L’Union Rugby Club Auvézère, club de Dordogne, évolue en promotion honneur de Nouvelle Aquitaine. L’équipe Une se porte plutôt bien, et peut compter sur une équipe réserve soudée avant, pendant et après les rencontres. Des réservistes qui se transforment en supporters inconditionnels, tout en respectant quelques règles fondamentales bien sûr…
C’est qu’il n’est pas toujours simple de finir son match, prendre une douche, et suivre l’équipe Une, surtout quand on a le ventre vide. Alors, à l’URCA, la solution, c’est de se préparer à manger. Et pas n’importe comment, on parle ici de se faire de bonnes grillades. Pour cela, rien de tel que de se faire suivre un petit barbecue maison, installé au bord du terrain. Ces compagnons du casse croûte, comme ils aiment à se surnommer, ne se manquent pas la bouche, comme on dit. Côtes de porc, côtes de veau, de boeuf, magrets, et bien sûr du pâté en entrée et du bon vin rouge (avec modération… ou presque) pour faire glisser le tout. Peu de légumes verts donc, mais après tout, on peut se faire plaisir après un match non ?
Ces joueurs envoient du bois pendant 80 minutes et le coupent menu juste après. La gestion de la braise est maîtrisée semble-t-il, celle de la fumée aussi. Les supporters des deux camps ont le sourire aux lèvres, et la bave naissante sur les babines, quand l’odeur de la viande grillée leur arrive aux naseaux. Siegfried, l’un des maîtres restaurateurs sauvage de l’équipe réserve nous confiait que cette tradition serait perpétrée durablement, y compris en hiver.
Nous saluons donc une telle abnégation et souhaitons un appétit régulier chaque dimanche vers 15h à ces hommes qui confirment que la Dordogne est un département de grands châteaux, mais aussi de fins palais…
L’Union Rugby Club Auvézère, club de Dordogne, évolue en promotion honneur de Nouvelle Aquitaine. L’équipe Une se porte plutôt bien, et peut compter sur une équipe réserve soudée avant, pendant et après les rencontres. Des réservistes qui se transforment en supporters inconditionnels, tout en respectant quelques règles fondamentales bien sûr…
C’est qu’il n’est pas toujours simple de finir son match, prendre une douche, et suivre l’équipe Une, surtout quand on a le ventre vide. Alors, à l’URCA, la solution, c’est de se préparer à manger. Et pas n’importe comment, on parle ici de se faire de bonnes grillades. Pour cela, rien de tel que de se faire suivre un petit barbecue maison, installé au bord du terrain. Ces compagnons du casse croûte, comme ils aiment à se surnommer, ne se manquent pas la bouche, comme on dit. Côtes de porc, côtes de veau, de boeuf, magrets, et bien sûr du pâté en entrée et du bon vin rouge (avec modération… ou presque) pour faire glisser le tout. Peu de légumes verts donc, mais après tout, on peut se faire plaisir après un match non ?
Ces joueurs envoient du bois pendant 80 minutes et le coupent menu juste après. La gestion de la braise est maîtrisée semble-t-il, celle de la fumée aussi. Les supporters des deux camps ont le sourire aux lèvres, et la bave naissante sur les babines, quand l’odeur de la viande grillée leur arrive aux naseaux. Siegfried, l’un des maîtres restaurateurs sauvage de l’équipe réserve nous confiait que cette tradition serait perpétrée durablement, y compris en hiver.
Nous saluons donc une telle abnégation et souhaitons un appétit régulier chaque dimanche vers 15h à ces hommes qui confirment que la Dordogne est un département de grands châteaux, mais aussi de fins palais…
L’Union Rugby Club Auvézère, club de Dordogne, évolue en promotion honneur de Nouvelle Aquitaine. L’équipe Une se porte plutôt bien, et peut compter sur une équipe réserve soudée avant, pendant et après les rencontres. Des réservistes qui se transforment en supporters inconditionnels, tout en respectant quelques règles fondamentales bien sûr…
C’est qu’il n’est pas toujours simple de finir son match, prendre une douche, et suivre l’équipe Une, surtout quand on a le ventre vide. Alors, à l’URCA, la solution, c’est de se préparer à manger. Et pas n’importe comment, on parle ici de se faire de bonnes grillades. Pour cela, rien de tel que de se faire suivre un petit barbecue maison, installé au bord du terrain. Ces compagnons du casse croûte, comme ils aiment à se surnommer, ne se manquent pas la bouche, comme on dit. Côtes de porc, côtes de veau, de boeuf, magrets, et bien sûr du pâté en entrée et du bon vin rouge (avec modération… ou presque) pour faire glisser le tout. Peu de légumes verts donc, mais après tout, on peut se faire plaisir après un match non ?
Ces joueurs envoient du bois pendant 80 minutes et le coupent menu juste après. La gestion de la braise est maîtrisée semble-t-il, celle de la fumée aussi. Les supporters des deux camps ont le sourire aux lèvres, et la bave naissante sur les babines, quand l’odeur de la viande grillée leur arrive aux naseaux. Siegfried, l’un des maîtres restaurateurs sauvage de l’équipe réserve nous confiait que cette tradition serait perpétrée durablement, y compris en hiver.
Nous saluons donc une telle abnégation et souhaitons un appétit régulier chaque dimanche vers 15h à ces hommes qui confirment que la Dordogne est un département de grands châteaux, mais aussi de fins palais…
L’Union Rugby Club Auvézère, club de Dordogne, évolue en promotion honneur de Nouvelle Aquitaine. L’équipe Une se porte plutôt bien, et peut compter sur une équipe réserve soudée avant, pendant et après les rencontres. Des réservistes qui se transforment en supporters inconditionnels, tout en respectant quelques règles fondamentales bien sûr…
C’est qu’il n’est pas toujours simple de finir son match, prendre une douche, et suivre l’équipe Une, surtout quand on a le ventre vide. Alors, à l’URCA, la solution, c’est de se préparer à manger. Et pas n’importe comment, on parle ici de se faire de bonnes grillades. Pour cela, rien de tel que de se faire suivre un petit barbecue maison, installé au bord du terrain. Ces compagnons du casse croûte, comme ils aiment à se surnommer, ne se manquent pas la bouche, comme on dit. Côtes de porc, côtes de veau, de boeuf, magrets, et bien sûr du pâté en entrée et du bon vin rouge (avec modération… ou presque) pour faire glisser le tout. Peu de légumes verts donc, mais après tout, on peut se faire plaisir après un match non ?
Ces joueurs envoient du bois pendant 80 minutes et le coupent menu juste après. La gestion de la braise est maîtrisée semble-t-il, celle de la fumée aussi. Les supporters des deux camps ont le sourire aux lèvres, et la bave naissante sur les babines, quand l’odeur de la viande grillée leur arrive aux naseaux. Siegfried, l’un des maîtres restaurateurs sauvage de l’équipe réserve nous confiait que cette tradition serait perpétrée durablement, y compris en hiver.
Nous saluons donc une telle abnégation et souhaitons un appétit régulier chaque dimanche vers 15h à ces hommes qui confirment que la Dordogne est un département de grands châteaux, mais aussi de fins palais…