le pari lancé par leur capitaine, qui s’est soumis de bonne grâce à se faire raser le crâne : « J’ai assumé oui (rires), car c’est une très belle victoire de copains en plus. » Le Stade Lavelanétien n’est pas mort, qu’on se le dise, mais les difficultés rencontrées cette année sont de nature à relancer le débat d’une entente avec le voisin de Laroque-Belesta, dernier de sa poule en Honneur. Sur ce point-là également, Captain Kévin a un avis bien tranché : « Laroque est dernier, nous avant-derniers, il faut ouvrir les yeux, et arrêter ces guéguerres qui n’ont plus lieu d’être. » Et oui, le nouveau crâne rasé, a perdu ses cheveux, mais pas son franc parlé et ses discours qui… décoiffent !
Lavelanet, club historique du rugby français, a failli ne pas s’aligner au départ de la nouvelle saison par manque d’effectif. Le noyau dur composé des joueurs et des entraîneurs a néanmoins permis d’éviter le pire. Mais pas un début de championnat catastrophique : défaite 52-12 à l’Aviron Castrais, 3-39 contre Montech pour le premier match à la maison, 36-20 à Foix, 9-29 face au TEC, et même un 70-18 à Saint-Jory, le 31 octobre dernier. La venue de Villeneuve Paréage, autre club ariégeois, lanterne rouge vif et en très grande difficulté, a permis d’ouvrir le compteur victoire, mais péniblement (24-19). Personne n’était dupe et savait que ce succès étriqué et électrique n’avait pas une réelle signification. En revanche, le déplacement au TUC allait permettre de jauger le groupe. La très lourde défaite en terre toulousaine a ressemblé à une énorme gifle : 86-17 ! Celle de trop pour le groupe jaune et noir. Et encore plus pour son capitaine…
Kevin Despiaux a voulu resserré les rangs autour de lui : « Après les 80 points pris au TUC, il restait deux matchs à jouer. Contre Portet, en difficulté comme nous, et l’Aviron Castrais, le leader. J’ai alors dit que je me raserai la tête si on gagnait les deux derniers matchs. » Le match contre Portet a été dur, mais les Jaune et Noir l’ont emporté 18-13. Un deuxième succès qui avait plus de sens, et permettait de dépasser l’adversaire du jour au classement. Loin d’être une formalité donc, mais l’espoir d’une victoire était légitime. En revanche, pour la venue du leader castrais, l’espoir de prendre quatre points était minime. « Je m’étais dit que gagner un match sur deux, ce serait déjà bien. Le groupe progresse, mais de là à battre le premier de poule, c’était compliqué de l’envisager complètement » souligne Kévin. Le capitaine a néanmoins montré la voie, avec sa détermination habituelle. Il a emmené dans son sillage tout un groupe bien décidé à terminer cette année 2021 sur une bonne note.
Après 80 minutes d’un combat acharné, notamment devant, les Lavelanétiens avaient inscrit trois essais, et n’avaient cédé qu’à une seule reprise. Une victoire 26-16, aussi inattendue que méritée. Kevin Despiaux appréciait à sa juste valeur : « On travaille dur, dans l’ombre, c’est la victoire de tout un groupe, avec les entraîneurs ». Un groupe qui n’avait pas oublié le pari lancé par leur capitaine, qui s’est soumis de bonne grâce à se faire raser le crâne : « J’ai assumé oui (rires), car c’est une très belle victoire de copains en plus. » Le Stade Lavelanétien n’est pas mort, qu’on se le dise, mais les difficultés rencontrées cette année sont de nature à relancer le débat d’une entente avec le voisin de Laroque-Belesta, dernier de sa poule en Honneur. Sur ce point-là également, Captain Kévin a un avis bien tranché : « Laroque est dernier, nous avant-derniers, il faut ouvrir les yeux, et arrêter ces guéguerres qui n’ont plus lieu d’être. » Et oui, le nouveau crâne rasé, a perdu ses cheveux, mais pas son franc parlé et ses discours qui… décoiffent !
Lavelanet, club historique du rugby français, a failli ne pas s’aligner au départ de la nouvelle saison par manque d’effectif. Le noyau dur composé des joueurs et des entraîneurs a néanmoins permis d’éviter le pire. Mais pas un début de championnat catastrophique : défaite 52-12 à l’Aviron Castrais, 3-39 contre Montech pour le premier match à la maison, 36-20 à Foix, 9-29 face au TEC, et même un 70-18 à Saint-Jory, le 31 octobre dernier. La venue de Villeneuve Paréage, autre club ariégeois, lanterne rouge vif et en très grande difficulté, a permis d’ouvrir le compteur victoire, mais péniblement (24-19). Personne n’était dupe et savait que ce succès étriqué et électrique n’avait pas une réelle signification. En revanche, le déplacement au TUC allait permettre de jauger le groupe. La très lourde défaite en terre toulousaine a ressemblé à une énorme gifle : 86-17 ! Celle de trop pour le groupe jaune et noir. Et encore plus pour son capitaine…
Kevin Despiaux a voulu resserré les rangs autour de lui : « Après les 80 points pris au TUC, il restait deux matchs à jouer. Contre Portet, en difficulté comme nous, et l’Aviron Castrais, le leader. J’ai alors dit que je me raserai la tête si on gagnait les deux derniers matchs. » Le match contre Portet a été dur, mais les Jaune et Noir l’ont emporté 18-13. Un deuxième succès qui avait plus de sens, et permettait de dépasser l’adversaire du jour au classement. Loin d’être une formalité donc, mais l’espoir d’une victoire était légitime. En revanche, pour la venue du leader castrais, l’espoir de prendre quatre points était minime. « Je m’étais dit que gagner un match sur deux, ce serait déjà bien. Le groupe progresse, mais de là à battre le premier de poule, c’était compliqué de l’envisager complètement » souligne Kévin. Le capitaine a néanmoins montré la voie, avec sa détermination habituelle. Il a emmené dans son sillage tout un groupe bien décidé à terminer cette année 2021 sur une bonne note.
