En 2018, nous avions présenté un trio de rugbymen tarnais bien décidés à la course du Viaduc de Millau. Les trois compères n’étaient guère préparés mais suffisamment en forme pour franchir la ligne d’arrivée sans assistance respiratoire (voir article). Cette année, le défi a encore été relevé, non sans mal…
Sur le tracé de l’autoroute A75 se trouve l’un des ouvrages d’art le plus marquants du début du siècle : le Viaduc de Millau. Dessiné par Lord Norman Foster, ce pont de renommée internationale accueillait le 27 mai 2018 une course à pied : la Course Eiffage du Viaduc de Millau. Un moment d’exception entre ciel et terre, où les participants attendus pourront dérouler leur foulée, l’espace de 5 km, comme suspendus à 270m au dessus du sol et vivre une expérience rare.
Avec ses deux acolytes que sont Pierre-Edouard et Vincent, retraités d’Aussillon-Mazamet devenus coureurs à pied, Baudile, se sentait en confiance. Avec le nouveau short de son équipe, sans oublier un beau maillot aux couleurs de l’USAM, il est parti à l’assaut du fameux viaduc pour la troisième fois. Le rythme était bon, voire soutenu, puis, arrivé au pied du monstre de béton et d’acier, la grande et longue montée vers le… haut, a mis les jambes dans le rouge vif. « J’attendais le premier ravitaillement comme le repas de Noël » nous confirme le coureur-rugbyman. Sous un soleil de plomb, avec juste l’ombre des sept poteaux sur les 2.5km allée (en montée), les orteils commençaient à souffrir. Les 2.5km retour étaient plus « faciles ». Baudile en profité même pour faire une photo dédiée à son média rugby préféré : « Je remercie au passage la personne du service routier du pont, de l’avoir prise sans poser de questions (rires) ».
Le Tarnais est en jambes, mais l’estomac recommence à crier famine : « J’ai attendu le deuxième ravitaillement comme le repas du premier de l’an cette fois ! ». Notre coureur de fonds ovale en finissait par 7 derniers kilomètres en direction de Millau. Ils ont été longs, très longs, chaque enjambée était une victoire, tellement les jambes étaient en surchauffe : « J’aurais préféré jouer un match de phases finales, j’espère que l’USAM se qualifiera la saison prochaine !« . En attendant, les trois compères ont quand même touché du bois, grâce à la médaille du jour remise à tous les « finisher ».
En 2018, nous avions présenté un trio de rugbymen tarnais bien décidés à la course du Viaduc de Millau. Les trois compères n’étaient guère préparés mais suffisamment en forme pour franchir la ligne d’arrivée sans assistance respiratoire (voir article). Cette année, le défi a encore été relevé, non sans mal…
Sur le tracé de l’autoroute A75 se trouve l’un des ouvrages d’art le plus marquants du début du siècle : le Viaduc de Millau. Dessiné par Lord Norman Foster, ce pont de renommée internationale accueillait le 27 mai 2018 une course à pied : la Course Eiffage du Viaduc de Millau. Un moment d’exception entre ciel et terre, où les participants attendus pourront dérouler leur foulée, l’espace de 5 km, comme suspendus à 270m au dessus du sol et vivre une expérience rare.
Avec ses deux acolytes que sont Pierre-Edouard et Vincent, retraités d’Aussillon-Mazamet devenus coureurs à pied, Baudile, se sentait en confiance. Avec le nouveau short de son équipe, sans oublier un beau maillot aux couleurs de l’USAM, il est parti à l’assaut du fameux viaduc pour la troisième fois. Le rythme était bon, voire soutenu, puis, arrivé au pied du monstre de béton et d’acier, la grande et longue montée vers le… haut, a mis les jambes dans le rouge vif. « J’attendais le premier ravitaillement comme le repas de Noël » nous confirme le coureur-rugbyman. Sous un soleil de plomb, avec juste l’ombre des sept poteaux sur les 2.5km allée (en montée), les orteils commençaient à souffrir. Les 2.5km retour étaient plus « faciles ». Baudile en profité même pour faire une photo dédiée à son média rugby préféré : « Je remercie au passage la personne du service routier du pont, de l’avoir prise sans poser de questions (rires) ».
Le Tarnais est en jambes, mais l’estomac recommence à crier famine : « J’ai attendu le deuxième ravitaillement comme le repas du premier de l’an cette fois ! ». Notre coureur de fonds ovale en finissait par 7 derniers kilomètres en direction de Millau. Ils ont été longs, très longs, chaque enjambée était une victoire, tellement les jambes étaient en surchauffe : « J’aurais préféré jouer un match de phases finales, j’espère que l’USAM se qualifiera la saison prochaine !« . En attendant, les trois compères ont quand même touché du bois, grâce à la médaille du jour remise à tous les « finisher ».
