C’est la saison des pluies cévenoles, celles dont la météo nous parle chaque année à la même période, et qui sont plus que jamais d’actualité. A ces fortes pluies s’ajoutent parfois de violentes rafales de vent. Ce fut le cas dans la nuit de samedi à dimanche du côté d’Uzès. Dans la matinée, le RC Uzétien (Fédérale 3) a constaté qu’un poteau n’avait pas résisté aux bourrasques…
Il était 10h ce dimanche quand un agent technique a constaté qu’un des poteaux du Stade était sectionné à la base, rendant la réparation compliquée, voire impossible. Nicolas Cayre, secrétaire du club a expliqué que la sécurité des joueurs ne pouvait être garantie avec des réparations de fortune. Et sans poteaux, il ne peut y avoir de match de rugby.
Ainsi, celui de la réserve, prévu à 13h30 et celui des équipes premières, calé à 15h, ont été annulés. Et obligera l’équipe de l’US Izeaux à se rendre dans le Gard le 19 décembre prochain (date de repli probable). Sauf que les Isérois étaient déjà en route pour disputer cette deuxième journée de championnat de la poule 6. En effet, pour avaler les 230km qui séparent les deux clubs, le bus est parti d’Izeaux à 7h30. 4 heures plus tard, tout ce beau monde apprenait la mésaventure locale. Et constatait avec les dirigeants, membres de la Ligue et arbitres les dégâts. Une fois le report du match acté, les Isérois n’ont eu d’autre choix que de remonter dans le bus pour rentrer à la maison, et s’envoyer 4 heures de bus supplémentaires. Pour oublier ces 8 heures de bus « inutiles », les joueurs de l’US Izeaux ont pu disserter sur le fait que le Pont du Gard, situé à quelques encablures de là, était plus solide que ces satanés poteaux, malgré ses 2 000 ans. Ils ont aussi noyé ce passage en « coup de vent » et leur déception dans quelques verres et des chants « d’après match », qui ont permis de vivre un retour plus festif. Un long dimanche entre « potos » en quelque sorte…
D’ici là, nous souhaitons bon courage aux équipes techniques d’Uzès pour réparer ses poteaux. A défaut d’une livraison en express, le club gardois pourra peut-être récupérer ceux de Pont Saint-Esprit, club voisin à 40km et en sommeil qui pourrait voir ses poteaux endormis partir au stade du refuge, assez logique somme toute. Bon vent à eux…
C’est la saison des pluies cévenoles, celles dont la météo nous parle chaque année à la même période, et qui sont plus que jamais d’actualité. A ces fortes pluies s’ajoutent parfois de violentes rafales de vent. Ce fut le cas dans la nuit de samedi à dimanche du côté d’Uzès. Dans la matinée, le RC Uzétien (Fédérale 3) a constaté qu’un poteau n’avait pas résisté aux bourrasques…
Il était 10h ce dimanche quand un agent technique a constaté qu’un des poteaux du Stade était sectionné à la base, rendant la réparation compliquée, voire impossible. Nicolas Cayre, secrétaire du club a expliqué que la sécurité des joueurs ne pouvait être garantie avec des réparations de fortune. Et sans poteaux, il ne peut y avoir de match de rugby.
Ainsi, celui de la réserve, prévu à 13h30 et celui des équipes premières, calé à 15h, ont été annulés. Et obligera l’équipe de l’US Izeaux à se rendre dans le Gard le 19 décembre prochain (date de repli probable). Sauf que les Isérois étaient déjà en route pour disputer cette deuxième journée de championnat de la poule 6. En effet, pour avaler les 230km qui séparent les deux clubs, le bus est parti d’Izeaux à 7h30. 4 heures plus tard, tout ce beau monde apprenait la mésaventure locale. Et constatait avec les dirigeants, membres de la Ligue et arbitres les dégâts. Une fois le report du match acté, les Isérois n’ont eu d’autre choix que de remonter dans le bus pour rentrer à la maison, et s’envoyer 4 heures de bus supplémentaires. Pour oublier ces 8 heures de bus « inutiles », les joueurs de l’US Izeaux ont pu disserter sur le fait que le Pont du Gard, situé à quelques encablures de là, était plus solide que ces satanés poteaux, malgré ses 2 000 ans. Ils ont aussi noyé ce passage en « coup de vent » et leur déception dans quelques verres et des chants « d’après match », qui ont permis de vivre un retour plus festif. Un long dimanche entre « potos » en quelque sorte…
D’ici là, nous souhaitons bon courage aux équipes techniques d’Uzès pour réparer ses poteaux. A défaut d’une livraison en express, le club gardois pourra peut-être récupérer ceux de Pont Saint-Esprit, club voisin à 40km et en sommeil qui pourrait voir ses poteaux endormis partir au stade du refuge, assez logique somme toute. Bon vent à eux…
C’est la saison des pluies cévenoles, celles dont la météo nous parle chaque année à la même période, et qui sont plus que jamais d’actualité. A ces fortes pluies s’ajoutent parfois de violentes rafales de vent. Ce fut le cas dans la nuit de samedi à dimanche du côté d’Uzès. Dans la matinée, le RC Uzétien (Fédérale 3) a constaté qu’un poteau n’avait pas résisté aux bourrasques…
Il était 10h ce dimanche quand un agent technique a constaté qu’un des poteaux du Stade était sectionné à la base, rendant la réparation compliquée, voire impossible. Nicolas Cayre, secrétaire du club a expliqué que la sécurité des joueurs ne pouvait être garantie avec des réparations de fortune. Et sans poteaux, il ne peut y avoir de match de rugby.