Après 80 minutes d’un combat acharné, notamment devant, les Lavelanétiens avaient inscrit trois essais, et n’avaient cédé qu’à une seule reprise. Une victoire 26-16, aussi inattendue que méritée. Kevin Despiaux appréciait à sa juste valeur : « On travaille dur, dans l’ombre, c’est la victoire de tout un groupe, avec les entraîneurs ». Un groupe qui n’avait pas oublié le pari lancé par leur capitaine, qui s’est soumis de bonne grâce à se faire raser le crâne : « J’ai assumé oui (rires), car c’est une très belle victoire de copains en plus. » Le Stade Lavelanétien n’est pas mort, qu’on se le dise, mais les difficultés rencontrées cette année sont de nature à relancer le débat d’une entente avec le voisin de Laroque-Belesta, dernier de sa poule en Honneur. Sur ce point-là également, Captain Kévin a un avis bien tranché : « Laroque est dernier, nous avant-derniers, il faut ouvrir les yeux, et arrêter ces guéguerres qui n’ont plus lieu d’être. » Et oui, le nouveau crâne rasé, a perdu ses cheveux, mais pas son franc parlé et ses discours qui… décoiffent !
Lavelanet, club historique du rugby français, a failli ne pas s’aligner au départ de la nouvelle saison par manque d’effectif. Le noyau dur composé des joueurs et des entraîneurs a néanmoins permis d’éviter le pire. Mais pas un début de championnat catastrophique : défaite 52-12 à l’Aviron Castrais, 3-39 contre Montech pour le premier match à la maison, 36-20 à Foix, 9-29 face au TEC, et même un 70-18 à Saint-Jory, le 31 octobre dernier. La venue de Villeneuve Paréage, autre club ariégeois, lanterne rouge vif et en très grande difficulté, a permis d’ouvrir le compteur victoire, mais péniblement (24-19). Personne n’était dupe et savait que ce succès étriqué et électrique n’avait pas une réelle signification. En revanche, le déplacement au TUC allait permettre de jauger le groupe. La très lourde défaite en terre toulousaine a ressemblé à une énorme gifle : 86-17 ! Celle de trop pour le groupe jaune et noir. Et encore plus pour son capitaine…
Kevin Despiaux a voulu resserré les rangs autour de lui : « Après les 80 points pris au TUC, il restait deux matchs à jouer. Contre Portet, en difficulté comme nous, et l’Aviron Castrais, le leader. J’ai alors dit que je me raserai la tête si on gagnait les deux derniers matchs. » Le match contre Portet a été dur, mais les Jaune et Noir l’ont emporté 18-13. Un deuxième succès qui avait plus de sens, et permettait de dépasser l’adversaire du jour au classement. Loin d’être une formalité donc, mais l’espoir d’une victoire était légitime. En revanche, pour la venue du leader castrais, l’espoir de prendre quatre points était minime. « Je m’étais dit que gagner un match sur deux, ce serait déjà bien. Le groupe progresse, mais de là à battre le premier de poule, c’était compliqué de l’envisager complètement » souligne Kévin. Le capitaine a néanmoins montré la voie, avec sa détermination habituelle. Il a emmené dans son sillage tout un groupe bien décidé à terminer cette année 2021 sur une bonne note.
Après 80 minutes d’un combat acharné, notamment devant, les Lavelanétiens avaient inscrit trois essais, et n’avaient cédé qu’à une seule reprise. Une victoire 26-16, aussi inattendue que méritée. Kevin Despiaux appréciait à sa juste valeur : « On travaille dur, dans l’ombre, c’est la victoire de tout un groupe, avec les entraîneurs ». Un groupe qui n’avait pas oublié le pari lancé par leur capitaine, qui s’est soumis de bonne grâce à se faire raser le crâne : « J’ai assumé oui (rires), car c’est une très belle victoire de copains en plus. » Le Stade Lavelanétien n’est pas mort, qu’on se le dise, mais les difficultés rencontrées cette année sont de nature à relancer le débat d’une entente avec le voisin de Laroque-Belesta, dernier de sa poule en Honneur. Sur ce point-là également, Captain Kévin a un avis bien tranché : « Laroque est dernier, nous avant-derniers, il faut ouvrir les yeux, et arrêter ces guéguerres qui n’ont plus lieu d’être. » Et oui, le nouveau crâne rasé, a perdu ses cheveux, mais pas son franc parlé et ses discours qui… décoiffent !