Au terme d’une saison régulière parfaitement maîtrisée de bout en bout (14 victoires en 18 matchs) et de deux matchs de phases finales accomplis, le Racing Club de la Saudrune (entente entre Cugnaux, Frouzins, Villeneuve Tolosane et Seysses), va goûter à nouveau aux joies la Fédérale 3. Un accomplissement qui ne doit rien au hasard… (par Jonah Lomu et Marco Matabiau/ Photos Raoul Denax).
Dimanche dernier, à Leucate, sur les coups de 16h30, le RC Saudrune pouvait enfin savourer. Au terme d’un match globalement maîtrisé, notamment grâce à une grosse défense et à une conquête sans faille (« même si on s’est fait un peu peur sur la fin », aux dires de l’entraîneur Benjamin Rioux), les ententistes s’imposaient 19 à 13 face aux Gardois du Rugby Club Cévenol. Validant ainsi leur montée en Fédérale 3. Cette réussite ravit tous les acteurs du club, à commencer par le co-président (avec Olivier Sahuqué) Cédric Cerciat: « C’est la concrétisation d’un travail de 20 ans pour certains. J’ai d’abord une pensée pour mon père, président fondateur du club, pour Gérard Bouchot, trésorier et cheville ouvrière du club, et une autre très grosse pensée pour Jérôme Guillaume, entraîneur pendant 7 ans en séniors, au pôle formation depuis, que l’on peut remercier pour le travail effectué depuis 15 ans. » Il ne s’arrête toutefois pas seulement au plan sportif: « Notre investissement, notre modèle ainsi que nos partenaires sont récompensés. Cette montée valide le travail de tous. Nous sommes prêts pour pérenniser le club à ce niveau, même si on sait que sportivement, ce sera dur. »
A vrai dire, dans le giron du rugby d’Occitanie, ils étaient peu nombreux à attendre les Rouge et Noir à pareille fête. Même si, comme le précise le président Cerciat, « les fondations avaient été posées par Johny Pereira au cours des deux dernières années ». Les banlieusards toulousains ont pris cette année une autre dimension sous l’égide du duo Mathieu Poujade – Benjamin Rioux, dont l’amitié remonte à leurs années graulhétoises. Et le président de poursuivre : « Dimanche, nous avions 8 ex-Belascain sur la feuille de match », mais pas que. Au poste de talonneur évoluait le jeune Benjamin Viéban, encore junior du haut de ses 18 printemps. Le succès du staff du RCS réside en effet dans l’amalgame réussi entre ces très jeunes joueurs, mis en confiance, et les plus anciens, le tout de manière à tirer le groupe entier vers le haut.
D’autant plus que la saison est loin d’être terminée. De nombreux défis restent encore à relever, à commencer par la demi-finale d’Occitanie face à L’Isle en Dodon, une vieille connaissance, dimanche au Stade Marcel-Billière de Rieumes. Benjamin Rioux a hâte: « On les avait en poule. Chacune des équipes a remporté le match chez elle. Dimanche, ce sera la belle. » Pour sa part, Cédric Cerciat élargit même le débat: « On va se concentrer sur les demi-finales, car notre équipe réserve est aussi à saluer, puisqu’elle aussi en course pour un titre. On a quatre boucliers à disputer, on espère pouvoir en ramener au moins un ». Affaire à suivre…
Au terme d’une saison régulière parfaitement maîtrisée de bout en bout (14 victoires en 18 matchs) et de deux matchs de phases finales accomplis, le Racing Club de la Saudrune (entente entre Cugnaux, Frouzins, Villeneuve Tolosane et Seysses), va goûter à nouveau aux joies la Fédérale 3. Un accomplissement qui ne doit rien au hasard… (par Jonah Lomu et Marco Matabiau/ Photos Raoul Denax).