Ainsi, celui de la réserve, prévu à 13h30 et celui des équipes premières, calé à 15h, ont été annulés. Et obligera l’équipe de l’US Izeaux à se rendre dans le Gard le 19 décembre prochain (date de repli probable). Sauf que les Isérois étaient déjà en route pour disputer cette deuxième journée de championnat de la poule 6. En effet, pour avaler les 230km qui séparent les deux clubs, le bus est parti d’Izeaux à 7h30. 4 heures plus tard, tout ce beau monde apprenait la mésaventure locale. Et constatait avec les dirigeants, membres de la Ligue et arbitres les dégâts. Une fois le report du match acté, les Isérois n’ont eu d’autre choix que de remonter dans le bus pour rentrer à la maison, et s’envoyer 4 heures de bus supplémentaires. Pour oublier ces 8 heures de bus « inutiles », les joueurs de l’US Izeaux ont pu disserter sur le fait que le Pont du Gard, situé à quelques encablures de là, était plus solide que ces satanés poteaux, malgré ses 2 000 ans. Ils ont aussi noyé ce passage en « coup de vent » et leur déception dans quelques verres et des chants « d’après match », qui ont permis de vivre un retour plus festif. Un long dimanche entre « potos » en quelque sorte…
D’ici là, nous souhaitons bon courage aux équipes techniques d’Uzès pour réparer ses poteaux. A défaut d’une livraison en express, le club gardois pourra peut-être récupérer ceux de Pont Saint-Esprit, club voisin à 40km et en sommeil qui pourrait voir ses poteaux endormis partir au stade du refuge, assez logique somme toute. Bon vent à eux…
C’est la saison des pluies cévenoles, celles dont la météo nous parle chaque année à la même période, et qui sont plus que jamais d’actualité. A ces fortes pluies s’ajoutent parfois de violentes rafales de vent. Ce fut le cas dans la nuit de samedi à dimanche du côté d’Uzès. Dans la matinée, le RC Uzétien (Fédérale 3) a constaté qu’un poteau n’avait pas résisté aux bourrasques…
Il était 10h ce dimanche quand un agent technique a constaté qu’un des poteaux du Stade était sectionné à la base, rendant la réparation compliquée, voire impossible. Nicolas Cayre, secrétaire du club a expliqué que la sécurité des joueurs ne pouvait être garantie avec des réparations de fortune. Et sans poteaux, il ne peut y avoir de match de rugby.
Ainsi, celui de la réserve, prévu à 13h30 et celui des équipes premières, calé à 15h, ont été annulés. Et obligera l’équipe de l’US Izeaux à se rendre dans le Gard le 19 décembre prochain (date de repli probable). Sauf que les Isérois étaient déjà en route pour disputer cette deuxième journée de championnat de la poule 6. En effet, pour avaler les 230km qui séparent les deux clubs, le bus est parti d’Izeaux à 7h30. 4 heures plus tard, tout ce beau monde apprenait la mésaventure locale. Et constatait avec les dirigeants, membres de la Ligue et arbitres les dégâts. Une fois le report du match acté, les Isérois n’ont eu d’autre choix que de remonter dans le bus pour rentrer à la maison, et s’envoyer 4 heures de bus supplémentaires. Pour oublier ces 8 heures de bus « inutiles », les joueurs de l’US Izeaux ont pu disserter sur le fait que le Pont du Gard, situé à quelques encablures de là, était plus solide que ces satanés poteaux, malgré ses 2 000 ans. Ils ont aussi noyé ce passage en « coup de vent » et leur déception dans quelques verres et des chants « d’après match », qui ont permis de vivre un retour plus festif. Un long dimanche entre « potos » en quelque sorte…
D’ici là, nous souhaitons bon courage aux équipes techniques d’Uzès pour réparer ses poteaux. A défaut d’une livraison en express, le club gardois pourra peut-être récupérer ceux de Pont Saint-Esprit, club voisin à 40km et en sommeil qui pourrait voir ses poteaux endormis partir au stade du refuge, assez logique somme toute. Bon vent à eux…