Après deux échecs successifs au niveau régional en finale (contre Mazères aux tirs au but en 2016 et l’an dernier à Ernest Wallon à Toulouse, contre Saint-Jean du Falga), Boulogne a touché le bout de bois régional. Le double champion de France en titre était clairement favori de cette confrontation face à Séverac, mais le scénario du match n’a pas été celui que les pronostiqueurs avaient imaginé, tant les Aveyronnais ont mis du coeur à l’ouvrage… (par David Campese – Photos Christophe Fabriès)
Il faut dire que les Aveyronnais ont joué avec beaucoup de coeur, pour égaliser à 20-20 in-extrémis, et emmener les Boulonnais en prolongations. Une petite surprise en soi déjà. Et ils étaient nombreux derrière les mains courantes à penser que Séverac avait plus de jambes pour finir le travail et aller décrocher le titre. Oui mais voilà, il y a des individualités du côté du Comminges, qui savent jouer des coudes et de leur expérience ramener de niveaux supérieurs. Suffisant pour faire la différence sur quelques coups, suffisant pour faire basculer une rencontre définitivement.
Deux essais, un dans chaque mi-temps de prolongations, auront eu raison de la vaillance aveyronnaise. 34-20, le score est un peu lourd sans doute, mais une finale se gagne, quelle que soit la manière. Le bout de bois midi-pyrénéen est de retour dans le Comminges, huit après le dernier sacre, le huitième dans l’histoire de l’USB. « L’aboutissement de toute une année de travail » s’exclamait Tanguy Navarro. Quant à Pascal Niolet, co-président, il ne cachait pas sa satisfaction : « C’était un objectif prioritaire oui. On le voulait ce titre. Il a été dur à conquérir et je rends hommage à Séverac pour son match. Je suis fier des garçons, et pour tous ceux qui oeuvrent pour ce club ».
Séverac se consolera donc avec le respect gagné de tous, pendant la saison régulière et les phases finales. On ne peut que souhaiter bonne chance à ces deux beaux représentants régionaux, pour faire bonne figure en championnat de France.
Après deux échecs successifs au niveau régional en finale (contre Mazères aux tirs au but en 2016 et l’an dernier à Ernest Wallon à Toulouse, contre Saint-Jean du Falga), Boulogne a touché le bout de bois régional. Le double champion de France en titre était clairement favori de cette confrontation face à Séverac, mais le scénario du match n’a pas été celui que les pronostiqueurs avaient imaginé, tant les Aveyronnais ont mis du coeur à l’ouvrage… (par David Campese – Photos Christophe Fabriès)
Il faut dire que les Aveyronnais ont joué avec beaucoup de coeur, pour égaliser à 20-20 in-extrémis, et emmener les Boulonnais en prolongations. Une petite surprise en soi déjà. Et ils étaient nombreux derrière les mains courantes à penser que Séverac avait plus de jambes pour finir le travail et aller décrocher le titre. Oui mais voilà, il y a des individualités du côté du Comminges, qui savent jouer des coudes et de leur expérience ramener de niveaux supérieurs. Suffisant pour faire la différence sur quelques coups, suffisant pour faire basculer une rencontre définitivement.
Deux essais, un dans chaque mi-temps de prolongations, auront eu raison de la vaillance aveyronnaise. 34-20, le score est un peu lourd sans doute, mais une finale se gagne, quelle que soit la manière. Le bout de bois midi-pyrénéen est de retour dans le Comminges, huit après le dernier sacre, le huitième dans l’histoire de l’USB. « L’aboutissement de toute une année de travail » s’exclamait Tanguy Navarro. Quant à Pascal Niolet, co-président, il ne cachait pas sa satisfaction : « C’était un objectif prioritaire oui. On le voulait ce titre. Il a été dur à conquérir et je rends hommage à Séverac pour son match. Je suis fier des garçons, et pour tous ceux qui oeuvrent pour ce club ».
Séverac se consolera donc avec le respect gagné de tous, pendant la saison régulière et les phases finales. On ne peut que souhaiter bonne chance à ces deux beaux représentants régionaux, pour faire bonne figure en championnat de France.