En 2018, nous avions présenté un trio de rugbymen tarnais bien décidés à la course du Viaduc de Millau. Les trois compères n’étaient guère préparés mais suffisamment en forme pour franchir la ligne d’arrivée sans assistance respiratoire (voir article). Cette année, le défi a encore été relevé, non sans mal…
Sur le tracé de l’autoroute A75 se trouve l’un des ouvrages d’art le plus marquants du début du siècle : le Viaduc de Millau. Dessiné par Lord Norman Foster, ce pont de renommée internationale accueillait le 27 mai 2018 une course à pied : la Course Eiffage du Viaduc de Millau. Un moment d’exception entre ciel et terre, où les participants attendus pourront dérouler leur foulée, l’espace de 5 km, comme suspendus à 270m au dessus du sol et vivre une expérience rare.
Avec ses deux acolytes que sont Pierre-Edouard et Vincent, retraités d’Aussillon-Mazamet devenus coureurs à pied, Baudile, se sentait en confiance. Avec le nouveau short de son équipe, sans oublier un beau maillot aux couleurs de l’USAM, il est parti à l’assaut du fameux viaduc pour la troisième fois. Le rythme était bon, voire soutenu, puis, arrivé au pied du monstre de béton et d’acier, la grande et longue montée vers le… haut, a mis les jambes dans le rouge vif. « J’attendais le premier ravitaillement comme le repas de Noël » nous confirme le coureur-rugbyman. Sous un soleil de plomb, avec juste l’ombre des sept poteaux sur les 2.5km allée (en montée), les orteils commençaient à souffrir. Les 2.5km retour étaient plus « faciles ». Baudile en profité même pour faire une photo dédiée à son média rugby préféré : « Je remercie au passage la personne du service routier du pont, de l’avoir prise sans poser de questions (rires) ».
Le Tarnais est en jambes, mais l’estomac recommence à crier famine : « J’ai attendu le deuxième ravitaillement comme le repas du premier de l’an cette fois ! ». Notre coureur de fonds ovale en finissait par 7 derniers kilomètres en direction de Millau. Ils ont été longs, très longs, chaque enjambée était une victoire, tellement les jambes étaient en surchauffe : « J’aurais préféré jouer un match de phases finales, j’espère que l’USAM se qualifiera la saison prochaine !« . En attendant, les trois compères ont quand même touché du bois, grâce à la médaille du jour remise à tous les « finisher ».
En 2018, nous avions présenté un trio de rugbymen tarnais bien décidés à la course du Viaduc de Millau. Les trois compères n’étaient guère préparés mais suffisamment en forme pour franchir la ligne d’arrivée sans assistance respiratoire (voir article). Cette année, le défi a encore été relevé, non sans mal…
Sur le tracé de l’autoroute A75 se trouve l’un des ouvrages d’art le plus marquants du début du siècle : le Viaduc de Millau. Dessiné par Lord Norman Foster, ce pont de renommée internationale accueillait le 27 mai 2018 une course à pied : la Course Eiffage du Viaduc de Millau. Un moment d’exception entre ciel et terre, où les participants attendus pourront dérouler leur foulée, l’espace de 5 km, comme suspendus à 270m au dessus du sol et vivre une expérience rare.
Avec ses deux acolytes que sont Pierre-Edouard et Vincent, retraités d’Aussillon-Mazamet devenus coureurs à pied, Baudile, se sentait en confiance. Avec le nouveau short de son équipe, sans oublier un beau maillot aux couleurs de l’USAM, il est parti à l’assaut du fameux viaduc pour la troisième fois. Le rythme était bon, voire soutenu, puis, arrivé au pied du monstre de béton et d’acier, la grande et longue montée vers le… haut, a mis les jambes dans le rouge vif. « J’attendais le premier ravitaillement comme le repas de Noël » nous confirme le coureur-rugbyman. Sous un soleil de plomb, avec juste l’ombre des sept poteaux sur les 2.5km allée (en montée), les orteils commençaient à souffrir. Les 2.5km retour étaient plus « faciles ». Baudile en profité même pour faire une photo dédiée à son média rugby préféré : « Je remercie au passage la personne du service routier du pont, de l’avoir prise sans poser de questions (rires) ».
Le Tarnais est en jambes, mais l’estomac recommence à crier famine : « J’ai attendu le deuxième ravitaillement comme le repas du premier de l’an cette fois ! ». Notre coureur de fonds ovale en finissait par 7 derniers kilomètres en direction de Millau. Ils ont été longs, très longs, chaque enjambée était une victoire, tellement les jambes étaient en surchauffe : « J’aurais préféré jouer un match de phases finales, j’espère que l’USAM se qualifiera la saison prochaine !« . En attendant, les trois compères ont quand même touché du bois, grâce à la médaille du jour remise à tous les « finisher ».