Dimanche dernier, à Leucate, sur les coups de 16h30, le RC Saudrune pouvait enfin savourer. Au terme d’un match globalement maîtrisé, notamment grâce à une grosse défense et à une conquête sans faille (« même si on s’est fait un peu peur sur la fin », aux dires de l’entraîneur Benjamin Rioux), les ententistes s’imposaient 19 à 13 face aux Gardois du Rugby Club Cévenol. Validant ainsi leur montée en Fédérale 3. Cette réussite ravit tous les acteurs du club, à commencer par le co-président (avec Olivier Sahuqué) Cédric Cerciat: « C’est la concrétisation d’un travail de 20 ans pour certains. J’ai d’abord une pensée pour mon père, président fondateur du club, pour Gérard Bouchot, trésorier et cheville ouvrière du club, et une autre très grosse pensée pour Jérôme Guillaume, entraîneur pendant 7 ans en séniors, au pôle formation depuis, que l’on peut remercier pour le travail effectué depuis 15 ans. » Il ne s’arrête toutefois pas seulement au plan sportif: « Notre investissement, notre modèle ainsi que nos partenaires sont récompensés. Cette montée valide le travail de tous. Nous sommes prêts pour pérenniser le club à ce niveau, même si on sait que sportivement, ce sera dur. »
A vrai dire, dans le giron du rugby d’Occitanie, ils étaient peu nombreux à attendre les Rouge et Noir à pareille fête. Même si, comme le précise le président Cerciat, « les fondations avaient été posées par Johny Pereira au cours des deux dernières années ». Les banlieusards toulousains ont pris cette année une autre dimension sous l’égide du duo Mathieu Poujade – Benjamin Rioux, dont l’amitié remonte à leurs années graulhétoises. Et le président de poursuivre : « Dimanche, nous avions 8 ex-Belascain sur la feuille de match », mais pas que. Au poste de talonneur évoluait le jeune Benjamin Viéban, encore junior du haut de ses 18 printemps. Le succès du staff du RCS réside en effet dans l’amalgame réussi entre ces très jeunes joueurs, mis en confiance, et les plus anciens, le tout de manière à tirer le groupe entier vers le haut.
D’autant plus que la saison est loin d’être terminée. De nombreux défis restent encore à relever, à commencer par la demi-finale d’Occitanie face à L’Isle en Dodon, une vieille connaissance, dimanche au Stade Marcel-Billière de Rieumes. Benjamin Rioux a hâte: « On les avait en poule. Chacune des équipes a remporté le match chez elle. Dimanche, ce sera la belle. » Pour sa part, Cédric Cerciat élargit même le débat: « On va se concentrer sur les demi-finales, car notre équipe réserve est aussi à saluer, puisqu’elle aussi en course pour un titre. On a quatre boucliers à disputer, on espère pouvoir en ramener au moins un ». Affaire à suivre…
Au terme d’une saison régulière parfaitement maîtrisée de bout en bout (14 victoires en 18 matchs) et de deux matchs de phases finales accomplis, le Racing Club de la Saudrune (entente entre Cugnaux, Frouzins, Villeneuve Tolosane et Seysses), va goûter à nouveau aux joies la Fédérale 3. Un accomplissement qui ne doit rien au hasard… (par Jonah Lomu et Marco Matabiau/ Photos Raoul Denax).
Dimanche dernier, à Leucate, sur les coups de 16h30, le RC Saudrune pouvait enfin savourer. Au terme d’un match globalement maîtrisé, notamment grâce à une grosse défense et à une conquête sans faille (« même si on s’est fait un peu peur sur la fin », aux dires de l’entraîneur Benjamin Rioux), les ententistes s’imposaient 19 à 13 face aux Gardois du Rugby Club Cévenol. Validant ainsi leur montée en Fédérale 3. Cette réussite ravit tous les acteurs du club, à commencer par le co-président (avec Olivier Sahuqué) Cédric Cerciat: « C’est la concrétisation d’un travail de 20 ans pour certains. J’ai d’abord une pensée pour mon père, président fondateur du club, pour Gérard Bouchot, trésorier et cheville ouvrière du club, et une autre très grosse pensée pour Jérôme Guillaume, entraîneur pendant 7 ans en séniors, au pôle formation depuis, que l’on peut remercier pour le travail effectué depuis 15 ans. » Il ne s’arrête toutefois pas seulement au plan sportif: « Notre investissement, notre modèle ainsi que nos partenaires sont récompensés. Cette montée valide le travail de tous. Nous sommes prêts pour pérenniser le club à ce niveau, même si on sait que sportivement, ce sera dur. »
A vrai dire, dans le giron du rugby d’Occitanie, ils étaient peu nombreux à attendre les Rouge et Noir à pareille fête. Même si, comme le précise le président Cerciat, « les fondations avaient été posées par Johny Pereira au cours des deux dernières années ». Les banlieusards toulousains ont pris cette année une autre dimension sous l’égide du duo Mathieu Poujade – Benjamin Rioux, dont l’amitié remonte à leurs années graulhétoises. Et le président de poursuivre : « Dimanche, nous avions 8 ex-Belascain sur la feuille de match », mais pas que. Au poste de talonneur évoluait le jeune Benjamin Viéban, encore junior du haut de ses 18 printemps. Le succès du staff du RCS réside en effet dans l’amalgame réussi entre ces très jeunes joueurs, mis en confiance, et les plus anciens, le tout de manière à tirer le groupe entier vers le haut.