Après deux échecs successifs au niveau régional en finale (contre Mazères aux tirs au but en 2016 et l’an dernier à Ernest Wallon à Toulouse, contre Saint-Jean du Falga), Boulogne a touché le bout de bois régional. Le double champion de France en titre était clairement favori de cette confrontation face à Séverac, mais le scénario du match n’a pas été celui que les pronostiqueurs avaient imaginé, tant les Aveyronnais ont mis du coeur à l’ouvrage… (par David Campese – Photos Christophe Fabriès)
Il faut dire que les Aveyronnais ont joué avec beaucoup de coeur, pour égaliser à 20-20 in-extrémis, et emmener les Boulonnais en prolongations. Une petite surprise en soi déjà. Et ils étaient nombreux derrière les mains courantes à penser que Séverac avait plus de jambes pour finir le travail et aller décrocher le titre. Oui mais voilà, il y a des individualités du côté du Comminges, qui savent jouer des coudes et de leur expérience ramener de niveaux supérieurs. Suffisant pour faire la différence sur quelques coups, suffisant pour faire basculer une rencontre définitivement.
Deux essais, un dans chaque mi-temps de prolongations, auront eu raison de la vaillance aveyronnaise. 34-20, le score est un peu lourd sans doute, mais une finale se gagne, quelle que soit la manière. Le bout de bois midi-pyrénéen est de retour dans le Comminges, huit après le dernier sacre, le huitième dans l’histoire de l’USB. « L’aboutissement de toute une année de travail » s’exclamait Tanguy Navarro. Quant à Pascal Niolet, co-président, il ne cachait pas sa satisfaction : « C’était un objectif prioritaire oui. On le voulait ce titre. Il a été dur à conquérir et je rends hommage à Séverac pour son match. Je suis fier des garçons, et pour tous ceux qui oeuvrent pour ce club ».
Séverac se consolera donc avec le respect gagné de tous, pendant la saison régulière et les phases finales. On ne peut que souhaiter bonne chance à ces deux beaux représentants régionaux, pour faire bonne figure en championnat de France.
Après deux échecs successifs au niveau régional en finale (contre Mazères aux tirs au but en 2016 et l’an dernier à Ernest Wallon à Toulouse, contre Saint-Jean du Falga), Boulogne a touché le bout de bois régional. Le double champion de France en titre était clairement favori de cette confrontation face à Séverac, mais le scénario du match n’a pas été celui que les pronostiqueurs avaient imaginé, tant les Aveyronnais ont mis du coeur à l’ouvrage… (par David Campese – Photos Christophe Fabriès)
Il faut dire que les Aveyronnais ont joué avec beaucoup de coeur, pour égaliser à 20-20 in-extrémis, et emmener les Boulonnais en prolongations. Une petite surprise en soi déjà. Et ils étaient nombreux derrière les mains courantes à penser que Séverac avait plus de jambes pour finir le travail et aller décrocher le titre. Oui mais voilà, il y a des individualités du côté du Comminges, qui savent jouer des coudes et de leur expérience ramener de niveaux supérieurs. Suffisant pour faire la différence sur quelques coups, suffisant pour faire basculer une rencontre définitivement.
Deux essais, un dans chaque mi-temps de prolongations, auront eu raison de la vaillance aveyronnaise. 34-20, le score est un peu lourd sans doute, mais une finale se gagne, quelle que soit la manière. Le bout de bois midi-pyrénéen est de retour dans le Comminges, huit après le dernier sacre, le huitième dans l’histoire de l’USB. « L’aboutissement de toute une année de travail » s’exclamait Tanguy Navarro. Quant à Pascal Niolet, co-président, il ne cachait pas sa satisfaction : « C’était un objectif prioritaire oui. On le voulait ce titre. Il a été dur à conquérir et je rends hommage à Séverac pour son match. Je suis fier des garçons, et pour tous ceux qui oeuvrent pour ce club ».
Séverac se consolera donc avec le respect gagné de tous, pendant la saison régulière et les phases finales. On ne peut que souhaiter bonne chance à ces deux beaux représentants régionaux, pour faire bonne figure en championnat de France.