D’autant plus que la saison est loin d’être terminée. De nombreux défis restent encore à relever, à commencer par la demi-finale d’Occitanie face à L’Isle en Dodon, une vieille connaissance, dimanche au Stade Marcel-Billière de Rieumes. Benjamin Rioux a hâte: « On les avait en poule. Chacune des équipes a remporté le match chez elle. Dimanche, ce sera la belle. » Pour sa part, Cédric Cerciat élargit même le débat: « On va se concentrer sur les demi-finales, car notre équipe réserve est aussi à saluer, puisqu’elle aussi en course pour un titre. On a quatre boucliers à disputer, on espère pouvoir en ramener au moins un ». Affaire à suivre…
Au terme d’une saison régulière parfaitement maîtrisée de bout en bout (14 victoires en 18 matchs) et de deux matchs de phases finales accomplis, le Racing Club de la Saudrune (entente entre Cugnaux, Frouzins, Villeneuve Tolosane et Seysses), va goûter à nouveau aux joies la Fédérale 3. Un accomplissement qui ne doit rien au hasard… (par Jonah Lomu et Marco Matabiau/ Photos Raoul Denax).
Dimanche dernier, à Leucate, sur les coups de 16h30, le RC Saudrune pouvait enfin savourer. Au terme d’un match globalement maîtrisé, notamment grâce à une grosse défense et à une conquête sans faille (« même si on s’est fait un peu peur sur la fin », aux dires de l’entraîneur Benjamin Rioux), les ententistes s’imposaient 19 à 13 face aux Gardois du Rugby Club Cévenol. Validant ainsi leur montée en Fédérale 3. Cette réussite ravit tous les acteurs du club, à commencer par le co-président (avec Olivier Sahuqué) Cédric Cerciat: « C’est la concrétisation d’un travail de 20 ans pour certains. J’ai d’abord une pensée pour mon père, président fondateur du club, pour Gérard Bouchot, trésorier et cheville ouvrière du club, et une autre très grosse pensée pour Jérôme Guillaume, entraîneur pendant 7 ans en séniors, au pôle formation depuis, que l’on peut remercier pour le travail effectué depuis 15 ans. » Il ne s’arrête toutefois pas seulement au plan sportif: « Notre investissement, notre modèle ainsi que nos partenaires sont récompensés. Cette montée valide le travail de tous. Nous sommes prêts pour pérenniser le club à ce niveau, même si on sait que sportivement, ce sera dur. »
A vrai dire, dans le giron du rugby d’Occitanie, ils étaient peu nombreux à attendre les Rouge et Noir à pareille fête. Même si, comme le précise le président Cerciat, « les fondations avaient été posées par Johny Pereira au cours des deux dernières années ». Les banlieusards toulousains ont pris cette année une autre dimension sous l’égide du duo Mathieu Poujade – Benjamin Rioux, dont l’amitié remonte à leurs années graulhétoises. Et le président de poursuivre : « Dimanche, nous avions 8 ex-Belascain sur la feuille de match », mais pas que. Au poste de talonneur évoluait le jeune Benjamin Viéban, encore junior du haut de ses 18 printemps. Le succès du staff du RCS réside en effet dans l’amalgame réussi entre ces très jeunes joueurs, mis en confiance, et les plus anciens, le tout de manière à tirer le groupe entier vers le haut.
D’autant plus que la saison est loin d’être terminée. De nombreux défis restent encore à relever, à commencer par la demi-finale d’Occitanie face à L’Isle en Dodon, une vieille connaissance, dimanche au Stade Marcel-Billière de Rieumes. Benjamin Rioux a hâte: « On les avait en poule. Chacune des équipes a remporté le match chez elle. Dimanche, ce sera la belle. » Pour sa part, Cédric Cerciat élargit même le débat: « On va se concentrer sur les demi-finales, car notre équipe réserve est aussi à saluer, puisqu’elle aussi en course pour un titre. On a quatre boucliers à disputer, on espère pouvoir en ramener au moins un ». Affaire à suivre…